La Chaîne du bonheur

Nous pensons fréquemment que le bonheur consiste dans le fait de satisfaire nos désirs. Un SDF qui rêve d'être riche s'imagine heureux lorsque son désir sera comblé. Nos vie sont dirigées par nos désirs, qu'ils soient amoureux, professionnel ou personnel. On pense alors qu'une vie heureuse est une vie qui exauce nos souhaits. Mais le désir n'est-il pas, au contraire, une sorte de manque qui nous obsède jusqu'à son accomplissement? Le désir ne peut être la cause du bonheur dans le sens où c'est un manque

pas tous heureux. Sommes-nous plus heureux que nos ancêtres ? Il est souvent vrai que nous relions notre bonheur dans le progrès scientifique (par exemple, quand nous aurons des aspirateurs qui feront le ménage tout seuls, nous vivrons dans un plus grand bonheur). Également, nous cherchons souvent à obtenir le dernier cri de la technologie en pensant qu’il nous rendra plus heureux. Le bonheur est-il lié de manière nécessaire au progrès technologique? L’avancement technologique nous rend-il plus heureux 

Introduction The Truman show > Terminales Ce film de Peter Weir (1999), fable sur un homme dont la vie est un gigantesque show télévisé, est l’occasion d’une réflexion sur plusieurs thèmes philosophiques : la vérité, l’existence, la liberté, le bonheur. Cette séquence pourra s’appuyer sur le visionnage de tout ou partie du film. Dans le cadre de la réflexion philosophique, quelques extraits nous paraissent particulièrement significatifs : - scène de la voiture avec la radio - scène du chocolat Mococoa

industriel plus particulièrement, la liaison entre temps et argent est explicite. Il existe même des formules reliant ces deux paramètres. Prenons l’exemple d’une chaîne de montage. Nous pouvons définir un chiffre d’affaire par unité de temps, et inversement, nous pouvons connaître les pertes occasionnées par un nombre n d’heures d’inactivité de la chaîne. Cette théorisation du lien entre ces deux unités souligne leur proportionnalité. Le lien est tellement fort qu’il en inspire le cinéma. Prenons l’exemple

liberté et l’autonomie qu’implique la démocratie brisent la chaîne de la société aristocratique et peuvent mener à un nouveau despotisme. En effet, dans la société féodale, chacun est hiérarchiquement lié aux autres, et en dépend pour ses affaires. La démocratie sépare les anneaux de la chaîne, et les met côte à côte, égaux et semblables. Les hommes tendent ainsi à ne vivre que pour eux, repliés sur soi, seuls responsables de leur bonheur. Ils se côtoient, et pourtant ne se touchent ni ne se parlent

vie de tous les jours. Cependant cet élément reste controversée il est certes facteur de bonheur dans certains cas mais reste la cause de malheur dans autres cas. Pour répondre a cette problématique, nous étudierons le travail sous un angle économique pour défendre celle-ci et sous un angle psychanalytique pour réfuter celle-ci. De nos jours travailler apporte en plus d’un salaire, une contribution au bonheur en effet désormais grâce à cette outil on obtient une rémunération plus ou moins élevée

jours’, les jeunes gens rêvent de trouver un travail alors symbole d’émancipation, de liberté et de bonheur. Cependant, ce sujet n’est pas sans débat. Dans le texte d’Aristote, l’idée développée s’oppose totalement au concept que nous avons. En effet, selon lui, le bonheur ne peut être acquis à travers le travail. Ainsi, on peut se demander est ce que le travail est forcément une barrière au bonheur contrairement à la ‘vie de loisir’? Pour y répondre, nous allons étudier la première partie du texte

DUEL Football, bonheur et passion. Lors du premier “clasico” de la saison dernière en Liga, le 7 octobre 2012, les coeurs ont peut être battu encore plus fort, dans un pays meurtri par la crise économique, confronté à un taux de chômage jamais atteint, où le football est synonyme de répit, de bonheur et de passion. Durant 90 minutes, une majorité d’espagnols ont oublié leurs soucis, leurs difficultés du moment, contemplant le spectacle d’un choc qui a tenu toutes ses promesses. S’il s’est soldé

l'industrialisation, du travail à la chaîne, du Taylorisme et de la dangereuse progression de la robotisation des usines. Charlie Chaplin refuse que l'homme ne soit purement et simplement asservi à la machine et au rendement. Les quelques premiers mots du film nous plongent d'entrée dans un univers d'ironie flagrante et de critique acerbe sans concession. Au risque de déplaire à certains : La grandeur de l'industrie, la beauté de la libre entreprise. L'Humanité à la poursuite du bonheur. Charlie Chaplin interprète

de la femme aimée. Il donne la parole à Elsa qui définit pour lui, comme la Muse antique, un "art poétique" tout à fait particulier 1 Tu me dis que ces vers sont obscurs et peut-être Qu'ils le sont moins pourtant que je ne l'ai voulu Sur le bonheur volé fermons notre fenêtre De peur que le jour n'y pénètre 5 Et ne voile à jamais la photo qui t'a plu Tu me dis Notre amour s'il inaugure un monde C'est un monde où l'on aime à parler simplement Laisse là Lancelot laisse la Table Ronde