La Beauté La Laideur

Le 16ème siècle, La Renaissance. A la période de la Renaissance, la beauté n’est existante que chez la femme, c’est elle qui porte le modèle de beauté. Cette beauté est définie par trois éléments majeurs : le visage, le buste et les mains. L’idéal de beauté à la Renaissance est montré à travers de nombreux peintres. Pour vous présenter les critères de beauté adulés à cette époque, nous avons décidé d’étudier le tableau de Sandro Botticelli intitulé « Vénus » : La Vénus de Botticelli est d’une

inspirer l’artiste, celui-ci ne peut se contenter de copier ce qu’il voit. La beauté artistique est la beauté née de l’esprit. La preuve, c’est que la beauté de l’œuvre d’art ne tient pas à la beauté du modèle. Cela veut dire qu’il faut distinguer la laideur du sujet représenté et la laideur de l’œuvre d’art elle-même (dans ce dernier cas, il s’agit de l’échec de l’œuvre d’art). L’art est donc ce qui peut transfigurer la laideur (exemple : Le radeau de la méduse de Géricault, œuvre splendide qui représente

comparaison entre Roxane et les déesses Gréco-romaines Vénus (déesse de la beauté et de l’amour) et Diane (déesse de la chasse) : Qui souligne encore une fois l’admiration qu’éprouve Cyrano pour sa cousine, mais également sa peur et sa timidité en vers celle qu’il considère inaccessible. Ainsi toute ces procédés stylistiques employés par l’auteur nous montre bien les sentiments que garde Cyrano a l’égard de sa cousine. III. Cyrano : laideur et solitude Dans cette troisième partie nous allons nous attarder

le passage (= personnage non remarquable- sans relief) + lexique qui connote le malheur et la laideur : «  les infortunes ou les saletés publiques ». Ce type social composé d’anonymes et sans envergure est associé à des termes concrets de saleté et de laideur (l’expression « sous-inspecteur de la salubrité  annonce « les infortunes ou les saletés publiques ») qui expriment en fait la saleté et la laideur morales. L’expression « ces figures blêmes de souffrances morales ou physiques » reprend de même

La beauté est-elle relative ? --> La beauté est-elle conditionnée par des paramètres à définir ? Ce conditionnement la rend-elle variable ? Y a-t-il des critères objectifs de la beauté ? Y at-il un idéal de la beauté ? Si oui, peut-on le définir ? Intro : Manifester la diversité d’attentes par rapport à l’art (couloir d’un musée), c'est manifester les différences d'idées de la beauté. I. Il n’y a pas de critères objectifs de la beauté -> La beauté est relative - relativité spatiale -

(cf cosmologie, science de l’univers, et cosmétique, industrie des produits de beauté). Le beau ne relève pas d’une appréciation individuelle, ni d’une création personnelle, il est une réalité objective du monde et de la nature. De ce fait, l’artiste n’a rien à créer, n’a rien à inventer, il se contente de dévoiler la beauté qui l’entoure. L’art ne peut qu’imiter la beauté et l’harmonie de la nature. Imiter la beauté et l’harmonie de la nature revient à respecter les mesures harmonieuses que l’on

Fiche – lecture analytique : « Une Charogne », Les Fleurs du mal (1857), C. Baudelaire Notes introductives : situé dans la section « Spleen et Idéal », dans une série de poèmes lyriques célébrant l’amour, le désir et le corps féminin ; le titre « Une charogne » produit une rupture. Poème de 12 quatrains d’alexandrins alternés avec des octosyllabes, aux rimes croisées, qui commence comme un poème lyrique amoureux et évoque un cadavre pourrissant. Une reprise ironique du motif du memento

compose autour de lui un halo de scandale et de mystère et passe pour un grand séducteur. Le personnage de Vellini serait inspiré d'une aventure autobiographique. Ryno de Marigny ne peut se défaire de sa passion pour Vellini, une Malagaise à la laideur envoûtante. Sa femme, la douce Hermangarde, en meurt de chagrin. L'ensorcelé Dans les années 1830, le séduisant Ryno de Marigny. dandy scandaleux, doit épouser la douce et aristocratique Hermangarde de Polastron que chérit sa grand-mère, la marquise

à Paris à la fin de ses études et le publie à son retour en Martinique, l'année même où il sera nommé professeur au lycée Schoelcher de Fort-de-France. Dans ce long poème en prose, Césaire chante son rapport avec la Martinique, avec sa misère, sa beauté, et, au-delà, avec la Négritude : par ce texte fondateur, il donne une dignité nouvelle au peuple Noir dont il se sent plus proche que jamais. Nous allons étudier, dans cet extrait, la manière dont la poésie de Césaire se rattache au lyrisme, par

l’on dit de Socrate qu’il est laid mais on dit aussi d’un autre coté qu’il a une ‘intériorité rayonnante’ puisqu’il a énormément de qualité comme son courage ‘invincible’, une assurance parfaite. Il y a donc en Socrate, une opposition entre La laideur et la beauté, on dit que c’est une antithèse radicale opposant l’âme élevée, attractive, au corps affreux, répulsifQuelles sont les œuvres écrites par Socrate et pourquoi c’est important ?À vrai dire, Socrate n’a jamais écrit aucune œuvre, On dit que Socrate