L'Or du diable

du diable en Guyane, pour un meurtre de deux gendarmes qu'il n'a pas commis. Quenu abandonne ses études de droit pour devenir instituteur. Resté seul, Quenu se tourne vers son oncle Gradelle, qui exerce la profession de charcutier. C'est alors que sa vie change : il apprend son futur métier et rencontre Lisa Macquart. Elle tient la boutique de Gradelle. A la mort de celui-ci, elle comprend l'opportunité[1] qui s'offre à elle en épousant Quenu : elle hérite de la charcuterie et surtout de l'or se

extraire la beauté du mal, c’est un mélange détonant : cadeau empoisonné en transfigurant par le travail poétique l'expérience douloureuse de l'âme humaine en proie aux malheurs de l'existence (Baudelaire dit : " tu m'as donné ta boue, j'en fais de l'or "). Cela signifie qu’à partir du mal, il va rechercher, cultiver quelque chose de bon. Le mal fait référence à quatre types de mal : mal social (être déchu), mal moral (goût pour le crime et le sadisme), mal physique et mal métaphysique (âme angoissé

à ce dernier une statue, allégorie de la ville, ce qui fait dire à un commentateur : « Le monde comme il va, c’est presque le monde comme il devrait aller. Certes, la statue que Babouc remet à Ituriel n’est pas toute en or, mais il est évident que l’or largement y prédomine, et que telle quelle, elle constitue une assez belle œuvre d’art. » On pourra, après examen de cette appréciation, se demander en quoi, malgré ses imperfections, la statue est une œuvre d’art et en quoi la clémence d’Ituriel correspond

industrielle. * Baron Haussmann restructure Paris en créant larges avenues + parcs. * Baudelaire est le premier en poésie à parler de la ville, à en faire un thème poétique (esthétique de la ville). « Tu m’as donné ta boue et j’en ai fait de l’or. » ↓ ↓ Paris par la poésie. Esthétique. b) Baudelaire est aussi le premier à voir dans le monde des « correspondances », des symboles. ↙ Qqch qui représente qqch d’autre ↘ ↙ Sont réunis par 1 ou plusieurs

ingénieux pour tromper le Comte. Il analyse son plan sous toutes les coutures pour surmonter les obstacles qu’il rencontre dans son chemin : « D’abord, avancer l’heure de votre petite fête, […] écarter une Marceline qui de vous est friande en diable ; empocher l’or et les présents ; donner le change aux petites passions de monsieur le Comte ; étriller rondement monsieur du Bazile, et… » Ce monologue démontre à quel point il est rusé et débrouillard. Il établit des stratégies pour tromper le Comte en

réalité qu’il embellit « tu m’as donné de la boue  et j’en ai fait de l’or ». Objet d’un procès retentissant pour atteinte aux bonnes mœurs, Baudelaire fut dans l’obligation de retirer six poèmes à ce recueil qui en comptait cent. L’ouvrage est divisé en six sections, dont les titres thématiques suivent l’évolution d’un voyage qui explore la misère de l’homme. Le poème étudié, le flacon, écrit pour madame Sabatier (sabbat => diable, etc.), appartient à la section spleen et idéel dans laquelle misère

Le première mot du poème est Satan, mais dans la continuité du poème on retrouve de nombreuse référence à Satan mais également aux mal sois le péché. Avec notamment « le pavot » qui est une fleure rouge, cela fait référence au diable à l’enfer mais aussi à la mort. Sans oublier l’adjectif « chimérique » qui fait encore une fois référence aux enfers car dans la mythologie grec une chimère c’est un animal hybride qui se trouve en enfer comme Cerbère. L’auteur parle également de

galeries (« Mme Marty et sa fille emportées au plus haut... » - Un décor grandiose : rôle des hyperboles dans le texte (« flamboiements »), évocation de couleurs lumineuses (« l'éblouissement des feux électriques »), de bruits divers (« remous », « l'or sonnait dans les caisses » (synecdoque « or », métaphore lexicalisée « sonnait » (des espèces sonnantes et trébuchantes) - Des images évocatrices d'un mouvement de foule : les métaphores marines « de longs remous brisaient la cohue », « la houle désordonnée

parsemée de grandes embûches. Mais à chaque étape Il était vainqueur. Dans Matthieu 4, 1-11, nous nous rendons à l’évidence que c’est après le combat et la victoire que les anges sont venus servir le fils de DIEU. Au verset 11, il est écrit : « Alors le diable le laissa [parce que CHRIST lui avait fermement résisté]. Et voici, des anges vinrent auprès de JESUS, et le servirent. » Il n’y a point de couronne sans combat. De même que CHRIST a souffert et est entré dans sa gloire, nous devons aussi nous armer

d'affaire. Drelin, drelin, drelin. Ils sont sourds... Toinette! Drelin, drelin, drelin. Tout comme si je ne sonnais point. Chienne, coquine ! Drelin, drelin, drelin. J'enrage!(Il ne sonne plus, mais il crie.)Drelin, drelin, drelin. Carogne, à tous les diables! Est-il possible qu'on laisse comme cela un pauvre malade tout seul? Drelin drelin, drelin. Voilà qui est pitoyable! Drelin, drelin, drelin. Ah! mon Dieu! Ils me laisseront ici mourir. Drelin, drelin, drelin. Beaumarchais, Le Mariage de Figaro