La Bete Humaine Tragique

les étals serrés du marché ». * Contexte Marché aux poissons. * Les personnages S. Piracci + la foule Ambiance, vie du marché. * Type de narration Point de vue omniscient + interne (IIeme partie) * Registre dominant Réaliste/tragique . Les grands mouvements du texte : * 1er : L1 à L9, description du marché * 2ème : L10 à L19, la foule (singulier collectif) * 3ème : L19 à L32, réflexion sur la générosité de la mer * 4ème : L32 à la fin, Piracci, focalisation

rhinocéros (= ils adhèrent aveuglément et par suivisme à l’anéantissement des valeurs humaines. Acte II,tableau II:Au XX siècle, le théâtre souffre une crise et un renouvellement. Parmi les auteurs qui vont faire un renouvellement se trouve Eugene Ionesco qui crée avec autres auteurs le théâtre de l’absurde. En 1959 il écrit Rhinocéros. Dans cette œuvre d’Ionesco, il y a toujours un mélange de comique et de tragique. I) La Farce brute : Le comique Lors de cette scène, le comique est inquiétant

public est le reflet de la bourgeoisie prétentieuse et lâche d'une ville de province au XXe s. Personnage de roman = Reflet de la société ? Un exemple d'introduction : "Faire concurrence à l'état-civil", telle est l'ambition de Balzac dans La Comédie humaine ; Stendhal, quant à lui, donne à son roman Le Rouge et le Noir un sous-titre sans équivoque : "Chronique de 1830". Ces deux écrivains réalistes soulignent ainsi le lien qui unit leurs personnages à la société dans laquelle ils évoluent. Le personnage

paraitre fastidieuse. L’animation et la dramatisation du récit rendent au contraire la moralité plaisante et plus facile à lire. La tragédie est selon la définition classique une pièce en vers mettant en scène de grands personnages présentant une action tragique et des conflits psychologiques graves au ton constamment sérieux, qui se termine par une ou plusieurs morts. 1) Prologue ou exposition vers 1 à 14: La peste Répétions : mal, peste Tonalité épique > présence de forces surhumaines Chiasme

dans « Le dormeur du val » la nature est décrite comme une mère pour renforcer le registre pathétique : « Nature, berce le chaudement : il a froid ». Le poète écrit souvent à la première personne du singulier, car les sentiments qu’il exprime sont humains, tout le monde peut les éprouver, tout le monde peut se retrouver dans cette personne. La poésie n’est pourtant pas vouée qu’à l’expression des sentiments personnels. Certains poètes l’utilisent pour faire passer un enseignement, une moralité :

Le personnage principal d’un roman ne peut pas être comparé aux héros de l’antiquité (l’Odysée d’Homère), ou aux tragiques héros de Racine (Phèdre). Le héros du romancier est plus « accessible » par sa normalité; sa vie et les sentiments qu’il éprouve pourraient ressembler à ceux du lecteur. Il est souvent celui qui retient le plus l’attention car il participe au déroulement de l’action et de l’histoire. Toutefois, est-il important pour le lecteur de s’identifier au personnage principal pour pouvoir

La bête humaine sommeille en chacun de nous. Nous apprenons à la dompter du mieux que nous pouvons. La Bête humaine parle de gens qui n’ont pas su la maîtriser et qui agissent selon leurs nerfs et leur sang. Ce n’est pas sans ressembler à Thérèse Raquin, où les deux personnages principaux sont aussi des bêtes humaines. En fait, ces deux romans se ressemblent de par cet aspect. Mais le roman étudié dans ce chapitre relate des pulsions moins intériorisées, ce qui amène à un roman jonché de morts, tueries

leur connaissance pour se condemner, s'annéantir. L'Homme par l'intéligence met en oeuvre la destruction des autres. Il a un plaisir dans la souffrance de l'autre. Rabelais est contre la guerre de conquète contrairement à la Bruyère. Le progrés humain c'est de savoir garder devant les yeux cette part d'Humanité. La bruyère dénonce l'Homme en général. La fontaine dénonce le pouvoir du roi. Ce sont des écrivains engagé. 1- le respet de l'autre quelque sois sa condition . La fontaine : Louis 14

Certes, le lot du personnage tragique est la souffrance morale. Qui n’a pas en mémoire les cris raciniens de Phèdre à bout de résistance ? L’Electre de Jean Paul Sartre est vaincue par le remords au moment où sa vengeance est accomplie. « J’ai vieilli. En une nuit » dit-elle, et plus loin : « je consacrerai la vie entière à l’expiation ». Au lieu de se libérer, elle s’est enfermée dans une continuité, celle de la malédiction des Atrides qui fonctionne comme fatum. La tragédie, dans ces conditions

s’énonce : il ne la touchera jamais plus. * La malédiction des Atrides doit s’accomplir.Giraudoux, par certains choix lexicaux, renvoie le sens de ce tableau saisissant du meurtre à une angoisse de la sauvagerie primitive (exemple : récurrence de la bête qui saigne). Les personnages sont comme aliénés par cette sauvagerie : le cri « bestial » de Clytemnestre, l’aveuglement d’Oreste, frappant au hasard, en fermant les yeux… | | III. N’y a-t-il pas dans ce texte une fascination du héros affrontant