L Ironie Le Nègre De Surinam

dans les massacres. V insiste sur la cruauté des actes de l'Eglise pour que lecteur se rende compte de culpabilité de Eglise. Mm action de grâce chantée pour décès mariage guerre et naissance ==> scandale de mettre sur mm plan naissance et décès. Ironie présente ici car V semble s’offusquer de cela pour une raison esthétique, il se scandalise pour une broutille alors qu'il veut dénoncer sur le même plan naissance et décès. Rel artificielle = religion chrétienne telle que pratiquée à l'époque de

Calas ou du chevalier de la Barre* : dans tous ces cas, il s’agit de prendre la défense d’êtres privés de la liberté, voire de la vie, de manière arbitraire.   Présentation du texte : Dans le contexte de Candide, la rencontre du héros avec le nègre de Surinam, juste au sortir de l’Eldorado, constitue un choc brutal : c’est le retour à la réalité du mal, dans toute son horreur. Candide ne peut plus se laisser aller à une quelconque croyance optimiste ; les lecteurs sont confrontés, une fois encore

les principes fondateurs. Il prône la séparation des trois pouvoirs, exécutifs, législatif et judiciaire, qui seule permet de garantir la liberté. L’extrait le plus connu est intitulé « De l’esclavage des nègres » où Montesquieu dénonce avec une ironie croissante le scandale de la pratique de l’esclavage, et la complaisante du pouvoir religieux et politique. B. Voltaire et le conte philosophique : La pensée de Voltaire est aussi foisonnante que ses écrits. Elle s’exprime à travers de nombreux

Thunder-ten-tronckh. Il y présente le personnage de Candide qui, semble t-il, vit dans le meilleur des mondes, entouré de nombreuses personnes. C’est dans cette introduction aux allures de conte parfait, de conte de fées, que l’on sent déjà les première ironies de Voltaire qui dénonce là un monde fondé sur l’illusion.   Chapitre 2 Candide est chassé du paradis terrestre lorsqu’il doit fuir le chateau du baron de Thunder-ten-tronckh. Il passe d’un univers rêvé, le meilleur des mondes possibles, à celui

terre : voir Matthieu 27-51)) G. LE MECANISME DE LA DENONCIATION * Le règne de l’absurde et le jeu sur les causalités i. Faire éclater l’absurde 10 11 ii. L’assonance en (a) 32 mimétique du fracas sismique iii. Ironie de V : critique de la superstition (cf enchaînement illogique des 1er et 2ème § « en conséquence ») * Le choc des champs lexicaux : la logique / le religieux Conséquence : acte de foi, l’autodafé est dévalué en acte de superstition 14

(Golgotha, crucifixion, tremblement terre : voir Matthieu 27-51)) G. LE MECANISME DE LA DENONCIATION · Le règne de l’absurde et le jeu sur les causalités i. Faire éclater l’absurde 10 11 ii. L’assonance en (a) 32 mimétique du fracas sismique iii. Ironie de V : critique de la superstition (cf enchaînement illogique des 1er et 2ème § « en conséquence ») · Le choc des champs lexicaux : la logique / le religieux Conséquence : acte de foi, l’autodafé est dévalué en acte de superstition 14 · Le matériel

Candide obsédé par le désir de retrouver Cunégonde décide de quitter ce paradis Ils repartiront emportant avec eux or, argent et moutons en espérant qu’une telle richesse leur permettra de récupérer Cunégonde Chap. XIX : Arrivé au Surinam, Candide est ébranlé à la vue d’un nègre victime du commerce triangulaire C’est à ce niveau du récit que Cacambo se sépare de Candide et retourne à Buenos Ayres pour rechercher Cunégonde Dépouillé par des voleurs, il rencontre Martin qui l’aidera à continuer en payant

discours rapportés et aux diverses formes de citation (citation directe, références, allusion, commentaire…), d’identifier les concessions aux thèses adverses, d’examiner le passage au registre polémique quand la critique se fait virulente ou acerbe : ironie, affirmations plus marquées, attaques, sous-entendus, condamnations, indignation, réprobation… La forme de l’essai est très libre, c’est pourquoi les auteurs y recourent si souvent. Aujourd’hui hommes politiques et journalistes y coulent leurs projets

grave et cocasse, qui soulève avec légèreté des questions philosophiques fondamentales. Liens avec ce que nous avons fait cette année en seconde. ■ OE « Démontrer, convaincre et persuader ». ■ Nous avons vu un extrait de Candide (épisode du « Nègre de Surinam ») et un corpus sur les caractéristiques du philosophe des Lumières (Voltaire est un philosophe des Lumières). ■ Objet d’étude (OE) « Le récit : le roman ou la nouvelle » : le conte philosophique est un récit à visée argumentative. Utilité scolaire

sans modération, multipliant les raisonnements absurdes (« Monsieur le baron était l'un des plus puissants seigneurs de la Westphalie, car son château avait une porte et des fenêtres », Candide), les exagérations, les situations grotesques. Cette ironie criante, souvent grinçante, rompt avec l'apparente simplicité du récit et le décalage qui en résulte souligne la dimension critique du conte. Voltaire joue constamment sur la distinction entre le fond (porteur d'un message sérieux) et la forme (simple