L Ironie Le Nègre De Surinam

bonheur au-dessus des richesses matérielles. Mais Candide veut retrouver Cunégonde et être riche hors d’Eldorado en remplissant ses poches de pierres précieuses ramassées sur les chemins. Les deux compagnons reprennent donc la route. À Surinam, ils voient un esclave nègre horriblement mutilé par ordre de son maître blanc : «C'est à ce prix que vous mangez du sucre en Europe». Lorsqu'un patron hollandais vole à Candide la majeure partie de sa fortune, celui-ci, dégoûté de la méchanceté humaine, décide

répétition anaphorique de « j’accuse ». Accusation qui porte sur des cibles différentes qui se font par gradation en touchant la hiérarchie militaire. Il accuse aussi - les expert graphologue à qui il reproche d’avoir truquer leur expertise (avec ironie). - Au ministère de la guerre qui il reproche d’avoir orchestré une campagne de propagande. - Il signale les irrégularités commises par la procédure judiciaire (dissimilation de document). C/ Les valeurs qui soutenue ce réquisitoire. → Il

HISTOIRE DES IDEES PROFESSEURE SOUAD REGRAGUIObjectifs du Module  1. Avoir une Culture générale sur la Littérature française du XVII et XVIII siècle  1.1 Aperçu sur l’histoire de la littérature française:  1.1.1 Les mouvements de la LF  1.1.2 Les idées de LF  1.1.3 Les productions artistiques de la LF  2. Acquérir des compétences fondamentales permettant la connaissance des différents contextes des texte étudiésPlan  Introduction  Le siècle des Lumières 1750- 1800 ( XVIII)  Le mouvement

construction Anaphore : répétition d’un même mot qui commence chaque partie de la phrase/vers/phrase… Anarchie : absence d’autorité, désordre, rejet de toute doctrine politique imposée Antiphrase : procédé dans lequel on exprime une idée par son contraire (ironie) Apocope : chute d’une syllabe ou lettre à la fin d’un mot Apologie ; discours qui cherche à défendre, justifier, voire louer. Apologue : définition cf. lecture analytique Césure : repos placé dans un vers entre deux groupes rythmiques Champs lexical

dégénérescence et de sensibilité maladive. Il fait partie des auteurs qui se débattent avec l’envie d’accéder à la forme pure de créer un univers situé en dehors du chaos et de la confusion, qui représenterait une manière d’ordre. Mais par le fait de son ironie, il admet les limitations inhérentes à cette démarche. Une conception de l’art (et de la littérature) se développe. Elle met en avant les principes distinctifs suivants : - le formalisme : càd qu’on prêtera attention à la forme plus qu’au fond

Conclusion/Synthèse sur l’évolution du bonheur au siècle des Lumières Séquence 2 : La dénonciation des injustices dans le conte voltairien (Zadig et Candide) Texte n°1 : La Guerre (Candide) Texte n°2 : L’autodafé (Candide) Texte n°3 : Le Nègre de Surinam (Candide) Texte n°4 : Le portrait du philosophe (Zadig) 4ème Objet d’étude : La poésie Deux poètes entre tradition et modernité : Charles BAUDELAIRE et Guillaume APOLLINAIRE Texte n°1 : L’albatros (BAUDELAIRE) Texte n°2 : A une passante

traditionnelle par certains aspects (personnages d’animaux incarnant des travers humains, lexique simple, forme dialoguée, répartition entre récit exemplaire et morale explicitée), mais novatrice, malgré sa brièveté, par sa qualité narrative (vivacité, ironie, travail sur le rythme). Quant à la morale, assez banale, elle vaut surtout par le rapprochement humoristique entre la grenouille du récit et des personnages importants de la société du temps. Support 2: « Un Grossier Personnage » ; Les Caractères

y dénonce en particulier la philosophie Leibnitzienne, mais également diverses formes d’injustices comme les abus de la religion (chapitre 6 : « L’autodafé »), du pouvoir (chapitre 3 : « La guerre »), ainsi que l’esclavage (chapitre 19 : « Le nègre de Surinam »). De plus, c’est une œuvre qui propose constamment un double niveau de lecture par le recours à l’ironie, une arme formelle dont Voltaire a souvent usé. L’incipit nous donne à voir les éléments traditionnels du conte pour mieux les subvertir

démontrer, convaincre, persuader. Perspective d’étude principale : l’argumentation et les effets produits sur les destinataires. Perspectives d’étude secondaires : l’histoire littéraire et culturelle (le XVIIIème siècle) ; le registre comique (humour, ironie) au service d’une visée argumentative ; l’argumentation à travers les divers genres littéraires : le théâtre, le genre narratif, la poésie. Objectifs de la séquence : Déceler la démarche argumentative d’un texte, mettre au jour la thèse d’un auteur

juge pas les faits mais le rang social, comme le confirme l’allusion à la saleté. Antithèse « sa peccadille fut jugée un cas pendable » qui met en avant la démesure du châtiment. C’est la parole du pouvoir qui a le pouvoir de la parole. C/ Ironie du fabuliste Modalité exclamative «  manger l’herbe d’autrui, quel crime abominable »  souligne l’absurdité de cette conséquence injuste. On met aussi en avant le manque du courage, la lâcheté.  « on n’osa trop approfondir » Vocabulaire religieux