La Belle Epoque Progres Sociaux

Victor Hugo, l’art ne doit pas être à la destination d’une seule catégorie sociale, contrairement à ce que va instaurer Homère ultérieurement. Celui-ci aura pour objectif de plaire aux gens de goût. Mais au fil du « temps primitif », la civilisation va commencer à se structurer en créant des tribus, des nations, des royaumes et en instaurant la religion. La civilisation devenant théocratique va créer des règles sociales à respecter. La civilisation devient donc une société. L’art inséparable de

promouvant un modèle social paternaliste décrit par Zola dans "Au bonheur des dames". Situé aujourd'hui au cœur du Paris élégant du faubourg Saint-Germain, le Bon Marché ne mérite plus tellement son nom du 19ème siècle. À la fin du XIXe siècle, les ouvertures de magasins concurrents tous aussi gigantesque les uns que les autres se multiplièrent en Europe et aux États-Unis. En France, viennent ensuite les Grands Magasins du Louvre, par Alfred Chauchard en 1855, À la Belle Jardinière (1856), les

VII. LA FRANCE DE LA « BELLE EPOQUE » : UN PAYS EN RETARD ? A. Un déclin à relativiser 1. De sérieuses difficultés durant la Grande dépression a. Des handicaps naturels et conjoncturels En matière minéral et en charbon, la France été moins bien dotée que ne l’était l’Allemagne et la Grande Bretagne, surtout sur le charbon, énergie reine de l’époque. Cela ne veut pas dire que la France n’avait pas de charbon (gisements dans le Nord, Massif Central…) mais globalement

militaire pour tous. La république s’appuie également sur des bases sociales. Elle assure progrès et stabilité aux paysans. L’école est un instrument d’ascension sociale pour la classe moyenne. La bourgeoisie, elle, est le personnel politique de la IIIème république. La longévité des ministères radicaux de la belle époque est exceptionnelle sous la IIIème république. Mais le modèle républicain fondé sur la laïcisation et un idéal social de petits propriétaires suscite de multiples oppositions notamment

Le XVe et le XVIe siècle est une période de transition entre le Moyen Âge et les Temps Modernes. Cette période, appelé Renaissance est caractérisée par une série de changements politiques, économiques, sociaux et intellectuels. A cette époque apparaît également le mouvement humaniste : une philosophie qui place l'être humain et les valeurs humaines au centre de la pensée. L'humanisme se caractérise par un retour aux textes antiques, et par la modification des modèles de vie, d'écriture, et de pensée

culture artistique. Comme nous dit Kant, il faut voir « la représentation d’une belle chose » et « la belle représentation d’une chose » La culture permet aussi aux hommes de vivre en société grâce aux coutumes, lois, croyances, techniques, formes d’art, langage et pensée. Le fait de vivre en communauté permet d’avoir une vie plus paisible, tranquille et même heureuse. On peut par exemple donner comme exemple le progrès technique qui contribue au bonheur de l’homme du fait qu’ils améliorent les conditions

population extra européenne) 2) L’évolution de la natalité et de la mortalité a) Le taux de mortalité chute à partir du début du 19ème siècle, notamment la mortalité infantile, et l’espérance de vie augmente (36 ans en 1820, 46 en 1900, 67 en 1950). Progrès alimentation (révolution agricole), hygiène publique, puis médecine, notamment lutte contre les maladies infectieuses (vaccination). b) Le taux de natalité lui aussi diminue (les familles tendent à limiter le nombre de leurs enfants), mais moins vite

guerre (1919-1939) p.9 La seconde guerre mondiale (1939-1945) p. La IVème république et la décolonisation (1946-1948) p.12 La Vème république (depuis 1958) p.13 II. Contexte économique et social p.14 Amélioration des transports p.17 Les progrès de la médecine p.18 L’information et la communication p.19 Le mode de vie de la population p.20 III. Contexte littéraire p.21 Le dadaïsme p.22 Le surréalisme P.23

comme une estrade où se montrer ». ➢ La Princesse de Clèves : une œuvre féministe ? Bien que la romancière expose des faits qui peuvent permettre à ses lecteurs de comprendre la réalité de la condition des femmes au XVIe siècle et à sa propre époque, elle ne tient pas un discours féministe. À aucun moment, elle ne remet en question la société dans laquelle elle vit et l’absence de liberté des femmes. En condamnant son héroïne à l’amour passionnel, elle ne prend pas parti pour la jeune femme

Défense et Illustration de la langue française. Il est tout à fait représentatif des idées de la Pléiade. D'une part défendre la langue française contre la langue latine, et d'autre part de démontrer qu'il peut exister une poésie française grande, belle et naturelle. La Pléiade représente la première tentative destiné à donner à la littérature, et en particulier à la poésie, une doctrine et des principes. Le mot "Pléiade" est employé pour la première fois en 1556 par Ronsard. Il désigne par là le