L Orgueil Defaut De L Humain

les cités ; carnassiers, tous les empires ; insondable, la Providence. Seules me réconfortaient la crue du Nil, la ronde des astres et les naissances saisonnières des bufflons. (p. 271) Léon l’Africain accorde beaucoup d’importance aux contacts humains. Il cherche à connaitre chaque personne qu’il rencontre, il est toujours particulièrement heureux de retrouver quelqu’un qu’il a côtoyé par le passé, et les différences culturelles et religieuses ne constituent en aucun cas un obstacle pour lui.

« La Bruyère grand moraliste du 17ème siècle décrit dans son œuvre les mœurs, les comportements des hommes pour dénoncer leurs vices, leurs défauts.» - Une amorce de type historique : « Au 17ème siècle de nombreux auteurs se sont penchés sur l’étude de la morale (étude du bien et du mal) et des mœurs (description des comportements humain) tels La Rochefoucauld, ou encore La Bruyère. Ces auteurs préfigurent les philosophes du 18ème et leur esprit critique. 2 / Situation générale :

Louis XIX que La Fontaine écrivit Les Obsèques de La Lionne . Une rivalité oppose alors le monarque à Fouquet , intendant des finances et ami de La Fontaine . En effet ce dernier aurait organisé une fête grandiose , ce qui blessa Louis XIV dans son orgueil et fit naître de la jalousie à son égard . Le roi fit arrêter Fouquet. La fable , genre littéraire datant de l’Antiquité ,qui revêt une fonction satirique est alors utilisée par La Fontaine pour exprimer son opinion sur la condamnation de Fouquet

mais on aime, et quand on est sur le bord de sa tombe, on se retourne pour regarder en arrière ; et on se dit : “ J'ai souffert souvent, je me suis trompé quelquefois, mais j'ai aimé. C'est moi qui ai vécu, et non pas un être factice créé par mon orgueil et mon ennui. ” Il sort. Extrait de : On ne Badine pas avec l’Amour - Alfred de Musset On remarque que c’est Perdican qui monopolise la parole alors que plus haut dans la scène, c’était Camille. Ici, son intervention se résume à une simple question

avec des attributs. Elle est la fille du dieux Hélios et d’une nymphe des eaux, Homère la considère comme un déesse a part entière, ce qui ne semble pas avoir été le cas du reste de sa parentèle .Néanmoins elle laisse apparaître quelques aspects humains, en effet elle a une très belle voix. Les hommes eux même sont confus : « est-ce une femme ? une déesse ? » (v228, chant X) ; « Quelqu’un chantait d’une voix claire, femme ou déesse ; »(v254). Les dieux étant immortels, la crainte de Circée au vers

plus connu pour ses pièces qui traitent de « la métaphysique du cœur », ce qu’on a appelé le marivaudage : La Surprise de l’amour (1722), la Double Inconstance (1723), Le Jeu de l’amour et du hasard (1730). Marivaux dit avoir « guetté dans le cœur humain toutes les niches différentes où peut se cacher l’amour lorsque’ il craint de se montrer », et chacune de ses comédies a pour but de le faire sortir de l’une de ces niches. Marivaux a été l’auteur le plus joué de la première moitié du XVIIIème siècle

dans sa quête de retour. Celui-ci désirant rentrer chez lui pour retrouver sa femme qui l’attend Pénélope, va pour cela traverser des lieux plus ou moins hostiles et cultivés, parcourir différentes étapes qui le font aller du monde sauvage au monde humain. Il doit notamment traverser l’île des Cyclopes, où le danger règne et où la dévoration siège. Il va y rencontrer le Cyclope Polyphème, fils de Poséidon, qui va les accueillir lui et ses compagnons de manière plutôt sauvage. Une opposition va alors

………………………………………………………………………………………………..…….… .………………………………………………………………………………………………..…….… 2. A qui écrit-il alors et à propos de quel être cher ? Comment le qualifie-t-il ? - 2 points - ………………………………………………………………………………………………………… ………………………………………………………………………………………………………… 3. De quel défaut s’accuse-t-il ? Et pourtant de quoi est-il fier ? - 1,5 points- ……………………………………………………………………………………………..………… …………………………………………………………………………………….…………………. 4. Quel message envoie-t-il aux mères de ses amis ? - 1 point - ………………………………………………………………………………………………

Illusions perdues Illusions perdues est un des plus longs romans de la Comédie humaine d’Honoré de Balzac. Pour beaucoup, dont Marcel Proust, ce livre est aussi le meilleur de Balzac[1]. Il a été publié en trois parties entre 1836 et 1843 : les Deux Poètes, Un grand homme de province à Paris et Ève et David. Il fait partie du vaste ensemble des « études de mœurs », et plus précisément des Scènes de la vie de province. Inspiré à Balzac par son expérience d’imprimeur, il raconte l’échec de Lucien

sadisme, en effet il prend plaisir a regarder le Lion mourir, on relève « rit de voir » (v23). Les traits de caractères du Moucheron permettent de lui donner une symbolique humaine. En effet on peut le comparer à un soldat grâce aux mots « Trompette » (v11) et « Héros » (v11). Il incarne la figure du petit avec ses défauts (vantard par exemple), mais aussi ses qualités (il n'abandonne pas ses projets). Ainsi il pourrait représenter un petit noble qui se révolte. On pourrait croire que c'est La Fontaine