La Beauté La Laideur

lecteur, de le faire surpasser le banal, laideur pour atteindre l’idéal. À la différence des Parnasse, Baudelaire ne refuse pas l’existence du sujet lyrique, il ne doit pas être froid, impersonal, neutre, objectif. Pour lui, il faut qu’il ait une liaison étroite entre l’artiste et l’object, parce que de cetter façon l’object perd son neutralité. Fleurs du mal Une mélange des traits car des trois courants. Il y contient 6 parties. Le spleen évoque la laideur, le concret, le quotidien – l’idéal, c’est

croyait morte, arrive, avec l’intention de se venger du mépris qu’on a eu pour elle. Aussi, une des jeunes fées décide-t-elle d’intervenir en dernier pour essayer de réparer le mal que la vieille fée pourrait faire. La première fée lui offre la beauté, la deuxième, l’intelligence, la troisième, la grâce, la quatrième l’art de la danse, la cinquième, l’art du chant, la sixième, l’art de la musique ; la vieille fée prédit qu’elle se piquera avec un fuseau et qu’elle en mourra ; la jeune fée confirme

d’extraire la beauté du Mal »indique Baudelaire, dans la Préface aux Fleurs Cette phrase vous semble-t-elle décrire exactement Les Fleurs du Mal ? Charles Baudelaire a toujours été fasciné voire même obsédé par la question de la beauté. C’est un sujet relativement récurrent dans son recueil « Les Fleurs du Mal  », comme peuvent en témoigner les titres de plusieurs de ses poèmes  Hymne à la Beauté, La beauté ou encore, Le Beau Navire, même s’il n’hésite cependant pas à évoquer la laideur dans Une

les poètes depuis des décennies. Cependant, B va plus loin car l’idéal chez Baudelaire ne signifie pas la même chose que l’Idéal de ses prédécesseurs. L’Idéal de Baudelaire vient du rêve et de l’imagination : selon lui, c’est la capacité à sentir la Beauté et comprendre le monde invisible, les choses spirituelles. Plus globalement, le

peut être conquise que dans la saisie du nocturne et de l’anormalité, où l’âme, devenue étrangère à elle-même, peut s’échapper à la vulgarité du progrès des temps derniers. Il entend de manière négative le monde de la civilisation, il regarde sa laideur et la solitude dans ses villes. Selon lui, le progrès est une réduction de l’âme et une domination progressive de la matière et il cause une atrophie de l’esprit. Mais cet immense dégoût devant la modernité présente une ambiguïté, la dissonance provoque

peur et son dégoût à la vue de la laideur repoussante du crapaud, à travers les exclamatives aux vers 7, 10 et 11, et la répétition du mot "Horreur" qui est d'ailleurs suivi d'un double point d'exclamation la deuxième fois, comme pour redoubler l'intensité du sentiment. L'autre semble ne pas comprendre cette réaction, ce qui apparaît dans les interrogations successives : "Pourquoi cette peur" et "Horreur pourquoi ?". Ce dernier semble être sensible à une beauté cachée et profonde de ranimai et de

traiter le problème de l'apparence : la chirurgie vient au secours de la lutte contre la laideur, elle devient esthétique. Il faut donc réparer les mutilations et corriger les anomalies ou les malformations qui peuvent être ressenties par le patient comme des handicaps dans la vie sociale. Léon Dufourmontel intègre les 2 aspects de cette nouvelle chirurgie qui s'occupe désormais du traitement de la laideur. Parallèlement le Dr Raymond Passot dans les années 20, par ses opérations de lifting facial

modéliser la beauté de sa fille. Mais ces conseils ne permettront pas le bonheur, ni l’épanouissement de sa fille. * Description physique théorique qui rencontre les stéréotypes valorisés (blonde, blanche, belle = noblesse) b) On insiste plus son appartenance sociale * Portrait très élogieux avec un modèle de perfection. Elle est extrêmement belle (l-1 et 2) = substantif répété + adj mélioratif. * Champ lexical qui porte l’accent sur la beauté. (l-29) = beauté hiérarchisé,

l'unique roman de Oscar Wilde est publié en 1890 durant l'époque victorienne. Wilde parle d'esthétique avec des thèmes comme l'art, la jeunesse, la beauté. Il est fantastique et philosophique à la fois, morales et paradoxes construisent le livre. Résumé Basil Hallward, peintre, rencontre Dorian Gray lors d'une réception. Il tombe sous le charme de sa beauté, il est jeune et intelligent. Ils deviennent amis et Basil réalise un portrait de Dorian. Lord Henry, qui se fait appeler Harry, le rencontre

Cette dernière a pour but de transformer ou sublimer la banalité en quelque chose de majestueux. La poésie peut aussi bien célébrer la beauté du monde que souligner sa laideur grâce à son pouvoir évocateur. A titre d’exemple, nous pouvons prendre la célèbre citation de Baudelaire qui décrie cette dernière ; « Tu m’as donné ta boue et j’en ai fait de l’or ». En effet, Baudelaire aussi bien que Rimbaud était