L Or Blaise Cendrars

situer sa composition aprs que Blaise Cendrars eut lu Apollinaire son propre pome quil venait de terminer Les Pques New York, un pome de distiques irrguliers mais rims, o se droulait un long itinraire, peupl de souvenirs, un long courant de posie ininterrompue, dynamique, qui pousait le mouvement de la marche du pote-Christ, pome qui faisait de lui le premier pote de lesprit nouveau. Et, dans La prose du Transsibrien et de la petite Jehanne de France (1913), Blaise Cendrars allait compltement librer

l’arrière, c'est-à-dire : les femmes pendant la guerre, les hôpitaux et les « gueules cassées ». Au début de ce travail, nous pensions faire une étude comparée des conditions de vie des combattants allemands et français pendant la Première Guerre mondiale. Or, au cours de nos recherches, nous avons constaté que les horreurs de la guerre n'avaient pas de frontière. C’est pourquoi nous avons eu l’idée de comparer deux œuvres littéraires, l’une française et l’autre allemande, traitant, au moins en partie, des

composition après que Blaise Cendrars eut lu à Apollinaire son propre poème qu’il venait de terminer : “Les Pâques à New York”, un poème de distiques irréguliers mais rimés, où se déroulait un long itinéraire, peuplé de souvenirs, un long courant de poésie ininterrompue, dynamique, qui épousait le mouvement de la marche du poète-Christ, poème qui faisait de lui le premier poète de l’esprit nouveau. Et, dans “La prose du Transsibérien et de la petite Jehanne de France” (1913), Blaise Cendrars allait complètement

le dit la citation de Guillevic, le langage poétique se veut une force qui peut embellir le monde, cela voudrait donc dire que seule la beauté prime et que la poésie rejette en quelque sorte tout ce qui pourrait être négatif, entachant donc le monde. Or parfois, l'écriture poétique aura la fonction d'un exutoire, c'est à dire qu'elle permettra aux poètes de sortir leurs émotions négatives telles que la tristesse, la rage le deuil, et donc en quelque sorte de s'en débarrasser tout comme le disait Dominique

à l’époque, dans de nombreuses revues (Cf. Biographie). On peut scinder son œuvre en deux pôles principaux : Alcools, 1898-1913, : le pôle « ancien » et Calligrammes, 1913-1918, le pôle plus « moderne » d’abord appelés « idéogrammes lyriques ». Or, dans le premier volume, Alcools, prédomine la voix, dans le second un lyrisme visuel.   IV. ALCOOLS « Alcools » est paru au Mercure de France en avril 1913, tiré à environ 600 exemplaires. Composé entre 1898-1913 (quinze années*). Né en 1880, Apollinaire

digne successeur du symbolisme et en disciple de Mallarmé, avait fait du poème un exercice intellectuel et formel ; sa poésie soigne particulièrement le jeu des allitérations et des assonances. Avec Apollinaire (1880-1918), Max Jacob (1876-1944), Blaise Cendrars (1887-1961), Pierre Reverdy (1889-1960), Valéry Larbaud (1881-1957), la poésie se détourne des jeux formels pour privilégier de nouveaux thèmes poétiques. 1) Quelques traits saillants de la poésie moderne a) Sur le plan formel L’alexandrin

surréaliste : Tout porte à croire qu’il existe un certain point de l’esprit d’où la vie et la mort, le réel et l’imaginaire, le passé et le futur, le communicable et l’incommunicable, le haut et le bas cessent d’être perçus contradictoirement. Or, c’est en vain qu’on chercherait à l’activité surréaliste un autre mobile que l’espoir de détermination de ce point. André Breton Second manifeste du surréalisme 1930 | La « modernité » Cette double ambition lyrique (intériorité)

deux pages du document 1 évoquent les deux derniers jours de vacances de quatre adolescents. Les dessins, les photographies et les collages complètent ou remplacent le texte. 3Séquence 1 © N AT H A N /V U EF 2 00 3 — L a ph ot oc op ie n on a ut or is ée e st u n dé lit . SÉQUENCE 13. On peut dire du document 2 qu’il s’agit d’un document personnel car il est écrit de la main même de son auteur et il exprime une pensée dévoilant les raisons de la création litté- raire pour Saint-John Perse.

affiches » sont la nouvelle poésie.. Le poète apprécie les innovations technologiques : les voitures, les autobus, les avions.P.38 choses que vous ignorez (peut-être) sur Bibendum(2 publicités du Bibendum, affichées en 1914)Voici ce qu’écrivait, Blaise Cendrars, quelques années plus tard, à propos de la publicité : « la publicité est la fleur de la vie contemporaine ; elle est une affirmation d’optimisme et de gaieté ; elle distrait l’œil ou l’esprit. C’est la plus chaleureuse manifestation de la vitalité

que je connaisLa main la jambe l'œilJe prends mon bain et je regardeLe monde entier est toujours làLa vie pleine de choses surprenantesJe sors de la pharmacieJe descends juste de la basculeJe pèse mes 80 kilosJe t'aimeBlaise Cendrars, Feuilles de route, 1924 Blaise Cendrars, de son vrai nom Frédéric Louis Sauser, est un écrivain français d'origine suisse, né le 1er septembre 1887 à La Chaux-de-Fonds, dans le canton de Neuchâtel (Suisse). Très tôt, il a placé son œuvre sous le signe du voyage et