L étranger La Fatalité Du Soleil

théâtre apparait dans les années 1940-50, avec des auteurs comme Adamov, Ionesco ou Beckett. * Le lieu et temps : * Le lieu de l’intrigue est flou, inconnu. * le temps est incohérent (le temps passe trop lentement, le coucher de soleil dure des heures, une pendule sonne un nombre improbable de fois) * Intrigue * Il n’y a pas d’action, l’histoire n’avance pas. * Ce vide absurde est le reflet de l’absurdité de la vie humaine-même : nous sommes sur terre et attendons

est aussi reprise dans l’étranger ou l’on suit la vie de Meursault, le meurtre qu’il commet, son procès et sa détention avant de se faire exécuter en Algérie où camus a d’ailleurs vécu. L’incipit A une attitude déconcertante 1) Une réaction étrange : question de la date de la mort, personnage décalé : garde de ses même habitude 2) Décalage : il est ennuyé plus qu’affecté : « affaire classé », il est toujours en décalage, il se demande quand sa mère est morte 3) Une absence d’émotion :

disent la vérité => valeur initiatique et didactique. *chant XII: Retour chez Circé. Aiaié-> funérailles d'Elpénor SIRENES chantent, elles apportent la connaissance. CHARYBDE ET SCYLLA monstres qui représentent des femmes monstrueuses. L'ILE DU SOLEIL: Ulysse perd son dernier bateau (île où il ne faut pas manger les vaches) Ulysse s'endort car il est fatigué. CALYPSO (île d'Ogygie: il reste 7 ans) Il est seul car c'est le seul qui respecte les Dieux. *chant XIII: Arrivée chez les Phéaciens

belle-mère, Phèdre, d'une calomnie puis d'une impulsive réaction de son père, Thésée, qui aboutit à son meurtre, avec I'aide du dieu Neptune. En effet, Aphrodite a aussi un compte à régler avec Phèdre, parce que le grand-père maternel de celle-ci, le Soleil, qui voit tout, avait dénoncé son adultère à son mari, Héphaïstos. En conséquence, elle l’anime d'un érotisme monstrueux qui se manifesta surtout dans une première version de sa pièce, à laquelle Euripide avait donné le titre d‘’Hippolyte voilé’’

récit, doit être relaté). Ex : « on dit qu'on a vue même en ce désordre affreux, un Dieu… » (Phèdre) - la Poétique inaugure une tradition de dévaluation du spectacle « quant au spectacle, qui exerce la plus grande séduction, il est totalement étranger à l'art et n'a rien à voir avec la politique, car la tragédie réalise sa finalité même son concours et sans acteurs. De plus, pour l'exécution technique du spectacle, l’art fabricant d'accessoires est plus décisif que celui des poètes. » (Poétique

perdre dans un ailleurs meilleur. Ce recours est utilisé par les désespérés et les idéalistes (artistes). - Fleurs du mal (9 poèmes) : constitue le second paradis, présente la luxure, le vice et les amours interdites (homosexualité féminine) => fatalité du désir. - Révolte (3 poèmes) : monde où les tentations charnelles sont assouvies. On cherche maintenant une satisfaction spirituelle. On va rejeter Dieu qui n'a pas répondu et on célèbre l'alliance avec Satan - La mort (6 poèmes)

Et mon amant s'y tient il m'a vue il m'appelle Mon cœur devient si doux c'est mon amant qui vient Elle se penche alors et tombe dans le Rhin Pour avoir vu dans l'eau la belle Loreley Ses yeux couleur du Rhin ses cheveux de soleil Analyse Lorelei (mot qui vient du moyen allemand «lürelei» [ de «lüren» : épier ; «lei» : rocher]) est le nom d’une falaise située, entre Sankt Goarhausen et Bacharach, sur la rive du Rhin dont le courant vient s’y briser. Aussi était-elle redoutée

importantes a ses yeux d'enfant. Sa chambre d'hôtel va le rendre si triste qu'il restera dehors le plus longtemps possible. Il ne veut pas rester enfermé dans une pièce,comme un enfant qui ne veut pas mourir d'ennui enfermé à l'intérieur. Il est étrange au début du récit car il a mal à l'âme mais sans savoir pourquoi. Nous imaginons que c'est parce qu'il part de sa province pour la première fois. C'est comme si quelque chose lui manquait mais qu'il ne savait pas quoi. Nous sentons qu'il est malheureux

TROP DE SOLEIL TUE L’AMOUR DE MONGO BETI :UNE ESTHÉTIQUE DE LA DÉLIQUESCENCE C’est vrai que selon Mongo Beti «le titre d’un livre est la chose la moins originale, aussi bien pour un roman que pour un essai » (Kom, 2002 :68). À l’observation cependant, Trop de soleil tue l’amour est en soi un titre révélateur ; une phrase dont le pivot, un verbe d’aspect conclusif ou terminatif marque, dans une esthétique de la somme, la fin des choses. Ainsi, la socialité du texte semble-t-elle marquée d’allusion

l'arbre ; et, au lieu d'éprouver vertige et angoisse comme dans le clocher d'York, il va se sentir rassuré et apaisé. Extase suprême, le soleil vient le réchauffer, l'illuminer de ses rayons et lui apporter « une allégresse nouvelle » Il empoigna la branche la plus accessible et s'y hissa sur un genou, puis debout, songeant vaguement qu'il jouirait du lever du soleil quelques minutes plus tôt s'il grimpait au sommet de l'arbre. Il gravit sans difficulté les étages successifs de la charpente avec l'impression