La Censure Morale

Censure et triomphe des Lumières au siècle de la Révolution Le XVIII, siècle, qu'une tradition littéraire, scolaire et universitaire présente souvent comme le siècle des « lumières », voit pourtant se renforcer une censure qui n'épargne ni les philosophes ni les hommes de lettres, pas plus que les éditeurs ou les simples colporteurs qui risquent l'emprisonnement ou les galères, pour délit d'expression. A une époque où les tirages n'excèdent guère deux mille exemplaires, où la production littéraire

distancé sur la question. La censure est justifiée par la volonté de maintenir la tyrannie. Les causes réelles de la censure sont dévoilées : ce sont des causes politiques, non morales. La censure est liée au respect de l'injustice et des privilèges. Elle vise à empêcher les gens de penser. Le texte montre le lien entre savoir et pouvoir, la savoir est un instrument d'émanticipation de l'homme.  Critique de l'Église indirecte, elle appuie le pouvoir dans la censure : dénonciation d'une collusion

retirerait rien de l'aspect moral de l'apologue. Pour cela, l'auteur élimine tous les détails superflus de son récit: Dans Les deux coqs, les deux premières phrases s'enchaînent rapidement, coupées par des signes de ponctuation, permettant ainsi d'éviter les mots de coordination, "Deux coqs vivaient en paix: une poule survint, Et voilà la guerre allumée.». En deux phrases, l'auteur place la situation initiale, l'élément perturbateur, et l'action est lancée. La morale de l'apologue est ainsi mis

L’argumentation directe traduit les idées du locuteur de manière explicite comme un essai tel qu’une plaidoirie juridique. L’argumentation indirecte, au contraire, est implicite (elle n’expose pas directement une morale claire), c’est le cas des conte philosophique, des fables et des récits qui exposent une morale de façon détournée. On se demandera en quoi l’argumentation indirecte est particulièrement efficace. Nous étudierons dans un premier temps le coté distrayant de ce genre d’argumentation puis nous verrons

nourriture …) Et enfin, elle mobilise tous les esprits. L'Etat met en place une censure pour maintenir le moral des civils et de la population.La censure contrôle la propagation des nouvelles et intercepte les lettres entre le front et l’arrière afin de ne pas démoraliser les familles et les soldats. De jour en jour, le moral des soldats est au plus bas. Pour que les français gardent le moral, l’Etat n’hésite pas à lancer sa propagande. Ce « bourrage de crâne » se présente sous différentes

d'état qui est le directeur de la librairie, organe de censure qui régule les écrits. Malesherbes s'insère dans une génération de penseur philosophique qu'il défend au nom du libéralisme face au pouvoir royale ce qui entraîne des contestations politiques de la part du parlement et du clergé. Le prochain chapitre concernant "Le constat des Encyclopédistes" introduit les difficultés à interpréter pour la librairie, organe de contrôle et de censure du pouvoir royal. Bien que la plupart des articles sont

ou le jeune personnage éponyme voyage dans le monde entier et ou l’action omniprésente n’est pas entraver par de nombreuses descriptions. La Fontaine dans Le pâtre et le lion montre que les gens on besoin de lire des histoires divertissantes « Une morale nue apporte de l'ennui. / Le conte fait passer le précepte avec lui. / En ces sortes de feinte il faut instruire et plaire… » Mais a trop divertir, le lecteur perd le but premier du conte philosophique, c'est-à-dire le réflexion sur le monde qui l’entoure

particulièrement troublante voire même violente. Les deux coqs, le renard ayant la queue coupée, la cour du lion et le loup et l’agneau sont de très bons exemples de cette violence et cruauté que l’on peut trouver dans les fables de Jean de La Fontaine. Les morales de ces fables font toute preuve de l’évidence d’une réalité cruelle à portée universelle mettent en scène des différentes sortes d’animaux provenant de différent milieux et qui ont tous un certain rôle qui correspond à leur véritable nature animale

Œuvre : le fils du pauvre de Mouloud FERAOUN Thème : la censure du fils du pauvre par les éditions du Seuil en 1954. Introduction De tous les écrivains algériens d’expression française et pour les jeunes de ma génération, Mouloud FERAOUN « un écrivain algérien, né le 8 MARS 1913 considéré aujourd’hui comme le fondateur de la littérature algérienne d’expression française. Il a écrit quatre romans dont le fils du pauvre (Grand Prix Littéraire de la ville d’Alger 1951) et la terre et le sans

répond Freud, ce qui est refoulé représente un danger pour l'équilibre psychique du sujet. Les représentations refoulées sont liées à des désirs en totale contradiction avec les normes familiales, sociales, morales, esthétiques ou religieuses. Ces normes exercent donc un pouvoir de censure à l'encontre des désirs et provoquent leur refoulement. L'inconscient peut donc se définir, en première approche, comme le lieu des désirs refoulés. Le refoulement est en lui-même normal, universel et nécessaire