La Bête Humaine Personnage

LaCoccinelle est datée de 1830 mais en réalité elle a été écrite le 10 octobre 1854 : Au moment ou Hugotermine un poème cosmogonique « Ce que dit la bouche d’ombre ». La Coccinelle est une contemplationd’une création métaphysique qui parle de la condition humaine. Ce poème n’est pas un « simpleenfantillage », on a d’un coté un poète triste sombre, attiré par le néant et d’un autre coté un poète capablede créer une fantaisie au charme ironique. Ce n’est donc pas l’œuvre que le jeune homme aurait pu écrire en1830

également écho à l’idée de l’obscurantisme actuel ; Victor sauve le genre humain de l’ignorance. Il prend par conséquent peu à peu des caractéristiques divines. La démesure apparaît également dans l’idée de reconnaître l’existence de limites apparemment infranchissables pour le genre humain selon les règles établies par la nature mais l’objectif premier est de franchir ces limites, aller au-delà des limites du genre humain et ainsi se placer au dessus des Hommes : « La vie et la mort étaient à mes

éclairée de deux gros yeux vifs. Ses sourcils se rejoignaient, embroussaillant son front de la barre des jaloux. Comme il avait épousé une femme plus jeune que lui de quinze années, ces coups d'œil fréquents, donnés aux glaces, le rassuraient. La Bête humaine - extrait du chapitre 1 - Zola Etude I. Un moment de pause : Cet extrait se caractérise essentiellement comme un temps de pause, un entre-deux narratif qui se déroule peu avant l’arrivée et la présentation de Séverine puis la violente

Roberto Zucco, 24 ans, vénitien: un assassin, un parricide et matricide élevé au rang de personnage mythique (Goliath, Samson). Cette '' héros'', sans jugement moral, trouble et fascine en même temps, un être qui demeure inexplicable. Pourtant, son aspect sublimé présentes des facettes contradictoires: sa brutalité et sa colère ( meurtre, combat) face a ses paroles poétiques (il cite Hugo et Dante) bouleverse et perturbe le lecteur. Son raisonnement et sa lucidité mène à la constatation de son intelligence

en scène un sultan et son entourage. L’extrait étudié est centré sur un "personnage" particulier: la gazelle du sultan, qui est l’objet d’un traitement particulier du narrateur dans le recit. Univers merveilleux du conte pour capter l'intérêt du lecteur I. L’art du narrateur. 1)L’art du récit Le narrateur omniscient: il connaît toutes les actions du récit, et toutes les pensées des personnages: (l.23-24) "cette bête, vraiment,tenait-elle au cœur de son ami autant que lui-même ? " Alternance

dévoile la misère humaine, et joue avec l’influence de l’hérédité. Il a pour but de tout montrer : bourgeois, ouvriers, provinciaux, prostituées, et alcooliques. Cette réalité est fondée sur un travail de documentation minutieuse. En effet pour préparer chacun de ses romans, Zola accumule les repérages sur le terrain afin de rendre une reproduction exacte et sincère de la ville de Paris et de la vie quotidienne. Ainsi, dans « La bête humaine », il raconte

Séquence 3 : La Bête Humaine L'ambition scientifique du roman Problématique : Comment Zola concilie-t-il œuvre romanesque et nouvelle connaissance scientifique concernant l'homme ? Puis, ligne 15 à 42, le lexique de la sensualité laisse place au lexique de la bestialité pure. Zola traduit en terme d'instinct animaux ce que la psychanalyse traduira en terme d'inconscience ( Zola analyse le psychisme en terme d'hérédité).  Jacques tente d'analyser les raisons de son mal, il passe en revue

l’image ambigüe de l’araignée et l’ortie pr4oposée par le poète. Puis, nous étudions de quelle façon le poète tente de convertir l’impression du lecteur par rapport aux êtres marginalisés. Premièrement, nous analysons le portrait péjoratif des personnages du poème, qui contraste avec la thèse du poète. Tout d’abord, nous trouvons une description négative de l’araignée tant comme de l’ortie. En effet, l’auteur a la volonté de mettre en valeur toutes les caractéristiques dépréciatives des êtres qu’il

Rhinocéros à laquelle Béranger assiste, ce sont les deux personnages présent dans le passage ainsi que le petit vieux et sa femme. Cette métamorphose est très étrange, on peut dire qu'elle est fantastique. Dans le dialogue on peut remarquer que le discours de Béranger est à chaque fois interrompu par Jean qui finit la phrase de Béranger cela donne un effet de rebondissement et ça rend le dialogue vivant : « Je veux dire l'être humain, l'humanisme... - L'humanisme est périmé ! ». Cest rebondissement

Le cycle Fils renifla le vent brûlant et sortit la tête du bosquet pour vérifier. Bête qui mord était partie, laissant les restes du cadavre de Bête qui court. Ils devaient agir vite avant que Bêtes qui broient les os et Grand Volant ne viennent se disputer la chair encore tiède de Bête qui court, s'ils voulaient en profiter eux aussi. Heureusement, Bête qui mord avait pissé sur le cadavre, ça devrait retenir un moment la faim permanente de Bêtes qui broient les os. Fils se leva et fit un geste de