La Bruyere La Vanité

Discours de Pirrone sur les nobles devant son ami endormi. Réconciliation entre les deux familles : le champ des amandiers. Sixième partie : Novembre 1862, p 225 à 251 le bal chez les Ponteleone; lassitude du prince de Salina. Réflexion sur la vanité de l’existence et de l’amour. Il contemple le tableau de Greuze la Mort du juste. Tancredi «  tu courtises la mort ». Septième partie : p 255 à 268, juillet 1883. Agonie et mort du Prince : crise d’aploplexie sur le chemin de Palerme. (l’hôtel

que les gens sont de simples ressorts. » La Fontaine présente une image plutôt négative de la société : exploitation des faibles par des forts arrogants, qui d’ailleurs se dévorent entre eux comme dans « le loup et le renard ». Il dénonce la vanité royale en utilisant par exemple dans « les animaux malades de la peste » le tutoiement méprisant, un champ lexical dépréciatif à l’égard du cerf, l’impératif, la parodie d’un procès. Il critique la rigidité de ces lois « avertir…un tel jour, un tel

les arbres qui étaient autrefois dans nos campagnes n’étaient pas plus grands que ceux d’aujourd’hui, il n’y a pas de raison pour qu’Homère, Platon, Démosthène, ne puissent être égalés. Racine et Boileau s’irritèrent contre lui à cette occasion. La Bruyère écrivit le fameux portrait de Cydias, le Bel-Esprit, et il n’entra à l’Académie française qu’en 1691. « Les éloges qu’il prononce à l’Académie, écrit le marquis d’Argenson dans ses Mémoires, sont du même ton que sa conversation ; par conséquent, ils

jeune on a envi de grandir en pensant que l’on vivra mieux puis une fois arrivé à un certain âge nous en venons à regretter notre jeunesse brulée (le fameux « de mon temps … »). Nous pouvons donc observer que le Voyage à la cour des Caractères de La bruyère a des ressemblances avec ce que nous observons actuellement, il s’attarde ici à peindre le contraste entre les courtisans de la cour de Louis XIII et ceux de celle de Louis XIV, les anciens sont agréables, mènent une vie sobre tandis que les nouveaux

provocation dans ses certitudes. La vanité nobiliaire dont il fait preuve. complète cette image d'un être, a en marge » mais ajoute la note comique nécessaire pour que l'idée fixe n'ait pas trop de résonances tragiques quand viendra la souffrance profonde de l'amoureux humilié. 2. Les portraits satiriques des maris bernés et contents. Croquis spirituels de la vie mondaine, qui plus développés pourraient faire penser au Boileau de la Satire X ou aux Caractères de La Bruyère. On distingue : a) – le mari

dépourvu de sa dignité humaine, et assimile à un simple objet. ‘Arlequin : Non, mon camarade ; je n’ai que des sobriquets qu’il m’a donnes ; il m’appelle quelquefois Arlequin, quelquefois He.’ Le plus grand défaut de chaque individu semble être la vanité avant tout. Que ce soit les maitres avant leur arrivée sur l’ile ou les esclaves après l’échange de rôles, ils adoptent une attitude exécrable aussitôt qu’ils sont en détention du pouvoir. Cléanthis est la moins compatissante : ses commentaires acerbes

des gens heureux : ils n'ont pas d'histoire. » 11. BERGSON Henri, Le Rire : « Le rire châtie certains défauts à peu près comme la maladie  châtie certains excès. » 12. BERGSON Henri, Le Rire : « La seule cure contre la vanité, c'est le rire, et la seule  faute  qui  soit risible, c'est la vanité. » 13. BERGSON Henri, Le Rire : « Si franc qu’on le suppose, le rire cache une arrière-pensée d’entente, je dirais presque de complicité avec d’autres rieurs, réels ou imaginaires. » 14. BERGSON Henri, Le Rire :

professeur. INTRODUCTION [entrée en matière, ouverture : quelques lignes au sujet du genre de la maxime, du Siècle d'Or] Les Maximes de La Rochefoucauld dénoncent, critiquent les aspects négatifs de la nature humaine : l'orgueil, l'infatuation, la vanité humaine... Elles réfutent le libre arbitre et mettent à nu la faiblesse de l'être humain, son art de la dissimulation et de la feinte. La maxime consiste dans un texte argumentatif à visée moralisante, un texte de morale à valeur argumentative. Le

années de conquête (chapitre « Des Coches » des Essais) Anthropologie : Science de l’homme, de l’humanité et de la nature humaine qui débouchera au XXème s. sur l’ethnologie. Les thèmes abordés par Pascal dans sa réflexion sur la condition humaine (vanité, misère, grandeur, divertissement…) constituent les prémisses d’une anthropologie et rappellent que Pascal, avant d’être croyant, est aussi un scientifique intervenant dans des domaines aussi variés que les sciences exactes et les sciences humaines

puis Molière et le statut de comédien 1 . Ainsi, selon une note manuscrite de Boileau, « Cotin obligea Molière à faire Les Femmes savantes » qui dénonce sur scène le pédantisme incarné par l’abbé Cotin cultivé mais bientôt versé, avec sérieux et vanité, dans l’écriture de sonnets à la mode. Si derrière le personnage de Vadius se cacherait l’helléniste Ménage impliqué dans une querelle avec l’abbé Cotin rapportée par Saint-Evremond dans La Comédie des Académistes (1650), Cotin est assurément Trissotin