L âge De Fer Ovide Métamorphoses

mille porte-voix ; C’est un phare allumé sur mille citadelles, Un appel de chasseurs perdus dans les grands bois ! Car c’est vraiment, Seigneur, le meilleur témoignage Que nous puissions donner de notre dignité Que cet ardent sanglot qui roule d’âge en âge Et vient mourir au bord de votre éternité ! Collections 19 Litteratura.com Spleen et Idéal VII LA MUSE MALADE Ma pauvre muse, hélas ! qu’as-tu donc ce matin ? Tes yeux creux sont peuplés de visions nocturnes, Et je vois tour à tour

de la guerre deviennent ceux de la paix. Ainsi les portes s’ouvrent et les veilles cessent. Se dessine ainsi en creux l’angoisse de ceux qui se sentent constamment exposés, menacés. Le jeu des synecdoques permet ce renversement qui fait passer « le fer » et les « tambours » du champ de bataille aux champs de blé, aux travaux et aux fêtes de la campagne. On sent dans cette évocation de la paix le souvenir toujours menaçant des « frayeurs de la guerre » (v. 5). Les deux temps de la deuxième strophe

le bac : « Monologue et solitude dans le théâtre contemporain » .............157 Vers le bac : « La lettre, accessoire de jeu » .......................................................160 Chapitre 3 Écriture poétique et quête du sens, du Moyen Âge à nos jours ..................................................163 Séquence 10 Les jeux de l’amour .......................................................................165 Séquence 11 Histoire des arts : Dame Nature en son jardin ...............

le bac : « Monologue et solitude dans le théâtre contemporain » .............157 Vers le bac : « La lettre, accessoire de jeu » .......................................................160 Chapitre 3 Écriture poétique et quête du sens, du Moyen Âge à nos jours ..................................................163 Séquence 10 Les jeux de l’amour .......................................................................165 Séquence 11 Histoire des arts : Dame Nature en son jardin ...............

mille porte-voix; C'est un phare allumé sur mille citadelles, Un appel de chasseurs perdus dans les grands bois! Car c'est vraiment, Seigneur, le meilleur témoignage Que nous puissions donner de notre dignité Que cet ardent sanglot qui roule d'âge en âge Et vient mourir au bord de votre éternité! Fleurs du mal Fleurs du mal Charles Baudelaire inkwatercolor.com Charles Baudelaire inkwatercolor.com 21 21 La Muse malade édition de 1861 édition de 1861 Fleurs du mal Ma pauvre

Jusqu’à un certain matin de juin, les parents de Colin l’avaient toujours trouvé normal. Assis dans sa chaise haute, Colin, alors âgé de vingt-cinq mois, prenait son petit déjeuner constitué d’aliments d’origine végétale indéterminée, pendant que son père lisait le Chicago Tribune de l’autre côté de la petite table de cuisine familiale. Colin était menu pour son âge, mais grand et coiffé d’épaisses boucles brunes qui se dressaient sur son crâne avec une imprévisibilité toute einsteinienne. –

s'inscrit (Cf. cidessous : liste d'œuvres.) Aucune dérogation ne peut être obtenue. Il précise pour chaque œuvre, dans l'ordre suivant :  le nom de l'auteur ;  le titre complet ;  et le siècle ;  de plus, pour les œuvres anciennes (Moyen Age et XVI siècle) ainsi que pour les recueils de contes et de nouvelles, l'édition. e Ces œuvres sont lues et étudiées dans leur version intégrale et dans la langue originale ou, le cas échéant, dans les éditions mentionnées dans la liste d'œuvres. 2

mécanique » (l. 5), « machine » (trois occurrences l. 7-14-19), « instruments » (l. 21), « huile » (l. 24) – s’oppose au champ lexical du corps humain – « des pieds aux oreilles » (l. 5), « le tour de la tête » (l. 9), « sa substance » (l. 15). La dureté du fer – « la ferraille » (l. 7), « boîte aux aciers » (l.  18) – s’oppose à la substance molle du corps humain présenté avec réalisme comme un ensemble de pièces de boucherie : « sa viande » (l. 8), « les tripes » (l. 10). Le corps humain perd son unité,

........................56 XXXIX. À CELLE QUI EST TROP GAIE..57 FLEURS DU MAL..............................................57 LXXX. LESBOS............................................57 LXXXI. FEMMES DAMNÉES.....................58 LXXXVII. LES MÉTAMORPHOSES DU VAMPIRE.....................................................60 Charles Baudelaire – Petits poèmes en prose........................................................60 I. L’ÉTRANGER...........................................61 II. LE DÉSESPOIR

DÉTERMINATION DE L’IDÉAL.I. DE LA DÉTERMINATION DE L’IDÉAL EN LUI–MÊME. 1° Le divin comme unité et généralité. 2° Comme cercle de divinités. 3° Le repos de l’idéal. II DE L’ACTION. I. De l’état général du monde. 1° De l’indépendance individuelle : âge héroïque. 2° État actuel : situations prosaïques. 3° Rétablissement de l’indépendance individuelle. II. De la situation. 1° L’absence de situation. 2° La situation déterminée non sérieuse. 3° La collision. III. L’action proprement dite. 1° Des puissances