La Chambre Du Père Goriot

permet d’hériter de sa maîtresse. Finalement il devient riche mais n’aime pas les riches. - JC Cherche de l’argent pour sa mère puis pour l’avortement de Lina. - Lina reçoit des cadeaux très chèrs. Il y a aussi l’histoire d’héritége laissé par son père.  Grande importance de l’argent qui est toujours lié à la mort. B. Savoir  Pouvoir: - Au début, JT est le baas. Il sait tout et se souviens de tout. - Il perd ensuite son pouvoir quand les autres apprenent des hoses sur lui. - A la fin,

A travers son portrait ambivalent nous constatons qu’il a l’impression d’être mal né. Il a peur de son père, violent, auquel il ne tient pas tête. A fil de notre lecture, nous avons pu observé que ce rejet, cette humiliation de J face à sa famille et ses frères filent le texte. Cette marginalité entre J et sa famille se ressent ds la lecture. Les frères ne sont que très peu évoqués. Le pere , lui n’apparait que qq fois ds le roman de près de 600 pages. Au commencement, avt que J ne soit précepteur

la scène et l’intrigue est une épure. L’action se passe dans le vieux New York, d’avant la guerre de Sécession. L’héroïne (Catherine) est une riche héritière. Un coureur de dot (Morris) se présente et gagne rapidement le cœur de la jeune fille. Le père de la jeune naïve en la déshéritant fera fuir l’amoureux. James, dans Washington Square, s’inspire de Balzac essentiellement sur trois points : l’intrigue, la composition, et les personnages 2 . J’ai centré ma séquence sur le personnage pour divers

en opposition avec l’idéaliste position des femmes dans la société, représentant sans aucune retenue la société, qu’il faillit envoyer Flaubert en Prison. « Madame Bovary » est inspiré d’un fait réel : Delphine Delamare, femme d’un ancien élève du père de Flaubert, qui était chirurgien à l’Hotel Dieu de Rouen, dont son histoire racontée par l’auteur donnera naissance à Madame Bovary. Mais pourtant à certains de ses admirateurs qui, à la parution de Madame Bovary s'émerveillaient de voir ‘un roman

consulter la fin de cette synthèse, rubrique « Lectures hors programme, pour la culture et le plaisir ! » ALAIN-FOURNIER, Le Grand Meaulnes. ARAGON L., Aurélien. BALZAC (de) H., Le Colonel Chabert ; La Peau de Chagrin ; Le Lys dans la vallée ; Le Père Goriot ; La Peau de chagrin. BEROUL T., Tristan et Iseult. BRETON A., Nadja. CAMUS A., L’Etranger ; La Peste. CELINE L.-F., Voyage au bout de la nuit. COHEN A., Belle du seigneur. DUMAS A. (fils), La Dame aux camélias.  DUMAS A., Le Comte de Monte

Le Procès (Fiche de lecture)Le Procès Franz Kafka Fiche de lecture Document rédigé par Vincent Guillaume maitre en langues et littératures germaniques (Université catholique de Louvain) lePetitLittéraire.frRendez-vous sur lePetitLittéraire.fr et découvrez : plus de 1200 analyses claires et synthétiques téléchargeables en 30 secondes à imprimer chez soi RÉSUMÉ 3 ÉTUDE DES PERSONNAGES 6 Josef K. Les employés du tribunal Les femmes L’avocat Huld CLÉS DE LECTURE 8 Un texte inachevé L’impossible

 quant  à lui, tombe sous le charme de Dounia. Alors que tous sont réunis chez Raskolnikov, Sonia, la fille  prostituée de Marméladov, un homme dont le jeune étudiant s’est rapproché peu auparavant,  fait son entrée. Elle vient suite à la mort de son père pour convier Raskolnikov à l’enterrement. Celui-ci fait preuve d’une grande prévenance à l’égard de Sonia, ce qui intrigue sa mère et sa sœur.  Toutes prennent ensuite congé. Raskolnikov parle alors à Razoumikhine de l’entretien qu’il doit avoir

| | | |1833 : Eugénie Grandet, Balzac | | | | | | |1834 : Le Père Goriot, Balzac | | | | | | |1834 : On ne badine pas avec l’amour, Musset | | | |

la vie quotidienne des personnages et non plus seulement les moments de « crises », de « passions » : on peut citer, parmi d'autres, La Cuisine d'Arnold Wesker, L'Atelier de Jean-Claude Grumberg, Loin d'Hagondange de Jean-Paul Wenzel, Théâtre de Chambre de Michel Vinaver, Arromanches et Neige et sables de Daniel Besnechard. Au théâtre, l'illusion est renforcée par les « effets de réel » qui lui sont spécifiques : ainsi le rideau se lève — ou la scène s'éclaire — et nous sommes à quelques mètres de

bourgeois. Sa belle façade de pierre à l'ornementation cossue s'ouvre sur de vastes cours carrées. Les pièces de représentations sociales viennent sur l'avant, celles de la vie quotidienne avec ses services sur l'arrière. Sous les combles, des chambres sans confort sont réservées à la domesticité. Au contraire de l'aristocratie, qui vivait en retrait de l'espace public, la bourgeoisie affiche en façade les signes de sa réussite et de son enrichissement. La place de la femme