La Beauté Est Elle Dans Le Regard Ou Dans La Chose Regardée

d’observer un peu les autres, on fait le constat si simple et pourtant si juste que l’art se trouve dans une position intermédiaire entre notre sensibilité et l’entendement humain, qui nous laisse penser que la finalité de l‘art ne se trouve que dans la beauté et l‘esthétique. Pourtant Proust lui trouve une autre utilité et reconnaît l’art comme la vérité suprême de la vie. Cependant, vouloir affirmer que l’art est la vérité suprême de la vie reviendrait à supposer que l’art est au dessus de toutes les

Le cadre était ovale, magnifiquement doré et guilloché dans le goût moresque. Comme œuvre d’art, on ne pouvait rien trouver de plus admirable que la peinture elle-même. Mais il se peut bien que ce ne fût ni l’exécution de l’œuvre, ni l’immortelle beauté de la physionomie, qui m’impressionna si soudainement et si fortement. Encore moins devais-je croire que mon imagination, sortant d’un demisommeil, eût pris la tête pour celle d’une personne vivante. Je vis tout d’abord que les détails du dessin,

Ventilateurs, tout ce qui n'était pas splendide était hideux. Ce qui revient à dire que presque tout était hideux. Corollaire immédiat: la beauté du monde, c'était moi. Non que ces sept années de peau, de chair, de cheveux et d'ossature eussent eu de quoi éclipser les créatures de rêve des jardins d'Allah et du ghetto de la communauté internationale. La beauté du monde, c'était ma longue pavane offerte au jour, c'était la vitesse de mon cheval, c'était mon crâne déployé comme une voile aux souffles

qu’une femme aujourd’hui ? Ces comportements, Profils, * Statistiques femmes en politiques, inégalités salariales… * Evolution actuelle de la femme OU * inégalités majeures, crimes, agressions, les femmes de plus en plus victimes ? (regard qu’on lui porte, tâches domestiques, mariages forcés, crime organisé, polygamie…mythe de la femme tentatrice, femme=mal) Problématique : Dans quelles mesures peut-on parler d’une évolution de la femme ? PLAN L’évolution de la femme XXe siècle

voyant son amant si occupé de saisir les regards de Napoléon, Julie éprouva un moment de jalousie en pensant qu’il ne l’avait pas encore regardée. Tout à coup, un mot est prononcé par le souverain3. Victor presse les flancs de son cheval et part au galop ; mais l’ombre d’une borne projetée sur le sable effraie l’animal qui s’effarouche, recule, se dresse, et si brusquement que le cavalier semble en danger. Julie jette un cri, elle pâlit ; chacun la regarde avec curiosité, elle ne voit personne ; ses

précisément l'expérience que l'individu possède de son propre corps, et favorise en lui la peur, l'incertitude et l'angoisse comme réactions émotionnelles qui le conduisent à la pratique d'un comportement de consommation à la recherche d'un idéal de beauté corporelle. Cette pratique de culte du corps est devenu aujourd’hui une préoccupation générale qui passe à travers tous les secteurs de la population et toutes les classes sociales. Elle s'appuie tantôt sur le discours de l'esthétique, tantôt sur

Chanel etc L’autorité de la marque La marque bénéficie d’une notoriété considérable, elle est idolâtrée des consommateurs. Le produit proposé par la marque devient une sorte de produit divin, une sorte de graal. Porter la marque devient quelque chose d’obligatoire pour le consommateur, il se sent rassurer, plus puissant en la portant. • La marque utilise son histoire, ses valeurs pour communiquer. Prenons pour exemple Jean Paul Gaultier : Pour son parfum « Le male », Jean Paul Gautier

répondu : — Présente. J’imagine que mon geste n’avait pas dû être assez discret, car Whitney Robertson, assise à quelques mètres de moi, a déplié ses longues jambes bronzées et a ricané. — T’es vraiment nulle, a-t-elle lâché. Je lui ai aussitôt jeté un regard noir et j’ai articulé silencieusement : « Va te faire voir ! » « Dans tes rêves », m’a-t-elle répondu tout aussi silencieusement en plissant ses yeux bleus ultra-maquillés, avec une moue provocante. — Hum, hum, a fait M. Greer en réprimant un bâillement

passion, sa vie est une suite de non événements, dont le bilan est vide. Avec son ami, Deslauriers, à la fin du livre, ils racontent une expédition qu’ils ont fait pour aller dans une maison close, se sont dégonflés et pensent que c’est la meilleure chose qui leur soit arrivée. Flaubert fait le portrait de sa génération à travers le portrait d’un jeune homme. Le 15 septembre 1840, Frédéric Moreau, jeune bachelier de 18 ans, rentre de Paris à Nogent, par la Seine, en bateau à roues... Ce fut comme

omniprésence du « je » et des pronoms qui y sont liés (pronom COD « me » et pronom COI « moi »). 1è et dernière phrase : « parmi les jeunes gens dont j'attirais les regards » / « le jeune homme que je laissais derrière moi » > tout tourne autour d'elle, elle est au centre de la scène, au coeur des regards, au coeur du récit. Champ lexical du regard : 1er vecteur de l'amour > 1er sens intervenant dans le coup de foudre. 2) Une pause intense dans le récit Temps verbaux : jeu entre le passé simple et l'imparfait