La Beauté La Laideur

Introduction: Charles Baudelaire est un poète français. Il est né à Paris le 9 avril 1821 et est mort dans la même ville à l’âge de 46 ans. Il ouvre la voie de la poésie moderne et fait la poésie de la laideur. L’œuvre de Baudelaire est une méditation sur la laideur et sur la capacité à en faire de la beauté. On le voit d’ailleurs dans un épilogue inachevé des Fleurs du Mal: “Tu m’as donné ta boue et j’en ai fait de l’or”. Jeanne Duval est la principale muse de Baudelaire. Il entretient une relation tumultueuse

fut incriminé lors du fameux procès qui vit condamner son auteur, alors que la même année, Flaubert, romancier de Madame Bovary, lui aussi attaqué pour obscénité, fut relaxé. En quoi ce texte au titre déjà choquant unit-il les faveurs de la laideur et de la beauté jusqu’à devenir un art poétique ? Nous étudierons en premier lieu une description répugnante, ensuite la promenade de l’amour et de la mort, pour nous interroger enfin sur la place que Baudelaire, romantique contrarié, assigne à l’art.

Dissertation Y a-t-il des critères objectifs pour définir une œuvre d’art ? Expliquez, commentez, discutez. Un impérieux désir de beauté habite le cœur de l’homme. Que cette beauté nous apparaisse comme une promesse de bonheur ou comme une simple valeur d’ordre sensible, peu importe ! Nous en subissons l’attrait et en éprouvons l’intime exigence. C’est pourquoi la plupart des artistes et des critiques d’art se sont demandé quel est le sens des œuvres d’art, comment sont-elles définies. Le jugement

sur le bateau. Les deux espaces sont totalement différents l’un est infini, l’autre limité à la surface du navire. L’un se traverse en volant , l’autre ne peut être que fouler. . Dans le ciel, son monde, l’albatros est mis en valeur : - Par sa beauté (beau) - Par sa grandeur physique (vastes oiseaux des mers (v2), grandes ailes (v7), géant(v16)) - Par sa puissance et par sa noblesse (rois de l’azur (v6), prince des nuées) - Par son calme et sa complicité (indolents compagnons) Il est présenté

par la création le monde. L’auteur par l’anaphore « je vis dans les images innombrables » (v. 1 + 3) propose de substituer un monde de beauté à la laideur de l’univers. Même si l’auteur pense que sa création englobe tous les aspects de la vie : il dit que « tout est sur terre avec [lui] » (v. 28). Il traitera aussi bien la « beauté surprise » (v. 6), que la « laideur commune » (v. 7). En effet l’anaphore « je vis » répétée aux vers 1, 3, 9, 10, 11, 16, 19, montre que le poète observe tout, regarde

Par Pablo Picasso Je préfère les œuvres qui me parlent, les œuvres qui déclenchent en moi un intérêt particulier, celle qui m’intrigue ou me touche. Si l’œuvre ne m’évoque rien, peut importe sa beauté, elle ne m’intéressera pas. Comme disait Voltaire, «Il ne suffit pas de voir et de connaître la beauté d'une œuvre, il faut sentir et d'être touchés par elle. » Et ce tableau de Pablo Picasso m’a touchée, j’aime ses nombreuses couleurs vives, les teintes sont joyeuses et c’est ce qui a suscité mon

Empire. I-Aristide Rougon dit Saccard A-Un être d’apparence faible • Un provençal provincial « Nasillement méridionale »   • Au physique ingrat « petit la mine chafouine » « Une personne grêle, rusée et noirâtre »( image de laideur B-De Rougon à Saccard, une métamorphose pour un nouveau Pari(s) • Choix du nom révélateur : Saccard( « deux râteaux ramassant l’or » « il y a de l’argent dans se nom là » p29 parallèle avec saccage // le titre, La Curée

À commencer par Baudelaire, les « poètes maudits » considéraient le mal sous ses diverses formes comme l’objet artistique par excellence. N’est-ce pas le sens même des Fleurs du mal, dont les poèmes vénéneux illustrent la beauté de la laideur dans Une Charogne et du désespoir dans les Spleens, mettent en scène la mort dans La Mort des amants, des pauvres ou des artistes, et semblent exalter le vice dans les Femmes damnées ou les Litanies de Satan pour ne citer que quelques-uns des

exaltées par l'orgie, il ne fallait rien moins pour enlever les suffrages, que la grimace sublime qui venait d'éblouir l'assemblée. Maître Coppenole lui-même applaudit ; et Clopin Trouillefou, qui avait concouru, et Dieu sait quelle intensité de laideur son visage pouvait atteindre, s'avoua vaincu. Nous ferons de même. Nous n'essaierons pas de donner au lecteur une idée de ce nez tétraèdre (1), de cette bouche en fer à cheval, de ce petit oeil gauche obstrué d'un sourcil roux en broussailles tandis

Mais y arrive t-on vraiment ? Est-ce possible? Pourquoi est ce plutôt paradoxal ? Une oeuvre d'art est un objet spécifique qui, avant même de posséder une quelconque valeur esthétique (la "beauté") se définit comme symbolique et expressif, très différent en ce sens de l'objet naturel ou de l'objet technique. La beauté, que l’on attribue notamment aux œuvres fait l'objet d'un jugement dit « esthétique » qui semble etre personnel, surtout si on le compare au jugement « éthique » (portant sur le bien) ou