La Bonne Intention Kant

début de réponse aux problèmes politiques qui agitaient la chrétienté sans faire allusion au nexus divin, ce qui laisse suggérer un possible dépassement de la théologie politique. En réalité, la religion est pour les stoïciens fondamentalement bonne ; construite sur des fondements rationnels, elle participe à cimenter le lien social et le sentiment de fraternité entre les hommes. Si des divergences de doctrine parfaitement secondaires ont pu mener à d’effroyables guerres de religion, les institutions

pas seulement passivement et indifféremment la réalité mais sélectionne ses objets (cette inscription sur la table, ce regard particulier de l’homme qui est face à moi…), c’est parce qu’elle est avant tout intention, ou plus exactement « intentionnalité » : capacité de former une intention, c’est-à-dire mouvement par lequel un objet devient présent (sous forme de représentation) à un sujet ou acte par lequel un sujet « vise » un objet (voir le texte de Sartre dans les textes complémentaires en

l'adulte parle dans ces moments et l'enfant rie -, finalement, il fallait que les regards signifient quelque chose, qu’ils se questionnent et se répondent, pour que le message « tu es toi » puisse passer. * L'accès au langage, l'usage du "Je" - Kant (18è) - "Mais il est remarquable que l'enfant, qui sait déjà parler assez correctement, ne commence pourtant qu'assez tard (peut-être bien un an après) à dire Je; jusque là, il parlait de lui à la troisième personne (Karl veut manger, marcher, etc

vêtir de belles justifications, son utilisation mène inévitablement à avoir comme but effectif la mise en place d'un monde paradoxal de la falsification. On comprend alors pourquoi rien de viable à long terme ne peut être bâti sur le mensonge. Aussi Kant s'insurge-t-il contre "un prétendu droit de mentir", fût-ce "par humanité". Mentir, dit-il, est une action ayant comme effet de porter suspicion sur toutes affirmations, sur tous contrats, "ce qui constitue une injustice à l'encontre de l'humanité

société veut la sécurité (HOBBES 1ère finalité du contrat) La société a peur de ce qui est unique (pulsion grégaire = identifier, assimiler, niveler) PLAN du texte : I Explication : N dénonce un discours dominant sur le W en montrant qu’il a une intention cachée II Discussion : Objections ; Remise en cause du présupposé (Individu > Société) Remise en cause de l’opposition Société/Individu Réponses : Distinction entre plusieurs forces

Bactériologiques et chimiques﴿ confère plus que jamais un caractère impérieux à ce problème de philosophie politique et morale. Il ne s’agit pas seulement de la capacité pour notre espèce de se moraliser mais, plus fondamentalement, de ses chances de survie. Kant s’impose ici comme une référence incontournable. Toute sa philosophie peut s’interpréter à l’aune de la paix comme idéal régulateur de la raison critique. La raison Kantienne est fondamentalement irénique. Cela est vrai, en particulier, de sa philosophie

éthique et moeurs sont des regles qu l'on doit obeir. Mais alors que les moeurs varient avec les cultures et l'époque, la morale peut se definir comme un ensemble de conduites permises à l'homme. Dès que l'on fait quelque chose que n'est pas moralement bonne, on aura une punition. Le regard des autres compte sur nous. L'éthique nous enseigne où est notre bien, cet une sagesse qui a comme fin le bonheur et une sagesse veritable. Être sagesse signifie être moralement bon mais aussi avoir tous les autres

société est une nécessité à laquelle l’homme ne peut échapper, elle n’est pas pour autant immédiatement ordonnée et régulée de sorte que tous travaillent dans la même direction et pour le bien commun ? C’est justement ce désordre ou comme le disait Kant, cette « insociable sociabilité » qui rend nécessaire l’établissement d’un gouvernement ou un organe investi du pouvoir (exécutif) afin de diriger un Etat. Le pouvoir est un terme qui a un sens qui excède la politique. Il désigne une capacité qui

l’universel objectif, puisque les mots sont compris de tous. Penserions-nous beaucoup, et penserions-nous bien, si nous ne pensions pas en commun avec d’autres qui nous font part de leurs pensées et auxquels nous communiquons les nôtres ? (Kant) La pensée suppose aussi pour se développer, que nous puissions la communiquer à d’autres. On peut même dire que cette « publicité » de la pensée est à l’origine des progrès réalisés, par exemple dans les sciences. L’homme, être pensant, réalise sa

coursPhiloTle ESTle LTle SLa conscience 1 Conscience morale et psychologique Les deux versants de la conscience Le terme « conscience » est d’un usage courant : prendre conscience d’une situation, réagir en toute conscience, perdre conscience, avoir bonne ou mauvaise conscience, etc. Ces expressions révèlent la polysémie du mot, où convergent deux acceptions : l’une est morale (affirmée dès Socrate, qui évoque volontiers le « démon » l’invitant à telle ou telle conduite), l’autre est psychologique.