L étranger La Fatalité Du Soleil

où les deux protagonistes, le taureau et la reine, renverraient au Soleil et à la Lune, puis métaphoriquement à l'autorité royale. La mythique fait de Pasiphaé une descendante du Soleil, dont elle est la fille, au même titre que Circé et Aétès (Apollodore 1,9,1 « Phrixus vint chez les Col- chidiens dont le roi était Aetès, fils du Soleil et de Perséis, et frère de Circé et » ; 111,1,2 « Minos épousa Pasiphaé, fille du Soleil et de Perséis »). Sur le plan étymologique, son nom rayonne de l'éclat

—Je ne trouve rien d’admirable comme les soleils couchants . . . mais au bord de la mer, surtout.” C’est ce qu’Emma répond à Léon lors de leur célèbre duo romantique au début de la deuxième partie du roman. Emma est présente à plusieurs soleils couchants dans sa vie, mais jamais au bord de la mer . . . situation paradoxale, défiant tout réalisme, dans un roman où toute une vie se passe en Normandie, et où dans la première maison de la jeune mariée, “Il arrivait parfois des rafales de vent, brise

littérature parisienne qui font comme si la langue française était à eux et leur appartenait. Mais quoi ? Le fait est là et, à défaut de pouvoir plus longtemps être considérée comme un larcin, cette pratique littéraire de la langue française par des étrangers d'outre-Méditerranée doit être, aux yeux des Parisiens, interprétée comme un merveilleux cadeau de leur part. Ils attendent donc que "nous les en remerciions". On pourrait en effet citer (mais Dib ne le fait pas) beaucoup d'écrivains francophones

personne n’est condamnable : Déruchette et Ebenezer ont raison de s’aimer, sont dans le vrai comme les amoureux de Molière, même si leur bonheur a des conséquences tragiques qu’il n’a pas chez Molière, et même si leur liberté est pour Gilliatt une fatalité ; d’autre part, le prétendant de l’oncle, Gilliatt, n’est pas un intriguant, mais au contraire un homme du sacrifice ; enfin Lethierry, l’oncle, n’est pas 6 III, 1, 2, p. 481. 7

refrain. La forme poétique est issue de la littérature médiévale reprise par les romantiques L’Invitation au VoyageMon enfant, ma sœur, Songe à la douceur D’aller là-bas vivre ensemble ! Aimer à loisir, Aimer et mourir Au pays qui te ressemble ! Les soleils mouillés De ces ciels brouillés Pour mon esprit ont les charmes Si mystérieux De tes traîtres yeux, Brillant à travers leurs larmes. Là, tout n’est qu’ordre et beauté, Luxe, calme et volupté. Des meubles luisants, Polis par les ans, Décoreraient notre

dans le jardin des Capulet nous montre qu’il y a une attirance irrépressible qui le domine. Roméo utilise une comparaison qui reflet ses émotions pour Juliette. Il la compare au soleil ; « Quelle lumière perce à cette fenêtre ? C’est l’Orient et Juliette en est le soleil ! » Cette comparaison est importante. Le soleil est l’objet qui donne vie à tous les objets vivants sur la terre. C’est dans la même façon que Roméo voit Juliette. Elle est sa raison pour vivre. N’oublions pas qu’ils se sont

..............................................................53 LE JET D'EAU.........................................................................................................................................................53 LE COUCHER DU SOLEIL ROMANTIQUE.......................................................................................................54 LE GOUFFRE........................................................................................................................

Descriptif de la classe de 1ère G1 M. Corbineau La po�sie du XIXème au XXIème siècle Les Fleurs du Mal de Charles Baudelaire Explications de textes tir�s des Fleurs du Mal • Texte 1 : « Le soleil » • Texte 2 : « Une charogne » • Texte 3 : « Hymne à la beaut� » Parcours de lecture Alchimie po�tique : la boue et l’or • Texte 4 : « Ode inachev�e à la boue » de Francis Ponge, Pièces Lecture cursive • Le Cœur innombrable d’Anna de Noailles • Le Parti pris des choses de Francis Ponge • La Poursuite

sauverai pas. » Et les autres personnages reconnaissent aussi cette généalogie ; Créon retrouve en elle l'orgueil d'Oedipe. Évoquer ces origines, c'est insister sur le fait qu'elle est la «victime choisie par le destin», qu'elle est soumise à la fatalité, qu'elle est engagée dans une voie toute tracée et qui la dépasse. Mais sa lutte ne cessera pas, dût-elle en mourir. Malgré les avis d'Ismène, elle ensevelit Polynice, bravant ainsi Créon qui ordonne son supplice. Et le couple Antigone / Hémon est

l’absurde. I ] L’érotisme de la scène. A) Un décor intimiste. * Cadre spatio-temporel : la scène se déroule le jour des vacances de M, « J’ai bien travaillé toute la semaine ». * Champs lexical de l’été : « chaleur », « soleil ». * La plage, loin du tumulte de la ville, elle est dissimilée, uniquement ouverte sur la mer ce qui lui confère une ambiance intimiste. * Le narrateur ne fait référence à aucune autre personne humaine. * La tiédeur de l’eau, connote