La Beauté Est Elle Universelle

poème, Ronsard utilise le thème du Carpe Diem afin d’exprimer ses sentiments amoureux. Plan: I/ Le Carpe Diem a) La nature représentative de la beauté Lexique nature « bouquet » « fleurs » « fleuries »  fleur = métaphore filée de la femme, de la beauté sur les 2 quatrains. Fleur  symbole de la beauté, allégorie de la femme : « épanies » « vos beautés » b) La fuite du temps Allitération en « i » dans le premier quatrain  « vient » « trier » « épanies » « cueillies »  rappelle le « i » de « vie » :

qu’il est réellement ( il est un sage paisible et heureux) a pour but de montrer que la simplicité du bonheur, qu’il symbolise également , est finalement la meilleure des choses et grandit tout homme qui la possède (« son bonheur consistait aux beautés d’un jardin » v.7). Il a ainsi atteint l’idéal épicurien, selon lequel les dieux, parvenus à un bonheur eternel, sont des modèles à contempler. Son discours apparaît en outre, clairement métaphorique et a une visée morale sur la société des hommes

compris mon âme et m’aurait répondu ! ». Ne plus être seul face à cette « foule » qui prend ici une connotation péjorative. -Cet amour se traduit également dans la beauté de la nature et dans l’amour qu’il lui porte et donc qu’il porte à la vie « je contemple ses biens dont je n’ai pas joui » Ici s’exprime la peur de perdre la Beauté. -Mais l’espoir n’en est pas vraiment un ; dans le quatrain suivant, le retour au présent vient abolir l’espoir contenu dans la valeur du conditionnel. Les verbes

(où ce n'étaient que des élus qui représentaient les hommes). Ici, toutes les femmes, élues ou pas, sont des « représentantes ». Rappel : à cette époque les femmes ne sont ni électrices ni représentantes mais comme la DDHC de 1789 est à portée universelle (« Hommes » avec une majuscule désignant l’être humain c’est-à-dire les hommes et les femmes), les femmes sont de fait « représentantes » de la nation. O.de Gouges ne fait donc qu’expliciter leur légitimité. = but de la DDFC : compléter la DDHC

vers 8. Ces mêmes éléments caractérisent la femme aimée (« en ta première et jeune nouveauté », vers 9, « beauté », vers 10, « t’as tuée », vers 12, par exemple), rapprochant ainsi encore le comparant et le comparé. [Phrase conclusive paragraphe I1] La femme est la rose. [Phrase introductive paragraphe I2] Ce qui, en premier lieu, est remarquable chez cette femme, comme chez la rose, c’est sa beauté. En effet, ce poème d’amour se présente évidemment comme un éloge à la femme aimée. [Analyse et interprétation

ETUDE DU SINGE ET DU LEOPARD Le singe est présenté par La Fontaine avec une diversité de l’esprit. Il joue sur la multiplicité des sons. Le léopard est présenté par un courtisan dur roi qui profite de sa beauté pour plaire au roi (v4-5, v10). La beauté est éphémère et l’on finit par s’en lasser ; ici, le léopard profite de son atout physique pour plaire mais les gens se lassent tout de même. V10-11 : « partant chacun le vit. Mais ce fut bientôt fait. Bientôt chacun sortit ». On connaît les

la synthèse entre le courant romantique (le lyrisme) et le formalisme (la recherche maîtrisée de la perfection formelle). Modernité des Fleurs du mal Le titre des Fleurs du mal pose d'emblée les marques d'une esthétique nouvelle, «!moderne!», où la beauté, le sublime (que désigne le terme de «!fleur!») peuvent, grâce au langage poétique, surgir des réalités triviales de la nature et de la chair (le «!mal!»). Avec cette matière en guise d'inspiration, alliée à un travail méticuleux sur le langage poétique

d’art à l’époque de sa reproductibilité technique (Benjamin) 5 I. Comment définir l’art ? 5 A. Qu’est-ce qu’une œuvre d’art ? 5 1. Une production humaine 5 2. La question de l’utilité 5 3. Un statut social 6 B. La notion de beauté 6 1. La question de l’objectivité : le beau et l’agréable (Kant) 6 2. Le rapport à la volonté : le beau et le joli (Schopenhauer et Nietzsche) 7 3. La norme du goût (Hume) 8 C. La création artistique 8 1. Le mythe de l’inspiration

Le Chandelier à trois branches V :.M:. et vous toutes mes SS :. Voilà un peu plus de deux années que je chemine à vos côtés. Vous mes SS :., maillons vivants de cette chaîne universelle qu’est notre famille, enfants de la de la Lumière , tous unis par notre serment. Aujourd’hui la parole m’est donnée, et je mesure maintenant, la difficulté de cet exercice. ‘A:. de la L:., je ne sais ni lire ni écrire, je ne sais qu’épeler, je vais donc essayer d’épeler au mieux, en mesurant, en rectifiant avec les

est le résultat même de cette volonté moralisatrice. Mais sur quels principe est-elle bâtie ? ! Une maxime, ou réflexion comme nous est proposée celle-ci, est supposée être dégagée de tout ancrage idéologique. Elle s’adresse à tous, elle est universelle. Pourtant, ici, les sous-entendus jansénistes sont aisément devinés. L’homme est présenté comme un être corrompu dont les vertus ne sont plus que des lambeaux de bien, arrachés à lui avec le péché originel. La fin du texte illustre très explicitement