La Beauté Du Diable Aragon

sur la fonction de la littérature de son époque, Baudelaire détache la poésie de la morale, la proclame tout entière destinée au Beau et non à la Vérité3. Comme le suggère le titre de son recueil, il a tenté de tisser des liens entre le mal et la beauté, le bonheur fugitif et l'idéal inaccessible (À une passante), la violence et la volupté (Une martyre), mais aussi entre le poète et son lecteur (« Hypocrite lecteur, mon semblable, mon frère ») et même entre les artistes à travers les âges (Les Phares4)

et donc la disparition a lieu rapidement la représente. Le carrelage surement en marbre, les rideaux en velours, les habit des enfants avec de la couleur, des fruits sont symbole de richesse. L’impact de l’œuvre Le tableau par sa magistrale beauté et ces impressionnants détails fut un grand succès. Elle est en effet un chef d’œuvre : l’artiste a su combiné de manière subtile les couleurs et les lumières en plus des multiples symboles pour lui donner un sens. Conclusion Ce tableau attire

illustrent des faits stylistiques comme le tétramètre qui immortalise la passion de Phèdre pour Hippolyte : « Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue. » Elles résument pour nous une intrigue : « Rodrigue, as-tu du cœur ? » Elles contribuent par leur beauté mystérieuse à fonder notre sensibilité comme ce « Soleil noir de la Mélan- © Groupe Eyrolles 7 colie » qui affecte et illumine Nerval. Elles sont, avouons-le, parfois tout ce qui nous reste d’un auteur ou d’une œuvre, mais n’est-ce pas dire

— Jean Rostand l'épanadiplose [rhétorique et stylistique] répétition d'une expression, d'un groupe de mots, d'une réplique à travers un discours (insistance, hantise, effet comique...) « Le poumon ! » — Molière, Le Malade imaginaire « Mais que diable allait-il faire dans cette galère ? » — Molière, Les Fourberies de Scapin l’épanode répétition de groupes de mots qui semblent fonctionner de manière autonome alors que la poursuite du texte montre que ces termes étaient en réalité les annonces

péché est du diable, parce que depuis l'origine, le diable est pécheur. Quiconque est né de Dieu ne commet plus le péché, parce que sa semence demeure en lui, et il ne peut pécher parce qu'il est né de Dieu. A ceci se révèlent les enfants de Dieu et les enfants du diable"? Quelques passages de saint Jean sont dualistes. Les cathares disaient, que c'est le Christ lui-même, qui attestait que ce monde-ci est mauvais. Jésus n'a certainement pas dit, que le monde a été fait par le Diable, cependant les

dont le chemin est jonché de femmes évanouies." [ Ambrose Bierce ] Les citations du Monde 2 "Ce qu'il y a d'admirable dans le bonheur des autres, c'est qu'on y croit." [ Marcel Proust ] "Qui vole un bœuf est vachement muscle !" [ Chaval ] "La beauté du neuf, tout de même, c'est d'être propre." [ Jules Renard ] "Notre tête est ronde pour permettre à la pensée de changer de direction." [ Francis Picabia ] "C'est le coq qui chante, mais c'est la poule qui pond les œufs." [ Margaret Thatcher ] "Un

le chemin est jonché de femmes évanouies." [ Ambrose Bierce ] Les citations du Monde 2 "Ce qu'il y a d'admirable dans le bonheur des autres, c'est qu'on y croit." [ Marcel Proust ] "Qui vole un bœuf est vachement muscle !" [ Chaval ] "La beauté du neuf, tout de même, c'est d'être propre." [ Jules Renard ] "Notre tête est ronde pour permettre à la pensée de changer de direction." [ Francis Picabia ] "C'est le coq qui chante, mais c'est la poule qui pond les œufs." [ Margaret Thatcher ] "Un

— Jean Rostand l'épanadiplose [rhétorique et stylistique] répétition d'une expression, d'un groupe de mots, d'une réplique à travers un discours (insistance, hantise, effet comique...) « Le poumon ! » — Molière, Le Malade imaginaire « Mais que diable allait-il faire dans cette galère ? » — Molière, Les Fourberies de Scapin l’épanode répétition de groupes de mots qui semblent fonctionner de manière autonome alors que la poursuite du texte montre que ces termes étaient en réalité les annonces

existentielle partagée entre le Spleen et l'Idéal (Harmonie du soir – La cloche fêlée – La Mort des pauvres, il a su réussir une « alchimie poétique » exemplaire en extrayant Les Fleurs du mal dans son recueil publié en 1857Poète du monde réel et de la beauté, du bonheur et de la souffrance, de la morbidité et du péché, il a en grande partie fondé le type du poète tourmenté et inadapté au monde. Les poetes de fin du siecle : le symbolisme : Les figures de Verlaine (1844 – 1896) et de Rimbaud (1854 – 1891)

Jean-Jacques Rousseau Victor Hugo Paul Verlaine Marcel Proust J. Lanzmann, J. Dutronc Boris Vian Diodore de Sicile Homère Platon Virgile Anonyme Ibn Zamrak Bernard Palissy La Bruyère Madeleine de Scudéry Louis XIV La Fontaine Emile Zola Emile Zola Louis Aragon Victor Hugo Giuseppe Tomasi di Lampedusa A. de Musset 1 1. JARDINS DE FRANCE Calme jardin, Grave jardin Jardin aux yeux baissés au soir Pour la nuit Peines et rumeurs, Toutes les angoisses bruissantes de la ville Arrivent jusqu’à moi, glissant