L Orgueil Defaut De L Humain

L'expression « le plus beau du monde » v.2 est une hyperbole qui veut montrer la vanité de cet homme, de même le terme « Narcisse » v.11 insiste aussi sur cette idée de vanité et d'amour propre qui équivaut pratiquement à de l'orgueil. C'est un orgueil tellement profond au point que cet homme est heureux de vivre dans sa bêtise et son refus de la vérité : « content dans son erreur profonde » v. 4, de plus que le terme « erreur profonde » veut insister sur le fait que cette situation est irrémédiable

spécifiquement humain avant de répondre. C'est ce à quoi vise ce corpus d'introduction. I/ le rire est lié à un état de plaisir et de relâchement, amusement, gaieté, etc. II/ le rire sert à rapprocher les hommes. III/ le rire peut être moqueur. IV/ le rire sert à signaler et éventuellement corriger les défauts ou les vices.(pédagogique) V/ le rire peut servir de moyen de défense contre les atteintes et l'oppression. VI/Le rire est le propre de l’homme (civilisé, expression de supériorité, orgueil humain

qu’effectivement, à première vue, la liberté soit l'absence de toute contrainte. C'est-à-dire la capacité d’agir en toute indépendance, sans avoir de comptes à rendre à personne, d’autre qu’à nous-mêmes. En effet, il semble que cette définition "par défaut" nous conduise logiquement à faire plusieurs constats : Cette liberté se manifesterait en opérant des choix, en prenant des options d’abord abstraites. Nous concevrions ce qui pourrait nous convenir au mieux. Et, tant qu’à faire, autant considérer

qu’effectivement, à première vue, la liberté soit l'absence de toute contrainte. C'est-à-dire la capacité d’agir en toute indépendance, sans avoir de comptes à rendre à personne, d’autre qu’à nous-mêmes. En effet, il semble que cette définition "par défaut" nous conduise logiquement à faire plusieurs constats : Cette liberté se manifesterait en opérant des choix, en prenant des options d’abord abstraites. Nous concevrions ce qui pourrait nous convenir au mieux. Et, tant qu’à faire, autant considérer

des personnages de farces à cause de leur hypocrisie.On peut dire que dans le livre VIII, la Bruyère montre que la cour n’est que faux semblants, hypocrisie et manigances. Il dénonce le règne des apparences, les courtisans sont dépassés par leur orgueil et leur ambition démesuré. Il se moque de leurs comportements, des règles ridicules, de leur besoin incessant de plaire qui font d’eux le pantin du roi et des plus puissants. Toute ses choses dont les courtisans sont fustigés renvoi à l’hypocrisie

foyer d’infection qui s’étend et qu’au bout de tous ces traités violés, de tous ces mensonges propagés, de toutes ces expéditions punitives tolérées, de tous ces prisonniers ficelés et « interrogés », de tous ces patriotes torturés, au bout de cet orgueil racial encouragé, de cette jactance étalée, il y a le poison instillé dans les veines de l’Europe, et le progrès lent, mais sûr, de l’ensauvagement du continent. Et alors, un beau jour, la bourgeoisie est réveillée par un formidable choc en retour :

indiquant que ce n'est pas un crime, puisque tout le monde le fait, et qu'il n'y a pas d'autre choix que de feindre l'amitié en société. Cela permet de ne pas se fâcher avec les personnes de la Cour.Alceste ne supporte plus ces fausses relations humaines dans lesquelles ils évoluent et veut changer cela en exprimant ce qu'il pense. Philinte tente de le convaincre de l'utopie de son engagement. De surcroît, il ne comprend pas qu'Alceste tombe amoureux de Célimène qui fait partie de ces gens-là (elle

pouvoir se mentir à lui-même. En effet, comment l'Homme qui par sa conscience est à même de connaitre la réalité des choses pourrait-il nier ce savoir ? Dès lors, s'il nie ce savoir, il n'en demeure pas moins qu'il sait toujours ce qui est vrai. A défaut d'un mensonge envers soi-même, ce serait plutôt se bercer d'illusions vaines, tout en ayant connaissance de la réalité. La conscience de l'Homme est une et indivisible, elle apporte un savoir sur ce qui entoure l'Homme et sur ce qu'il y a en l'Homme

d'amour propre, et est injuste avec lui, croyant mérité des châtiments et s'attribuant lui-même des torts. Et cette ignorance de sa propre valeur renforce cette valeur et confirme sa spontanéité et son désintéressement. Il ne possède ainsi aucun orgueil. Naif et innocent, il ne s'intègre donc pas dans la société, qui elle, est dans un jeu de pouvoir, de mal et d'hypocrisie et sa manière n'agir est anti-conventionnel et étonnante Il parait ainsi singulier aux autres personnages et est désigné comme

second poème que j’ai choisi est « La poule aux œufs d’or » il appartient au livre V des Fables. Cette fable dit que les avares désirent posséder toutes les richesses du monde, qu’ils n’en auront jamais assez, mais on verra que malheureusement, ce défaut peut leur coûter très cher. Je l’ai choisie pour représenter le péché de l’avarice.  C’est au tour de Monsieur Joachim Du Bellay, poète français né en 1522 et mort en 1560. Il a participé à la Pléïade – groupe d’écrivains ayant pour but de renforcer