L égalité Homme Femme

Introduction de Maryse : Madame Libermann dans une enquête à la radio pose la question « qu’est-ce qu’un homme » ? Les réponses diffèrent : « -Je ne sais pas -c’est un être humain -quelqu’un qui sert à une femme -un être vivant -quelqu’un qui pense, qui réfléchit à ce qu’il fait -un souffle, rien, une prétention -le contraire d’une femme -homme masculin ou être humain ? -un être humain comme la femme avec quelque chose de plus : l’orgueil ». Chez les hominiens quand tout le monde devient bipède l’hominien

couleurs de peau, il a exprimé son profond désir de changement pour l’amélioration des relations humaines. Son rêve de la societe etait de voir une egaliter entre noires et blancs. Mais aujourd ' hui, pour moi, essayer de resumé mon rêve de la societe en une pages, serais une chose assez compliquer, car mon rêve ne se limite pas a l'egalité Homme/Femme, ou a l'abolition du racisme mais va bien plus loin ! En effet mon rêve serai de voir une societé ou les inegalités n'existent pas ou peu, et si

Liberté, égalité, fraternité J'ai l'honneur de prononcer ce discours, aujourd'hui 8 Mars, journée internationale de la femme, je tiens à m'adresser solennellement à tous les représentants présents aujourd'hui car je porte en moi la voix de chaque femme. Mes trois premiers mots, symbole de la république française doivent éveiller en chacun d’entre vous le retard que subissent les femmes dans ces trois domaines. En effet quel que soit l’endroit dans le monde, il y a une femme privé de sa liberté

“l’Homme” (homme+femmes)→ exclutles femmes, c’est seulement pour les hommesIl n’y a pas de précision à qui il est égal, c’est seulement entre hommes.DDFC Art. 1er. La Femme naît libre et demeure égale à l'homme en droits. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l'utilité commune. F en majuscule → Montre que lorsqu' ils utilisent “l’Homme”, ils ne parlent vraiment que des hommes.Elle doit dire par rapport à qui la Femme est égale

ON NE NAÎT PAS FEMME : ON LE DEVIENT   (Simone de Beauvoir)        La célèbre formule de Simone de Beauvoir pourrait bien résumer l'enjeu du débat contemporain sur l'identité du  sujet humain. La question du « genre », que l'on dissocie en langue anglaise du « sexe », fonde en effet une  problématique qui décide de la façon de considérer les identités historiques ou communautaires, une question  centrale dans la démocratie contemporaine.       Que le genre puisse être distingué du sexe entraine la potentialité de leur désarticulation

ouvert aux femmes, en 1970, l’autorité parentale est partagée entre l’homme et la femme. Cependant dans les faits, les inégalités persistent. Dans le monde du travail, on atteint la parité, c’est-à-dire qu’il y a quasiment autant de femmes que d’hommes dans la population active mais à qualification égale, les femmes gagnent moins que les hommes, un homme avec enfant voit sa carrière évoluer plus vite qu’un homme sans enfant, c’est le contraire pour les femmes, les postes à responsabilité sont

citoyens « passifs ». Condorcet, philosophe, mathématicien, et homme politique français, représentant des Lumières, eut beau faire appel pour que ce droit ne soit pas retirer, les femmes furent exclues du droit de vote. Ce fut lui qui inaugura une série d’actions significatives, lorsqu’il publia en 1790 un texte sur « L’admission des femmes au droit de vote ».Mais cette exclusion fut maintenue par la Constitution de 1791. Une femme s’est illustrée à cette période pour s’être battues afin que les

Au matin du 3 novembre 1793, Olympe de Gouge qui avait déclaré que “si une femme a le droit de monter sur l'échafaud, elle doit avoir également celui de monter à la tribune”, est guillotinée devant la foule sur la place de la Concorde. Elle combat pour l’égalité entre les hommes et les femmes pendant la Révolution française. Les femmes ont participé à la révolution pour l’égalité entre les Hommes mais ce bénéfice n’a profité qu’aux hommes. Elle n’a pas eu le droit de monter à la tribune

Le nom de l’enfant Pendant des siècles et jusqu’en 2002, les lois relatives à l’attribution du nom de l’enfant renvoyaient « l’image d’une famille réduite à un mari et un père » comme le dit M. Gobert dans attribution du nom : égalité ou liberté ? En Effet, une loi d’origine coutumière imposait que l’enfant légitime prendrait le nom du père ce qui reflète une conception patriarcale de la famille. Ce principe trouve son origine dans la tradition féodale qui remonte au XIème siècle et est lié à

............................................................................................ 2 I) Parité et égalité homme/femme ................................................................................................ 2 1) ................................................................................................................................é volution des droits de la femme ........................................................................................2 2) évolution des droits