La Blanchotte

est là, on pt le remarquer qd auteur lui-mm intervient pour ajouter foi à son récit. Cette liberté du personnage qu’affirmait le jeune Sartre est als pt-être plus l’ensemble des subterfuges utilisés par l’auteur pr dissimuler son intervention. Blanchot : l’acte double de l’écriture et de la lecture par lequel évènmts et personnages se réalisent ds œuvre est « en perpétuel porte-à-faux ». Si, immédiatmt, lecteur et ss doute auteur attribuent valeur de réalité à ceux-ci, c’est pcq s’opère glissmt

cinquième alinéa : Le véritable acte philosophique est la mortification de soi-même. C’est là le commencement réel de toute philosophie. […]30 Le fameux Selbsttödtung qui devient généralement le suicide (Maeterlinck), sinon le soi comme mourir (Blanchot) est ici infléchi vers le mysticisme, la résonance chrétienne de mortification ne laissant pas de doute, continuant d’accuser cette seule lecture de Novalis comme un poète du sacré, alors que l’accent est mis plutôt aujourd’hui sur la richesse d’interprétation

Thierry CHALUS Benoit CAZENAVE Patrick LANCIEN Remi CHALUS Guy HOAREAU Jean Philippe LALANNE Denis CASSOULONG Patrick CAZENAVE Patrick LASSERRE Michel BELLEGARDE Sebastien RIPALDA Christophe LARRANETA Txomin LHARDY Antoine BLANCHOT Claire DUPARCQ Michel CASSAGNEAU Isabelle DEVAUX Thierry GARNIER Mathieu ROUBY Daniel CHALUS Guy MOLIA Annabelle VILLACAMPA Robin LABOUR Jean Yves MICHEL Arnaud FRAJDENBERG Arnaud BELLEHIGUE Cyril LABORDE Fabrice LHARDY

langage non verbal, les nouveaux romanciers assignent au regard et à l'image une parole qui manifeste le senti et 83 Dominique Lanceraux. «Modalités de la narration dans 'La Route des Flandres' », dans Poétique, n° 14, 1973, p. 248. 84 Maurice Blanchot, L'espace littéraire, Paris, Gallimard, coll. « Idées », 1955, p. 22. 85 Charles Grivel, « Visions inacessibles. Image et représentation, au cinéma principalement », dans Études littéraires, volume 28, nO 3, hiver 1996, p. 99. Reproduced with

de l’image animée Direction des études, des statistiques et de la prospective despro@cnc.fr Marie-Gabrielle Cheron, Benoît Danard, Caroline Jeanneau Avec la collaboration de la Direction de l’audiovisuel et de la création numérique Guillaume Blanchot, Valérie Bourgoin, Lionel Prévot 12 rue de Lübeck 75784 Paris Cedex 16 Tél : + 33 1 44 34 38 26 www.cnc.fr Le marché du jeu vidéo en 2012 2 Sommaire Objectifs et méthodologie ........................................................

universelles, mais par l’absurde, il ne croit pas plus à un avenir, à la force de valeurs humaines contextuelles ; la facticité sociale fait que l’homme absurde sait qu’au fond, ce que l’homme se fait n’a pas d’importance en soi. Ainsi que Maurice Blanchot le remarque dans Faux-pas, cet absurde est toujours mis en rapport avec un regard objectif sur la nature du monde, car relativement à une morale sociale, par exemple, un geste jugé absurde a du sens puisque ce sens est donné par le code social. Mais

sage-femme M. Willy Belhassen, sage-femme, Paris M. Thierry Berenger, périnatal, Gennevilliers Mme Nathalie Bonfante, sage-femme, Toulouse coordonnateur réseau Dr Sophie Bert, pédiatre, Dijon Mme Catherine Bertevas, sage-femme, Brest Mme Christine Blanchot-Isola, sage-femme cadre PMI, Évry Mme Béatrice Blondel, épidémiologiste, Paris Mme Grazia Brisset, supérieur, Clamart sage-femme cadre Mme Danielle Capgras Baberon, sage-femme, Saint-Loup Dr François-Marie Caron, pédiatre, Amiens Dr Hélène Carrère

véritable fête de l'écriture, dans laquelle cependant le sacrifice aussi n'est pas loin. L'écriture n'est jamais plus achevée, plus désirante que dans le mouvement même de sa perte, par lequel elle est écriture. Cette "écriture du désastre" dont parle Blanchot au plus intime de l'acte de créer. RÉAPPROPRIATION DE LA MÉMOIRE ET FÉMINITÉ DE L'ÉCRITURE Cette réflexion de la parole littéraire sur elle-même dans laquelle on veut voir ici une des caractéristiques essentielles de la littérarité se retrouve

p. 78-81. Bensoussan, Georges. Histoire de la Shoah. Coll. «Que sais-je ?». Paris: Presses universitaires de France, 1996, 127 p. --------. Auschwitz en héritage D'un bon usage de la mémoire. Paris: Mille et une nuits, 1998, 207 p. Blanchot, Maurice. L'écriture du désastre. Paris: Gallimard, 1980, 184 p. Carroll, David. «The limits of representation and the right to fiction: shame, literature and the memory of the Shoah». L'esprit créateur, vol XXXIX, no 4, hiver 1999, p.68-79

Cyrano de . . . . . . . . . . . . . 87 Bergson . . 41, 85, 100, 143, 146, 150, 212 Bernanos, Georges . . . . . . . . . . . . . 184 Bernini . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 200, 201 Bettannier, Albert . . . . . . . . . . . . . . 158 Blanchot, Maurice . . . . . . . . . . . . . 179 Bonnef, Yves . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 102 Boudon, Philippe . . . . . . . . . . . . . . . . 60 Bronzino . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 202 Buffon . . . . . . . . . . . . . . .