La Bete Humaine Tragique

Fiche Cours Nº : 91025 FRANÇAIS Toutes séries LE TALENT C’EST D’AVOIR ENVIE Etude d’œuvre : La Bête humaine de Zola Plan de la fiche 1. Une illustration du naturalisme 2. « Fêlure héréditaire » et bête humaine 3. Personnages et crimes 4. Une dimension épique 5. Une force mécanique indifférente 6. Originalité et pessimisme Une illustration du naturalisme Inspiré par Claude Bernard, Hippolyte Taine et par les travaux du Docteur Lucas sur l’hérédité (L’Hérédité naturelle), Zola

œuvres. Dans ses pièces de théâtre Musset se libère des règles de la dramaturgie classique et crée des personnages complexes aux émotions contradictoires. Ces héros sont souvent à la fois idéalistes et débauchés, ce qui les rend particulièrement humains. C'est le cas de Lorenzo, héros de la pièce éponyme Lorenzaccio, qui afin de tuer un tyran, le Duc Alexandre de Médicis, se plonge dans le monde du vice et de la débauche. Dans cette scène située vers la fin de la pièce à l’acte IV, Lorenzo donne

ouvrage sur le naturalisme, Yves Chevrel écrit : «  de fait le naturalisme semble vouloir ruiner l'idée même de tragédie. Il s'en prend en particulier à l'un des fondements tragique : le mythe. » Vous discuterez ce jugement en vous appuyant sur le roman naturaliste que vous avez lu. Le naturalisme est l'étude de la nature humaine ; Pour Zola, « la société, comme la nature, obéit à des lois de lutte et de sélection. », il observe «  les faits sociaux comme des phénomènes cliniques, expérimentaux »

ses rugissements. Désormais seule, impuissante, elle se lamente sur son sort et tend sa tristesse vers un supplice collectif. Ainsi, son mal est si dur que le monde ne vit qu’à travers cette douleur. b) L’expression tragique    En outre, le deuil de la Lionne se manifeste par le tragique du récit : « la pauvre infortunée » (vers 2), « rugissement » (vers 3), « moi, malheureuse ! » (vers 17), « J’ai perdu mon fils ! » (vers 18), « c’est le destin qui me hait ! » (vers 21).    De plus, la présence de

L’écrivain justifie son point de vue littéraire par une référence systématique aux sciences de la nature. La méthode naturaliste devient un outil de connaissance. Le romancier est à la fois un observateur et un expérimentateur des lois de la nature humaines telles que l’hérédité physiologique, la lutte pour la vie face à l’emprise d’une sélection naturelle. On retrouve les principes d’une démarche scientifique. Un problème est posé, par rapport aux lois de la nature, alcoolisme, perversité, prostitution

l’opposition romantiques/ naturalistes -Romantiques étudient la psychologie (âme, esprit, sentiments…) -Naturalistes étudient la physiologie (conséquences du corps sur le cerveau), il prônent la modernité et l’étude analytique et médicale de l’être humain. Il compare même son livre à une dissection, ou une autopsie. Le réalisme/naturalisme viendrait d’une nouvelle importance qu’on accorde aux bas-fonds de la société et la recherche d’une explication. Plan interne : -Comment il a écrit ? -Le but

La machine infernale- Cocteau I. Jean Cocteau (1889-1963) II. Le titre et la voix= du mythe antique au tragique contemporain III. Lectures analytiques a. Acte 1 : apparition de Jocaste et Tirésias b. Acte 2 : rencontre ac le Sphinx c. Acte 3 : la nuit de noce I. Jean Cocteau (1889-1963) : * L’enfance de JC est compliquée. Il vient d’une famille de la grde bourgeoisie parisienne et vit donc une jeunesse dorée financièrement et intellectuellement parlant

place » et réaliste aussi le récit de la mort du vieux cheval,sont affaiblissement progressif:(l27_la gradation) le supplice de la fin (39-43) et les efforts inutiles du vieil animal,récit qui ne nous épargne aucun détail,pas même le tableau final de la bête morte sur laquelle est assis son bourreaux . Réaliste est enfin l’écriture de la page marqué par la précision et surtout l'apparente objectivité,impersonnalité de son auteur qui n'apporte aucun commentaire sur le comportement du garçon de ferme et

« La bête humaine » - Zola Dix-septième volume des Rougon-Macquart, publié en 1890, La Bête Humaine est une œuvre sombre et assez touffue qui emprunte certains procédés au roman-feuilleton. Résumé Roubaud, sous-chef de la gare du Havre, a épousé Séverine qui est protégée par le riche et vieux président Grandmorin. Celui-ci a autrefois débauché Séverine lorsqu’elle était toute jeune, et son mari, qui le devine, veut se venger (chapitre 1). Le mécanicien Jacques Lantier est venu passer la

boucle est bouclée. Amour qui surprend le lecteur car un paradoxe s’impose d’emblée dans le texte car il est associé à la haine : - antithèse entre les verbes « aimer » et « haïr » : « Parce qu'on les hait ; » (vers 2). + vers 27-28 « mauvaise bête » et « mauvais herbe » / « amour ». Rime « mauvaise herbe » et « superbe ». 3. Convaincre, persuader provoquer et dénoncer. Partant d'une affirmation péremptoire et provocatrice, le poème construit un constat qui pousse à réfléchir sur la pertinence