La Beauté Existe T Elle

Commentaire : Victor Hugo, Notre Dame de Paris, livre VIII, chapitre IV, (1831), « Ecoute. Un jour…Je le crus » La beauté du diable 1. Une beauté lumineuse • Adjectifs : « resplendissante », « belle », « splendide », • lumineuse : « « soleil », « or », « métal », « pétillaient », « étoiles », « paillettes », « scintillaient », mille étincelles », « resplendissante figure », le prénom « Esméralda » signifie émeraude en espagnol, pierre précieuse • Insistance sur le noir :

hâtif et par là même biaisé, réducteur. L’expression « trop beau pour être vrai » traduit d’ailleurs ce rejet constant et massif de l’apparence à travers laquelle la Beauté se donne à voir et à penser, apparence dissonante, dissemblable, par rapport au Vrai. Peut-être l’Homme en a-t-il assez d’être bercé par ses illusions, par cette Beauté illusoire qui parade devant ses yeux ? Mais à quoi peut-il bien se rattacher ? Au réel ? Pourtant, il lui est impossible de percevoir le réel autrement que par l’expérience

spontanément comme « artistique ». L’artiste, livré à son inspiration et à son talent, ferait ce qui lui plaît, laisserait libre cours à ses pulsions créatives non entravées. Son œuvre serait unique, originale et inutile. En effet, l’art recherche la beauté plus que la fonction, la singularité plus que la reproduction : en ça il se distingue de l’artisanat, qui préfère la sérialisation des produits, ce par l’usage d’une technique efficace et répétée. Une œuvre d’art est donc différente de la production

collaboration entre deux individus et non une confrontation, puisqu’après tout, la vérité se trouve à être la même pour tous. Pour en arriver à cette conclusion qu’il y existe une vérité universelle à tous, Socrate s’est intéressé au principe d’universalité. Le principe d’universalité permit donc à Socrate d’affirmer qu’il existe bel et bien une vérité universelle. Socrate croit qu’il faut voir plus loin que les différents points de vue des individus et en cela, Socrate se distingue des sophistes

de façon évidente lié au concept de la beauté. En effet il est courant d’éprouver de l’admiration devant la beauté d’une œuvre d’art, puis ce que celle-ci est souvent qualifiée de « belle ». Mais alors plusieurs questions peuvent se poser. Comment ce définit l’art ? Et qu’est qu’exactement que le concept de « beau » ? De plus peut-il y avoir un ou des critères définissant la beauté d’une œuvre ? Celle-ci peut-elle se réduire qu’à la représentation de sa beauté ? L’œuvre d’art n’a-t-elle pour seule

thèmes de la vie tels que : « Les Africains et la notion de temps », « L’Art, la science et la question de l’utilité », « Les manipulations génétiques », … Au-delà de la curiosité ambiante, l’auteur nous ouvre l’esprit à la traditionnelle quête de la beauté, du vrai, du bien qui ne s’enferme pas dans la relativité de la perception de l’utilité des choses, en soulignant que la philosophie n’apporte quelque chose qu’à celui qui s’y adonne. Elle favorise une ouverture de l’esprit telle qu’on pourrait y

également présente dans la tradition philosophique. Socrate qualifie, dans l’Hippias majeur, de « belle » une cuiller de figuier plus apte à tourner la soupe qu’une cuiller d’or. Dans la Critique de la faculté de juger, Kant désigne par la notion de beauté adhérente celle qui correspond à une fin bonne. Un beau cheval de course est celui dont on admire la fine musculature et l’aptitude à gagner des courses. Le beau est donc utile au sens où il est une puissance capable de viser une fin bonne. Néanmoins

son portrait. Il faut donc faire une différence entre la réalité que l’on voit et la réalité représentée par le tableau. Kant oppose déjà « une belle chose et la représentation d’une belle chose ». Nous avons tendance à confondre la beauté représentée et la beauté de la représentation. Nous avons tendance à croire que pour rendre belle une représentation, il suffit que l’objet soit beau. « L’intolérance esthétique a des violences terribles » P. Bourdieu (p. 582) Le mot « art » désigne tant de

M:. Se trouvant au cœur du Temple il est encadré de trois chandeliers. Lorsque le Grand Expert allume les bougies, ces lumières symbolisent les trois principes Sagesse, Force et Beauté qui soutiennent le temple. Elles président au travail constructif des FF:.MM:. La Sagesse conçoit, le Force exécute, la Beauté orne. Ce sont ces qualités initiatiques que le maçon doit progressivement développer en lui. Ces trois chandeliers sont représentés symboliquement par le Vén:. et les deux surveillants

AUSPICES DE LA GRANDE LOGE de FRANCE ORDO AB CAHO FRANC MACONS de RITE ECOSSAIS ANCIEN et ACCEPTE Vénérable Maître, et vous tous mes frères en vos grades et qualités, LA BEAUTE EST PARTOUT Le thème de cette planche m’est apparu comme une évidence le Mardi 3 Septembre 2013, à SARLAT, où je passais une semaine de vacances avec mon épouse. J’assistais à un concert, en petite assistance (environ 50 personnes) : les sonates