La Bruyere La Vanité

religieuse dans son Traité sur la Tolérance. En confrontant les raisons qui justifient l’intolérance religieuse selon les religions, Voltaire les porte en dérision et montre qu’elles n’ont pas de véritable fondement. Ainsi en ridiculisant les rites et la vanité des hommes d’Eglise, Voltaire en arrive au fait que Dieu est universel et qu’il doit rassembler plutôt que de désunir. Un autre exemple est celui de Montesquieu, qui à la même époque que Voltaire, lutte pour les idées des Lumières, notamment la critique

"Faites-vous envoyer promptement les fables de La Fontaine, elles sont divines. On croit d'abord en distinguer quelques unes, et à force de les relire, on les trouve toutes bonnes. C'est une manière de narrer et un style à quoi l'on ne s'accoutume point" LA BRUYERE: "Homme unique en son genre, modèle difficile à imiter" "Un homme paraît grossier, lourd, stupide, il ne sait pas parler ni raconter ce qu'il vient de voir: s'il se met à écrire, c'est le modèle des bons contes, il fait parler les animaux, les arbres

Bienséance) - Parallélisme & symétrie Auteurs : Corneille (Le Cid, 1637) Racine (Andromaque, 1667) Molière (L’Avare, 1668) La Fontaine (Fables, 1668-1693) La Bruyère (Les Caractères, 1688) Les Lumières (1715-1789) : Les écrivains des Lumières s’engagent afin de répandre le savoir et de favoriser l’exercice de la raison, contre les ténèbres de l’ignorance et du despotisme. Ils refusent toute vérité imposée

(Lettres persanes, 1721), Voltaire (Candide,1759), Rousseau (Du contrat social,1762) Diderot (Encyclopédie,1751-1772) Beaumarchais… Corneille (Le Cid,1637), Racine(Andromaque,1667), Molière (L’Avare,1668), La Fontaine (Fables, 1668-1693), La Bruyère (Les Caractères,1688) L’essai, le pamphlet, les lettres philosophiques, le dictionnaire, le conte philosophique, le roman • l’analyse des formes du fanatisme et de la superstition • le regard critique porté sur les préjugés, les coutumes

D’Urfé (L’Astrée,1607-1619) ; D’Aubigné (Les Tragiques, 1616) ; Corneille (L’Illusion Comique,1636) ;Viau (Œuvres poétiques,1621) Corneille (Le Cid,1637), Racine(Andromaque,1667), Molière (L’Avare,1668), La Fontaine (Fables, 1668-1693), La Bruyère (Les Caractères,1688) LES LUMIÈRES Env. 1715- 1789 Les écrivains des Lumières s’engagent afin de répandre le savoir et de favoriser l’exercice de la raison, contre les ténèbres de l’ignorance et du despotisme. Ils refusent toute vérité

permet le respect de la bienséance. Effets de parallélisme et symétrie. BOILEAU Art poétique CORNEILLE (le Cid 1637) BOSSUET (Oraisons funèbres 1653) PASCAL (pensées) RACINE (Andromaque 1667) MOLIERE (l’avare 1668) LAFONTAINE (Fables 1678) LA BRUYERE (Les caractères1688) EPOQUE PRINCIPES OBJECTIFS FORMES PRIVILEGIEES THEMES ESSENTIELS PROCEDES D’ECRITURE MANIFESTES THEORIES ECRIVAINS OEUVRES LES LUMIERES XVIIIème siècle 1 700- 1 800 Répandre le savoir, favoriser la raison contre les

Jodelle.. D’Urfé (L’Astrée,1607-1619) ; D’Aubigné (Les Tragiques, 1616) ; Corneille (L’Illusion Comique,1636) ;Viau (Œuvres poétiques,1621) Corneille (Le Cid,1637), Racine(Andromaque,1667), Molière (L’Avare,1668), La Fontaine (Fables, 1668-1693), La Bruyère (Les Caractères,1688)  l’exaltation du sentiment amoureux  la fuite du temps et la mélancolie  la beauté féminine, reflet de la splendeur de l’univers  l’immortalité de la poésie  l’illusion et l’instabilité, les métamorphoses du monde

et qui se révèle inefficace. De plus, si on se réfère à une personne ou ses comportements, ce mot prend d’autres significations : il peut être un adjectif qui se réfère à une personne qui fait preuve d’orgueil et de suffisance ou qui dénote de la vanité ; où il peut être utilisé dans des jurons comme “vain nom de Dieu”. Dans la poésie de Marceline Desbordes, le mot « vain » est lié au substantif « courage » et en ce cas il désigne quelque chose qui est sans effet et se révèle inefficace

s'en tenir? identités instables, moi multiples rêves, illusions, vanité (de "vanus"=vide) personnages de magiciennes et d'enchanteurs Personnages symboliques: CIRCE la magicienne qui opère des métamorphoses ; PROTEE qui se transforme et offre de multiples visages ( d'où l'adjectif "protéiforme") Animal symbolique ( cf J. Rousset): le paon: ostentation, montre, spectacle; de la beauté chatoyante mais aussi de la vanité TROIS ATTITUDES POSSIBLES: (caractéristiques résumant l'ensemble

s'ils n'étaient dégoûtés d'abord de sa grossiéreté : ils sont choqués de cette verve et de cette culture latine et grecque qui débordent sans se pénétrer et s'amalgamer. Rabelais peut être par moments le mets des plus délicats, comme le dit La Bruyère, mais il manque absolument de délicatesse. Il plaît trop à d'autres qui tombent dans un excès opposé. Ils grandissent Rabelais outre mesure : c'est un Homère gaulois; Gargantua et Pantagruel sont l'Iliade et l'Odyssée de la France. Ils oublient tout