L Or Blaise Cendrars

des ronds-points, des rues, |Août pour dire «l’homme est heureux d’être homme». | |Et puis mon coeur, mon coeur qui bat |Septembre pour dire au blé «change-toi en or». | |Tout bas. |Octobre pour dire «camarades, la liberté». | |Dans notre rue, il y a

femme de ménage nomme la salle du trône « living-room », cela montre le coté burlesque de la pièce et non le coté réel. L'illusion est présente jusqu’à la disposition et même la façon d’écrire la pièce. D'une part l'illusion est écrite en alexandrin, or personne ne s'exprime ainsi dans le monde réel, dans Phèdre de J. Racine tout est en alexandrins, de plus il évoque les dieux grecs a de multiples reprises, alors qu'ils ne sont pas réels, d'ailleurs dans la plupart des pièces les auteurs font référence

Blaise CENDRARS PROSE DU TRANSSIBERIEN ET DE LA PETITE JEHANNE DE FRANCE Dédiée aux musiciens En ce temps-là, j'étais en mon adolescence J'avais à peine seize ans et je ne me souvenais déjà plus de mon enfance J'étais à 16.000 lieues du lieu de ma naissance J'étais à Moscou dans la ville des mille et trois clochers et des sept gares Et je n'avais pas assez

Préface Le thème de ce recueil de poèmes est la mélancolie Or c’est un sujet bien vaste, à travers ces 10 poèmes issue d’une période plus contemporaine disons du spleen de Baudelaire à nos jours, La mélancolie c’est le mal de l’artiste face à sa condition, avant toute chose, humaine. Ces réactions impliquent des comportements de natures différentes mais ayant une source commune, un état dépressif. Sous les effets de l’ennui ou de la tristesse, de nos jours l’idée ancienne selon laquelle

modernité. Monde des dernières innovations techniques (aviation, V6), alors que "automobiles" sont qualifiées d'anciennes. Apollinaire : lancement de l'"art nouveau" : incitation envers les écrivains, les poètes à écrire sur les nouveautés (Cendrars, …)-> innovations les plus récentes. "Kodak" Sont laissées de côté l'inspiration grecque et latine. Ensuite, éloge de la vie quotidienne d'une "rue industrielle". A partir du V11, il évoque la rue, ainsi que tout ce qui se lit dans la

« C’est souvent le sort – ou le tort – des poètes de parler trop tard ou trop tôt », écrit René Daumal.Plus profondément, c’est par sa nature même que la poésie porte en elle le germe de la rébellion. Elle apparaît comme un espace d’évasion ou de liberté. Or toute évasion suppose la rupture. Le verbe grec poiein (« créer »), racine du mot poésie, indique que celle-ci est « création », donc innovation. Ainsi, Rimbaud veut être un démiurge, il veut explorer le monde, « trouver des choses étranges, insondables »

Source : La bibliothèque libre. http://frwikisourceorg/wiki/La_Prose_du_transsib%C3%A9rien_et_de_la_petite_Jehanne_de_France . . La Prose du transsibérien et de la petite Jehanne de France Blaise Cendrars Dédiée aux m usiciens En ce tem -là, j'étais en m adolescence ps on J'avais à peine seize ans et je ne m souvenais déjà plus de m enfance e on J'étais à 16.000 lieues du lieu de m naissance a J'étais à M oscou dans la ville des m et trois clochers et des sept gares ille Et je navais pas assez

souvent le sort – ou le tort – des poètes de parler trop tard ou trop tôt », écrit René Daumal. Plus profondément, c’est par sa nature même que la poésie porte en elle le germe de la rébellion. Elle apparaît comme un espace d’évasion ou de liberté. Or toute évasion suppose la rupture. Le verbe grec poiein (« créer »), racine du mot poésie, indique que celle-ci est « création », donc innovation. Ainsi, Rimbaud veut être un démiurge, il veut explorer le monde, « trouver des choses étranges, insondables »

de l’intuition. Publié également en 1913 et n’obéissant à aucune règle apparente de construction, Alcools est un recueil qui place le renouvellement des formes poétiques au cœur de son projet. C’est l’absence de ponctuation sous l’influence de Blaise Cendrars, le recours au vers libre, l’utilisation de procédés de composition à la manière des peintres cubistes, le développement de thèmes urbains, l’introduction des objets emblématiques de la modernité comme l’automobile ou l’avion. Pour autant, cet

composition après que Blaise Cendrars eut lu à Apollinaire son propre poème qu’il venait de terminer : “Les Pâques à New York”, un poème de distiques irréguliers mais rimés, où se déroulait un long itinéraire, peuplé de souvenirs, un long courant de poésie ininterrompue, dynamique, qui épousait le mouvement de la marche du poète-Christ, poème qui faisait de lui le premier poète de l’esprit nouveau. Et, dans “La prose du Transsibérien et de la petite Jehanne de France” (1913), Blaise Cendrars allait complètement