La Beauté Est Elle Dans Le Regard Ou Dans La Chose Regardée

Novembre il meurt à 38 ans, d'une grippe espagnole. L'amour   nourrit souvent l'inspiration des poètes. Il apparaît toujours beau, désirable. Quant à la poésie, elle se donne comme un langage et un univers supérieur au monde ordinaire, quelque chose de plus pur. L'amour entraîne le besoin de s'épancher. La poésie est la forme naturelle de ces épanchements. Les genres de l'éloge, de la célébration, du blason amoureux sont étroitement liés à l'amour. Les plus beaux poèmes ne sont-ils pas des poèmes

qu'est ce que l'art ? Dans l'usage courant on associe souvent le thème de l'art à celui de la beauté. L'œuvre d'art serait alors la représentation esthétique d'un idéal. Cependant toutes les œuvres d'art ne sont pas belles, c'est pourquoi Kant énonce « une œuvre d'art ce n'est pas la représentation d'une belle chose mais la belle représentation d'une chose ». La beauté de l'art ne repose pas dans la beauté du modèle mais dans la façon de le représenter. Ainsi, si l'art est beau c'est parce qu'il est

? Autrement dit, la beauté serait-elle universelle ou particulière dans ses modes de manifestations ? De plus, lorsque nous les jugeons belles, signifions-nous qu’elles le seraient par elles-mêmes ou que ce serait parce que nous les chargerions d’un coefficient de réalité, ne fusse qu’inconsciemment ? Dans cette lancée et pour mieux s’entendre, l’arc-en-ciel est-il beau pour qui le regarde le ventre vide, soucieux de trouver de quoi apaiser sa faim ? La fille regardée et dite belle, peut-elle

l’interprète ou le porte-parole de la nature. Nous allons donc nous demander en quel sens peut-on dire que l’art imite la nature ? Dans un premier temps, nous verrons comment l’art imite la nature, qui elle-même incarne l’idéal de beauté. Ensuite, nous verrons comment l’art ne peut pas simplement imiter la nature. Nous finirons en nous demandant comment l’artiste peut lui-même proposer sa propre vision dans ses œuvres. Spontanément, l’idée que l’art imite la

est gênée, ne sait plus où se mettre lorsqu’il la dévore du regard, rougit, déstabilisée. Dans la scène du bal, c’est elle en voyant arriver M. de Nemours qui le dévore du regard, nous sommes placés du point de vue de la princesse qui voit arriver Nemours (enjambe les chaises et vient jusqu’à elle), elle le reconnaît direct alors que c’est une première rencontre. Elle est gênée, pas car elle ne sait pas ce qui se passe, pquoi elle st regardée …(scène avec M. de Clèves) mais car elle est troublée, elle

celle du jour qui se sépare de la nuit de l'origine et le monde est le lieu de notre séjour. Reste à penser la possibilité de cet apparaître de l'être dont chaque œuvre est un événement singulier. Mais si l'être est « rien », puisqu'il n'est aucune chose, vient la pensée que le visible n'est pas l'opposé de l'invisible mais que l’invisible se rend visible. Et l'art serait l'élément de l'être en tant qu'il se rend visible. Mais qu'est-ce qui rend visible sinon la lumière ? L'art ne reproduirait pas

s'exprimer dans les revendications individualistes des publics, danseurs et chorégraphes. LIBERER LE CORPS ET LES FORMES, S’ENFERMER DANS LA REBELION « Les questions ne s'arrêtent jamais, pas plus que la recherche. Il y a là quelque chose d'infini. Si je regarde notre travail, j'ai l'impression d'avoir à peine commencé." Pina Baush La danse classique se cristallise autour de la recherche du geste et du corps parfait. Les positions fondamentales sont l" Les corps sont contraints (usages des pointes

hors de la culture, il n'y a plus de plaisir. On est dans un autre espace. Il s'agit d'une expérience esthétique. Quelque chose se passe en nous, nous empêche de comprendre, nous déborde. On ne peut le commenter. Le texte de jouissance nous prive de mots. On ne peut parler sur le texte mais seulement en lui (ex: paraphrase , citations…) Puis on réintègre et quelque chose en nous a changé. Il y a donc un moment de mutisme puis "quand les mots nous reviennent, notre langage est renouvellé" (W

romantiques 1874 : 1ere exposition des peintres impressionnistes Importance du rôle de la presseImportance des influences étrangères : • Cézanne découvre la peinture italienne au Louvre • 1830/40 : arrivée de la peinture Espagnole (Gaïa sera regardé par Delacroix et Velasquez) • Manet & Courbet regardent la peinture Espagnole • Teilor ramène près de 400 tableaux pour le conte Louis Philippe 1840 : arrivée de la photographie Le phénomène de Grand Tour (début XVIIe siècle)

II TRAVAUX D'ECRITURE (AU CHOIX !) A) COMMENTAIRE /16 POINTS Vous ferez le commentaire du texte C. B) DISSERTATION / 16 POINTS L'amour occupe dans le roman une place essentielle. En quoi sa représentation est-elle révélatrice du regard que porte le romancier sur l'homme et la société ? Vous réfléchirez à cette question en vous appuyant sur le corpus, sur les oeuvres étudiées en classe (cf. Les Liaisons dangereuses mais aussi corpus sur « l'inconstance ») et ... SUR VOS LECTURES