La Bête Humaine Vision Du Monde

orthographiques et grammaticales est ainsi codifié strictement et imposé par le système éducatif. En même temps que l’ascension sociale, la lange et la culture deviennent accessibles à tous. Les bouleversements scientifiques et techniques rendent le monde plus rapide et coloré. Le train, l’automobile, le télégraphe et l’avion impriment leur rythme et leurs formes à tous les domaines artistiques. La tour Eiffel, tant décriée à la fin du siècle précédent, se retrouve avec des accents cubistes dans les

sens profond et caché des événements. A force d'avoir vu et médité, il regarde l'univers, les choses, les faits et les hommes d'une certaine façon qui lui est propre et qui résulte de l'ensemble de ses observations réfléchies. C'est cette vision personnelle du monde qu'il cherche à nous communiquer en la reproduisant dans un livre. Pour nous émouvoir, comme il l'a été lui-même par le spectacle de la vie, il doit la reproduire devant nos yeux avec une scrupuleuse ressemblance. Il devra donc composer

puisque nous sommes l’abrégé de ce qu’il y a de bon et de mauvais dans les créatures irraisonnables. » Tout au long de sa carrière , jean de la fontaine vas instruire les hommes a travers des animaux et ce pour plusieurs raisons. Il associe certains humains ou comportements , qualité/défauts a certains animaux comme pour le lion, qui symbolise la puissance, la royauté, le pouvoir ; le renard, la ruse, la duperie, l’intelligence malicieuse ; le « loup », la violence et la cruauté ; l’« âne », le travailleur

abominable [...]» suggère d’emblée une intimité avec la ville, un lien presque amoureux entre Jacques Dupin et la ville. La ville semble alors se confondre avec ses habitants. Aussi la présence d'action comme « nous avons ri » rendre la ville vivante, humaine. Puis dans Zone l’admiration de Apollinaire. est perceptible à travers le champs lexical de la beauté avec des mots comme « jolie rue,neuve,propre, la grâce. » II. Une image intimidante, déroutante.   a. Nous ressentons tout d'abord l'impression

du système économique, politique et judiciaire d’un pays. II- La satire du tyran exterminateur La scène montre les pulsions les plus viles de la nature humaine, pous¬sée par une animalité sous-jacente prête à surgir pour broyer les êtres. Ubu agit en ogre (avec le couteau et le crochet), il incarne les pires tares humaines : il est bête et méchant jusqu’à l’absurdité cruelle. a) Un autocrate sadique Sa soif de pouvoir le pousse à exterminer tous les contre-pouvoirs afin de concentrer les

métallique, la plus grande innovation architecturale du Second Empire. Zola en fait dans son roman une sorte de monstre, comme le seront plus tard le grand magasin dans Au Bonheur des Dames, l’alambic dans l'Assommoir ou encore la locomotive dans la Bête humaine. I. RESUME DU ROMAN II. PRESENTATION DES PERSONNAGES  Florent  Lisa  Quenu III. AXES DE LECTURE  La bataille des Gras et des Maigres  Caractéristiques des œuvres de Zola I. RESUME DU ROMAN Le récit débute avec le retour de

l'aîné envers son cadet liée à un sentiment d'injustice. en effet, Pierre pris d'"une vague jalousie, une de ces jalousies dormantes qui grandissent presque invisible", dès son plus jeune âge, "avait regardé avec une hostilité de petite bête gâtée cette autre petite bête apparue tout à coup dans les bras de son père et de sa mère, et tant aimée, tant caressée par eux" (Chap I, l89-98). La nauissance de Jean apparaît dès lors comme un élément perturbateur au bien être de Pierre, qui déjà tourmenté par

la paix, la clémence, l'amour, La justice, le droit, la vérité sacrée, Mais ta substance meurt pendant que ton feu crée. Ne te consume pas ! Ami, songe au tombeau ! - Calme, il répond : - Je fais mon devoir de flambeau. COLÈRE DE LA BÊTE I Un âne descendait au galop la science. -- Quel est ton nom ? dit Kant. - Mon nom est Patience, Dit l'âne. Oui, c'est mon nom, et je l'ai mérité, Car je viens de ce faîte où l'homme est seul monté Et qu'il nomme savoir calcul, raison

Sepúlveda : “Histoire d’une mouette et du chat qui lui apprit à voler”. L’histoire : Résumé : Il y a des navires dans les ports. Sur les quais, il y a des chats. Sous les quais, il y a des rats. Et les rats sont ambitieux, ils veulent conquérir le monde. Le Roi des rats (Raffreux , ou sa Rajesté) déclare la guerre aux chats. Loin des ports, il y a le grand large et des pétroliers qui font naufrage, ce qui provoque des nappes de pétrole sur la mer. Et, ce jour-là, il y avait Kengah, une jolie mouette

humaniste, pensaient avoir éteint les feux de l’inhumanité. Elle s’est pourtant réveillée, la bête humaine, et forte de l’industrialisation galopante elle a atteint les assises même des pouvoirs, mettant à mal les sciences, qu’elles soient politiques ou psychologiques. Pour les intellectuels de l’époque, si sensibles, dit-on, aux bouleversements de l’Histoire, les conflits qui ont secoué l’Europe puis le monde entier sont la source de profondes réflexions sur l’Homme. L’existentialisme sartrien, les