La Beauté Existe T Elle

Isaure RaissonLa beauté est-elle naturelle ? A travers les siècles, le sujet de la beauté a souvent été abordé par les philosophes et les artistes. La beauté, du latin « bellus », est de manière générale, le fait d’éprouver une émotion esthétique et subjective que l’on pense partageable et universelle ; elle est permanente. Le beau est le concept fondamental de l’esthétique qui émet un jugement sur l’art et les choses. La question est donc de savoir ce qui caractérise cette beauté. Nous avons tendance

l'œuvre à un objet produit et reproductible 3- un faire créatif Pour spécifier l'art, à partir du 18eme siècle va intervenir la notion de création. Créer c'est faire exister une réalité nouvelle, originale. L'art se définie comme un savoir faire qui vise cette originalité. Deux difficultés: - au sens rigoureux, créer c'est faire exister à partir de rien. ex nitilo, tel un dieu qui du néant tire de l'être. L'artiste ne créer pas à partir de rien. Il fait surgir de la nouveauté à partir d'éléments de

nationalisme, qui considère qu’il existe une beauté objective. Kant reconnait que le beau est l’objet d’un jugement et que l’agréable est l’objet d’une sensation. Une sensation a un caractère tout a fait subjectif. Alors qu’il existe, selon Kant, une certaine objectivité de jugement esthétique. Mais cette objectivité n’est pas du même domaine que celle de la connaissance. En effet, il n’y a pas de vérité en matière d’art. Comment Kant différencie t il le gout de la beauté ? Dans la première partie du

Les choses belles le sont de manières relatives, existe-t-il quelque chose de beau au-delà de toute comparaison ? Platon essaie de trouver une définition à ce qu’est le beau. Dans son ouvrage Hippias majeur qui retrace un dialogue en Socrate et Hippias. Idée 1 : Socrate demande à Hippias, la définition du beau. Hippias lui donne alors des exemples de beauté : « Une fille belle, une belle cavale, … »Mais une fille belle

esthétique et la manière dont l’individu va être amené à porter un avis sur la beauté. Philosophe empiriste écossais du XVIIIème siècle, Hume se démarque avec une pensée selon laquelle toutes les idées sont issues de l’expérience. La réflexion que suit Hume nous amène à nous poser la question de l’origine du jugement esthétique et de la nature du beau. Comment l’individu est-il amené à juger esthétiquement un objet ? La beauté est-elle dans l’objet ? Le jugement esthétique est-il dût à l’origine, à une

« confrontent » la beauté naturelle à la beauté artistique se demandant laquelle des deux devraient prôner. Tout d’abord nouss remarquons qu’Hegel considère, sans discernement, que la beauté spirituelle (artistique donc) est supérieure à la beauté naturelle. En effet, pour Hegel, l’art permet à l’homme de prendre conscience de lui-même, de se représenter soi-même, choses que la nature ne peut faire puisque celle-ci n’a aucunes conscience. Selon lui, en tant que philosophe, l’art ne peut exister sans l’esprit

perception à l’homme. On les détermine (couleurs, formes,…) par l’entendement. L’entendement peut-il saisir la beauté? Peut-on la déterminer? Pour la déterminer, il faut se mettre à distance. Devant la beauté, l’homme est en situation d’étonnement. Comment la pensée peut-elle opérer? C’est davantage la beauté qui nous capte que nous qui la captons. C’est l’homme qui se trouve être saisi par la beauté. L’expérience stendhalienne apparaît ici intéressante. Stendhal, Rome, Naples et Florence 1817. En sortant

L’Art, propre à l’Homme, ne pourrait exister sans ce dernier : il naît dans son esprit, et pour lui. En effet, généralement l’Art est produit de façon a être soumis à un public et venir s’adresser de manière délibérée aux sens de celui-ci. De ce fait, une vibration, des émotions, suite à des souvenirs ou non, apparaissent chez ce publique ce qui fait naître une critique de sa part, qu’elle soit positive ou négative. De l’appréciation la notion de « beauté » aura souvent tendance à ressortir, notamment

Éloge de la femme, de la beauté II – Éloge de l'écriture Éloge de la femme, de la beauté - « il n'est rien d'aussi beau » → excellent,supérieur (comparaison grammaticale) - il démontre par le contraire avec la négation, la retenue - La rime est « belle », la césure est « beau » - première affirmation pour ouvrir le texte - « grâces etappâts » → conclusion de sa beauté. Sa description entre vers 1 et 12 - rimes embrassées - 3 échos sonores de « belle » - cette beauté entraine une admiration

qu’il existe un vrai savoir.  (c’est l'ensemble d'opinions confuses, de préjugés populaires…) - Il n’est pas un sceptique, il entend qu’un vrai savoir existe (épistème). Texte de Platon « Socrate et Hippias » « Qu’est ce que le beau ? »  Son enseignement Epistème, est double : - Il réveille les consciences et dénonce les idées reçues. - Il indique la voie du vrai savoir (en soi). Platon : BEAU : - Dans le monde des Idées - La beauté est