La Beauté Est Elle Une Qualité Des Choses

l’Antiquité préoccupés par la beauté. Platon, dans l’Hippias Majeur, va développer le concept d’esthétique négative. En effet, dans un dialogue aporétique, les personnages, Hippias et Socrate, tentent de répondre à la question de ce qu’est le beau, mais échouent. Dans ce dialogue, Socrate utilise la méthode dialectique. Il va réfuter chaque réponse donnée par Hippias, puis ses propres réponses. Cet échec amène Platon à la conclusion que l’on ne peut pas définir la Beauté par quelque chose du monde

Francis Ponge, Le parti prit des choses Intro : Francis Ponge est un écrivain et poète français né en 1899 à montpellier et mort en 1988 dans les alpes maritimes. Il écrit très jeune et se fait remarquer dès le début des années 1920 pour son talent d’écrivain. il est très engagé politiquement ayant des idées socialistes voire communistes. Il rejoindra même la résistance en 1942. il remportera de nombreux prix littéraires au cours de sa vie comme le prix international

bonne part par Voltaire (1694-1778) dans sa Connaissance des beautés et des défauts de la poésie et de l’éloquence dans la langue française (1749) : « J’ai reconnu avec plaisir, par l’effet qu’a produit sur notre théâtre tout ce que j’ai imité ou d’Homère ou d’Euripide, que le bon sens et la raison étaient les mêmes dans tous les siècles. Le goût de Paris s’est trouvé conforme à celui d’Athènes ; mes spectateurs ont été émus des mêmes choses qui ont mis autrefois en larmes le plus savant peuple de la

que l’œuvre d’art doit avoir un contenu moral. Ainsi Les malheurs de Sophie, de la Comtesse de Ségur, sont censés apprendre aux petites filles les bêtises qu’il ne faut pas faire, ce qui est bien et ce qui est mal. Il semble cependant que la qualité littéraire de l’œuvre de Flaubert dépasse largement celle de la Comtesse de Ségur, de par le style de l’auteur. Ainsi, c’est plutôt l’intérêt formel que le contenu de l’œuvre qui compte pour juger une œuvre d’art, et le récit des trajets d’Emma

beaux-arts. Quel est la signification de cette distinction ? Plus précisément, ce qui s’avère problématique, c’est l’existence même d’œuvres d’art, car admettre spontanément l’existence d’un domaine spécifique de l’agir humain, ayant pour fin la beauté ou cherchant à susciter un plaisir esthétique, ne va nullement de soi. En effet, nul ne sait ce qu’est l’Art ; et ceci se comprend aisément à partir du moment où nous remarquons que nous n’avons jamais affaire qu’à des manifestations plurielles et

n'est qu'un reflet = métaphysique de platon. ===> Pour Platon, les Idées sont des êtres qui correspondent à la réalité la plus vraie. Il existe un univers inaccessible au sens où se trouvent les Idées. Ces Idées sont les modèles qui ont la qualité d'être immuables vraies éternelles. Cet univers éclairé par l'Idée du Bien qui comme le feu du mythe de la caverne éclaire et rend visible toutes les autres idées. Notre a pour fondement le monde des Idées. L'homme est la connaissance, l'âme a

même ? I – Pourquoi travaille-t-on ? Il y a trois critères qui définissent le travail : 1 / Dans tout type d’énergie il y a une dépense d’énergie, physique, intellectuelle ou nerveuse. 2/ La contrainte principale c’est la quantité et la qualité du résultat a fournir, dans les méthodes, dans les techniques, les procédés. 3/ Le fait de produire un résultat qu’on appelle le « fruit » du travail. Le produit c’est ce qui résulte du travail (connaissance, objet). Le produit a une utilité, c’est

leur nourriture alléchante qu’après l’avoir touché et palpé. C’était l’époque où même la beauté de la femme et son attractivité relevait de ce que la palper dégageait. C’était aussi l’époque où les vendeurs marchant des siècles 10 à 14, convainquaient leurs clients potentiels en leur tendant les articles afin qu’ils les palpent pour pouvoir se décider. En ce temps là, on ne mettait pas l’accent sur la beauté ou l’attirance de l’étalage des marchandises, ni sur l’apparat du marchand lui-même. Tout

critères de beauté ? La beauté est certainement l’une des choses les plus subjectives au monde. De quelle beauté parle-t-on ? La beauté physique ? Dans ce cas il n’y a pas de critères de beauté, ce n’est pas mesurable, mais notre société nous impose des critères, nous prônant l’image d’une femme mince et d’un homme fort, au risque de mettre en péril sa santé. Les magazines, comme Elle ou Cosmo, dictent la façon d’évaluer une beauté, alors qu’au-delà de la beauté physique, la beauté intérieure est

cesse remis en question par l’art contemporain. Dès lors, faut-il admettre que tout peutêtre de l’art ? Pourtant, intuitivement nous sentons bien la différence entre une œuvre d’art et un simple objet. L’art et la nature L’art est-il au service de la beauté naturelle ? L’art doit-il se contenter d’imiter le plus exactement possible la nature ? Son œuvre serait alors une simple reproduction, et non pas une création. Et les productions naturelles seraient toujours des modèles indépassables, inégalables