L éloge De L Oranger

seraient les rois de France et de Prusse habilement travestis par Voltaire (renvoie à la guerre de 7 Ans). Alors que le texte ressemble à un éloge de l’armée et du combat, le texte est en réalité une violente attaque contre la guerre, du fait de l’ironie omniprésente et du réalisme cru et cruel des descriptions. A – Les termes mélioratifs et laudatifs : un éloge de la guerre, en apparence Une guerre présentée comme une fête - présence de musique : énumération des instruments (l.2), résumés dans

traits du visage de la muse sont simples, il y a une opposition  entre la douceur de la muse et la force des gestes et les  couleurs sombres du tableau.  Auteurs Européens /  Oeuvres phares      Les 4 saisons​  d’Arcimboldo:  ­François Rabelais (1494­1553) : ​ Gargantua  ­Erasme ​ Éloge de la folie  ­Michel de Montaigne (1533­1592) : ​ Les Essais  ­Thomas More (1478­1535) : ​ Utopia  ­Machiavel ​ Le prince  ­​ Joachim du Bellay (1522­1560) : ​ L’Olive  ­Pierre de Ronsard (1524­1584) : ​ Les Odes    ­En haut à gauche, représente

description. Enfin, il s'avère que ce poème relève d'un éloge de ce fruit. Le poète débute par une analogie filée entre l'éponge et l'orange et plus particulièrement dans leur réaction face à "l'expression". nous notons que le premier mot est le mot de comparaison "comme" qui tisse d'emblée un lien entre l'ustensile de cuisine et l'aliment. Des termes techniques et non poétiques sont employés pour décrire ce qui se produit à l'intérieur d'une orange lorsque celle-ci est pressée:les "cellules" éclatent

ils le devraient. c) Un éloge de la chevelure blonde, un véritable mode de vie Tout au long des pages 51 et 52 du roman, un éloge de la chevelure est au centre du récit, et il représente finalement le moteur de l’extrait. La chevelure blonde fait l’objet d’un catalogue de comparaisons surréalistes aux lignes 34 à 36. L’auteur met en avant ici un type d’analogie spécifique mêlant comparaisons et antithèse rappelant la célèbre phrase « la terre est bleue comme une orange ». On retrouve ainsi l’expression

fait partie du comparé, il est mit en valeur par un rejet (v3/4) meurt..obus (= enjambement) I-B) Diversion de peintre, esthétique et réelle. Il est ami des peintre cubistes. (v4) éclatant (v5) jaune → rappel des étoiles, allusions cosmiques (v9) orange → rappel a la chaire de Lou (v13 et 16) le sang. Il y a une reprise anaphorique (v12/13) « murissant ».. Les couleurs sont toujours vives (v17/18) → rappel a la vie, des couleurs chaudes (v23/25) Le rouge représente l'amour qui le lit a Lou. (v17/18)

DuChamp (Elle a chaud au cul, expression du Dadaisme) Manifest du surréalisme ● Le merveilleux ● libérer la pensée des contraintes de la logique/de la raison ● rejette le positivisme André Breton (co-fondateur du surréalisme) La Terre est Bleu Comme un Orange poem ● Les valeurs surréaliste Paul Eluard Discours sur La Négritude ● l'effort de reconstituer une culture noire et une histoire noire ● réclamation d’une culture perdue ● récupération de l'identité noire Aime Cesaire (un fondateur de la négritude

châteaux/villas etc. Ponge dit vouloir que les hommes, à la façon du coquillage, se sculptent de tous petits habitats à peine à leur taille. J’ai trouvé cette idée drôle et assez marquante. Ensuite l’auteur fait référence à de grands écrivains en faisant leur éloge et leur vantant leur « monument » qui est la parole. Je n’avais encore jamais entendu cette métaphore du monument en la parole, je l’ai bien aimée. LES PLAISIRS DE LA PORTE Ce poème était plutôt amusant car empoigner une porte est quelque chose qu’on

sur les deux sens du mot monument, vestige archéologique, et au sens figuré, témoin de quelque chose de disparu. Au vers 10, le jeu s’effectue sur l’ordre des mots. Selon la place de l’adverbe seulement le verbe devient soit un éloge de Rome : Seul Rome pouvait vaincre Rome ; soit une constatation pessimiste : Rome finalement n’a abouti qu’à se détruire elle-même. Sous forme paradoxale, l’auteur élargie donc sa vision du destin du Rome des guerres civiles (v

surréaliste, dont il se démarque par la singularité de son projet poétique. Dans son premier recueil : Le Parti pris des choses , publié en 1942, notre auteur consacre des poèmes entiers en prose à des objets (pain, huître, orange ou encore cageot), c’est-à-dire à des « choses » qui ne font pas généralement l’objet d’un poème. Il poursuit sa réflexion poétique dans le recueil : Pièces (1962) où s’inscrit notre poème en prose : « Ode inachevée à la

dédicace à Théophile Gautier et du poème « Au lecteur ». Edition de 1861 Edition définitive + 35 poèmes et nouvelle partie B apporte soin particulier à la disposition du recueil suivant un itinéraire précis. Lettre à Vigny de 1861 : « Le seul éloge que je sollicite pour ce livre est qu’on reconnaisse qu’il n’est pas un pur album et qu’il a un commencement et une fin. » L’ordre du recueil : un itinéraire spirituel - dédicace à Théophile Gautier : Emaux et Camées théorie de « l’art pour l’art »