La Belle et le Clochard

que je m’appelais Phil, le diminutif de Philipe, et elle me dit qu’elle s’appelait Jennifer, un jolie prénom pour une jolie demoiselle. On fit le chemin jusqu'à mon squatte délabré que j’appelais appartement. A peine j’avais ouvert la porte que la belle se jetait a mon cou et m’embrassa avec une force et une passion qui m’était familière. On se déshabilla mutuellement et, en oubliant toute sortes de préliminaires, passâmes à l’acte dans mon lit. Je caressais ses courbes en la pénétrant tendrement

cérémonie : - religieuse : les lampes font penser à des chandeliers - dans une église : l’odeur fait penser à de l’encens 2. Le débrochage de l’oie Il se fait dans un lieu particulier, à part, un lieu réservé aux femmes : Gervaise secondée par sa belle-mère. 3. Procession, entrée triomphale « Rentrée triomphale », dans le troisième paragraphe, on note l’émotion de Gervaise : « les bras réduits », « épanouie dans un large rire silencieux », les femmes marchent « derrière elle », rient « comme elle »

quinze ans, de ne garder que son diminutif, Zabou. Souvent cantonnée au registre de la comédie (Banzaï, Le complexe du kangourou, Le beauf, Promotion canapé), elle ne tarde pas à se distinguer par sa fraîcheur et son piquant. Dans les années 90, la belle élargit son répertoire de comédienne en travaillant avec des valeurs sûres du cinéma français : les cinéastes Diane Kurys (La Baule-les-Pins, 1990), Coline Serreau (La crise, 1992), Philippe Lioret (Tenue correcte exigée, 1997) et Pierre Jolivet

dèche, quel décatissage, mes amis !» (chapitre X). Ils sont obligés de céder leur boutique et d’emménager dans un taudis. Coupeau, qui perd progressivement la raison, est enfermé à Sainte-Anne dans une cellule capitonnée. Gervaise doit abandonner sa belle boutique pour aller habiter parmi les pauvres d'une grande maison ouvrière. Devant elle, Coupeau est pris d’une terrible crise de delirium tremens, et meurt dans d’atroces souffrances. Réduite à la mendicité, Gervaise succède au père Bru, qui vivait

l'occasion d’un stage en hôpital psychiatrique, j’ai rencontré Bobo, et là, j’ai tout envoyé balader ! Mon théâtre se conçoit toujours sur les mêmes bases, mais travailler avec quelqu’un comme Bobô remet forcément tout en cause. Dans Bar boni (Clochards) ou dan s Guerra (Guerre), les spectateurs ne doivent pas voir le travail de l’acteur, ils doivent percevoir la poésie de l’acteur au travail. C’est cela la rencontre avec Bobo. Effectivement, que ce soit dans Guerra, comme dans Gente de plastic

pas …Il pressait sur le bouton de la minuterie, et il écoutait un instant le tic-tac, jusqu’à ce que la lumière s’éteigne. » (Ibid.) De plus, Mondo est curieux de l’élégance et de la richesse des citoyens. Il veut monter dans l’ascenseur avec une belle jeune femme aux cheveux châtains, qui entre dans un immeuble orné d’un grand miroir encadré par des statues de plâtre, et il demande à cette femme élégante la permission de l’accompagner. Latif aussi va régulièrement regarder le chameau et les

des huitres, des coquillages ou des crustacés. 3. Rosé de Loire : avec un Cépage de Grolleau 70% et de Cabernet Sauvignon 30%. Appellation  Rosé de Loire contrôlée avec fermentation malolactique, les arômes légers et fin de bouche poivrée, vin de belle saison à servir frais avec salades, grillades, pizzas et quiches. 4. Cabernet d’Anjou : avec un Cépage de Cabernet Sauvignon. Appellation Cabernet-d’Anjou contrôlée est un Vin de robe rose pâle, aux arômes de fruits frais, rond et friand. A servir

prennent à témoin d'autres personnes et des éléments de la nature. C'est l'un des livres de la Bible les plus poétiques. Sa composition est attribuée à un compilateur du IVe siècle av. J.-C. qui y aurait fondu différents poèmes. 1 Oui, tu es belle, mon amie ; oui, tu es belle ! Tes yeux sont des yeux de colombes derrière ton voile ; tes cheveux sont comme un troupeau de chèvres, suspendues aux flancs de la montagne de Galaad1. 2 Tes dents sont comme un troupeau de brebis tondues, qui remontent

santé mise à mal par une pneumonie contractée l'hiver précédent, l'équipée parisienne apparaît comme un fiasco intégral. Il reprend son exploration des bas-fonds de la société anglaise au printemps suivant, partageant la vie des vagabonds et des clochards, tantôt quelques jours, tantôt une semaine ou deux18. Mais il est contraint de mettre un terme à ses expéditions quelques mois plus tard : il n'a plus les moyens financiers de poursuivre ses vagabondages. Il se décide à accepter un poste d'enseignant

plus qu'une "idée" de paletot (vers 2)). Ses poches sont "crevées" (v.1). Son pantalon est troué (v.5). Ses souliers sont abîmés par la marche (v.14). La comparaison avec le petit Poucet (vers 6) suggère l'errance. Le vers 7 indique qu'il dort à la belle étoile. On peut se demander dans quelle mesure cet autoportrait est réaliste; dans quelle mesure nous n'assistons pas à la construction d'un mythe, où Rimbaud le fils de famille se métamorphose en un pauvre orphelin semblable aux personnages du poème