La Bete Humaine Zola Des éléments Réalistes

|Patrimoine de proximité | |L’œuvre d’art et la technique, source | | |Zola. La bête humaine. |Musée national Fernand Léger Biot | |d’inspiration (mouvement, vitesse, machine, |La gare saint-Lazare à Paris, 1877. |Le développement des voies ferrées (La |

La bête Humaine, Émile Zola Les Rougons-Macquart entreprise monarque qui porte le titre d’une famille issue d’une alliance, les rougons d’une part et les macquart de l’autreUne saga familiale autour d’une origine, autour d’une famille dont assimile l’union entre un Rougons et une Macquart. Il a y a donc déjà dans ce titre qlq chose comme le programme biologique de la famille le nom confirmé par son sous-titre

« La bête humaine » Ce qu’il faut en retenir…. Zola (1840 1902) conçoit et rédige son roman La Bête humaine, le dix septième de sa série des vingt "Rougon-Macquart, histoire naturelle et sociale d'une famille sous le Second Empire",de mai 1889 à janvier 1890. Le roman paraît en mars 1890 en volume chez l'éditeur Charpentier, après avoir été publié en feuilleton dans la presse de novembre 1889 à mars 1890. Le dossier préparatoire du roman, manuscrit, comporte (comme tous les dossiers préparatoires

Le mouvement réaliste, apparu dans la seconde moitié du XIXe siècle, est un courant littéraire dont le but avoué est de dépeindre une réalité donnée, a un moment donné, sans artifice. Il est également une "réponse" au romantisme. Dans la préface de Pierre et Jean, Guy de Maupassant annonce que "le réaliste, s'il est un artiste, cherchera, non pas à nous montrer la photographie banale de la vie, mais à nous en donner la vision plus complète, plus saisissante, plus probante que la réalité même.".

des propriétés humaines à une chose inanimée : Le Voreux. Emile Zola compare le Voreux qui n’est autre que le puits de mine en train de s’écrouler dans lequel travaillent les mineurs à « la bête mauvaise », un monstre. Il emploie le champ lexical de l’horreur, qui fait référence aux monstres en disant : « effrayante chose », « genou de géante », « elle expirait, broyée engloutie , « son haleine », « épouvante », « hurlante ». Il emploie des verbes qu’on ne peut octroyer qu’aux humains et non aux objets

c’est tout d’abord pour cela que le romancier a une tâche première, que l’histoire de son roman imite la réalité de son temps. Les personnages, sont en effet le miroir des hommes, chaque lecteur doit pouvoir s’y retrouver. Les personnages sont les éléments principaux du roman, c’est eux qui lui donnent vie. Ancrés dans un temps, dans une époque et dans un lieu bien précis les personnages ont une fonction d’identification, c'est-à-dire que le lecteur se voit en eux. Il y a alors un phénomène que l’on

sentiments de l'âme qui caractérisaient le romantisme, les écrivains réalistes se donnent pour but de représenter fidèlement la société de leur temps, même dans ses détails les plus sordides. C'est, par exemple, le projet de Balzac lorsqu'il s'attelle à La Comédie humaine (1841), vaste ensemble de romans qu'il considère comme « le plus grand magasin de documents que nous ayons sur la nature humaine ». Le naturalisme, avec Zola comme figure de proue, s'inscrit dans le prolongement de ce réalisme

sentiments de l'âme qui caractérisaient le romantisme, les écrivains réalistes se donnent pour but de représenter fidèlement la société de leur temps, même dans ses détails les plus sordides. C'est, par exemple, le projet de Balzac lorsqu'il s'attelle à La Comédie humaine (1841), vaste ensemble de romans qu'il considère comme « le plus grand magasin de documents que nous ayons sur la nature humaine ». Le naturalisme, avec Zola comme figure de proue, s'inscrit dans le prolongement de ce réalisme

sentiments de l'âme qui caractérisaient le romantisme, les écrivains réalistes se donnent pour but de représenter fidèlement la société de leur temps, même dans ses détails les plus sordides. C'est, par exemple, le projet de Balzac lorsqu'il s'attelle à La Comédie humaine (1841), vaste ensemble de romans qu'il considère comme « le plus grand magasin de documents que nous ayons sur la nature humaine ». Le naturalisme, avec Zola comme figure de proue, s'inscrit dans le prolongement de ce réalisme

sentiments de l'âme qui caractérisaient le romantisme, les écrivains réalistes se donnent pour but de représenter fidèlement la société de leur temps, même dans ses détails les plus sordides. C'est, par exemple, le projet de Balzac lorsqu'il s'attelle à La Comédie humaine (1841), vaste ensemble de romans qu'il considère comme « le plus grand magasin de documents que nous ayons sur la nature humaine ». Le naturalisme, avec Zola comme figure de proue, s'inscrit dans le prolongement de ce réalisme