La Bientraitance

personne qualifiée pour défendre vos droits. Si votre état de santé le nécessite, vous pouvez bénéficier d’une mesure de protection juridique. Conformément aux dispositions de la circulaire du 12 juillet 2011 relative au dé- veloppement de la bientraitance et au renforcement de la politique de lutte contre la maltraitance, l’établissement informe et dispense des formations à ses salariés sur ces deux thèmes. Il existe un numéro national de signale- ment de maltraitance : le 3977. Accès à vos

Elle lui permet d’une part d’incorpore de nouveaux schémas, de nouvelles perspectives mais peut également incarner une démarche de bientraitance, en répondant/réparant les besoins psychosociaux fondamentaux de l’enfant : affectifs (attachement, acceptation, investissement), cognitifs (stimulation) et sociaux (communication, considération). Notons que bientraitance et résilience vont souvent de pair. C’est par la signification (représentation) que prend l’école pour l’enfant qui va lui permettre

ci-dessus impliquent forcément celle à venir : la responsabilité de chaque professionnel dans notre intervention dans le développement d’un enfant. Chaque parole ou acte posés s’impriment comme sur les pages d’un livre. L’éthique professionnelle, la bientraitance, l’empathie, l’engagement, la neutralité sont autant d’outils responsables dans la prise en charge de ces enfants, et dont l’empreinte ne peut qu’être bénéfique. ANALYSE Devant tout trouble du comportement il est important, pour essayer d’en

mettre en place un projet d’accompagnement et à réaliser un projet de vie individualisé avec un des résidents de la structure. L’accompagnement va permettre de répondre aux besoins et attentes du résident ce qui permet de développé une culture de bientraitance. Ce document va être rempli grâce aux informations recueillies sur le résident, depuis son entrée, portant sur sa vie passée, ses goûts, son bilan médical, fonctionnel et psychique, son évolution au sein de l’établissement.PARTIE 1 : Présentation

Yves Gineste et Jérôme Pellissier page 195 Madame Mariot Emilie – Promotion 2015-2018 – IFSI Rochefort – Suivi mémoire de fin d’études Mr Tissot Pascal autonome37. L’Humanitude repose sur des principes de bientraitance avec le regard partagé, la parole, le toucher, la verticalité, le sourire, la relation à l’autre et à la société. Le regard partagé doit être mis en place pour entrer en contact avec le patient, un regard tendre doit être privilégié pour se

bénéfices/risque ; les risques encourus par un traitement ne doivent pas être supérieurs aux bénéfices envisagés pour le patient. Cela va alors conditionner l'application ou non d'un traitement. Cela repose alors sur un principe de bienfaisance, bientraitance. Le but recherché du traitement est le maintien de sa dignité, de ne pas nuire au patient et à son bien-être. Imposer un traitement à un patient, un soin invasif qui n'améliorera pas son confort et ne lui sera pas profitable n'est pas éthiquement

moi, nous pouvons ici faire le lien avec l’UE (unité d’enseignement) 1.1 c’est-à-dire « Psychologie, sociologie et anthropologie » car il comprend entre autre les notions de relations de soins, de distance et de proximité dans les soins et de bientraitance. Nous pouvons aussi mettre en lien l’UE 1.3 qui est « législation éthique et déontologie » car il reprend entre autre les concepts de dignité, de morale, de responsabilité, de respect, d’intégrité, de valeurs et d’éthique. De plus, cette UE

des actes de la vie quotidienne et des soins particuliers (pansements, nursing, perfusion sous cutanées...) Prise en charge globale de tous les gestes de la vie quotidienne, encadrement moral, physique et psychologique, lutte contre la douleur, bientraitance, lutte contre les infections liées aux soins (IAS), prévention des escarres, maintenir l’autonomie et la dignité du résident, encadrement des élèves infirmiers et aides soignants. C’est un établissement qui est au service de ceux qui souffrent

la prise en compte des attentes de la personne est essentielle. Il se réfère directement à la recommandation-cadre de l’Anesm (Agence Nationale de l'Evaluation et de la qualité des établissements et Services sociaux et Médico-sociaux) sur la Bientraitance et s’inscrit dans les principes de la loi n° 2002-2 du 2 janvier 2002 rénovant l’action sociale et médico-sociale qui vise à favoriser l’expression et la participation de l’usager dans la conception et la mise en œuvre du projet qui le concerne

équivoque, c’est bien de l’expression et de la participation des personnes à leur propre devenir et au fonctionnement même des services et établissements qui les accompagnent que viendra la meilleure prévention et les garanties d’une politique de bientraitance réellement investie par tous les professionnels impliqués dans l’accompagnement. L’A.N.E.S.M (Agence Nationale de l'Évaluation Sociale et Médico-sociale) ne fait que rappeler cette nécessité : « La définition de la participation et de l’expression