La Chanson Didactique

Délibératif - Articulations logiques explicites (hypothèse, cause, conséquence, opposition, but) - Argumentation serrée, raisonnements concessifs - Interrogations (adressées à soi-même ou a autrui) Ouvrir un débat, discuter en vue de prendre une décision. Didactique - Lexique de la pédagogie  - Tournures de l’ordre et du conseil (impératifs et futur à valeur injonctive)  - Progression logique du propos (expression de la cause et de la conséquence), style clair facilement compréhensible - Recours à l’exemple

Université de Montréal Les contributions de la littérature en classe de français en regard de la dimension culturelle par  Mélanie Bergeron Département de didactique Faculté des sciences de l’éducation Mémoire présenté à la Faculté des études supérieures en vue de l’obtention du grade de M.A. en didactique Novembre 2004 ©, Mélanie Bergeron, 2004 Université de Montréal Faculté des études supérieures Ce mémoire intitulé : Les contributions de la littérature

Misérables, qui paraît en 1862, en pleine période réaliste, mais qui lui emprunte peu de caractéristiques . Ce succès populaire phénoménal embarrasse d'ailleurs la critique car il louvoie constamment entre mélodrame populaire, tableau réaliste et essai didactique . De la même façon, dans Les Travailleurs de la mer (1866) et dans L'Homme qui rit (1869), Hugo se rapproche davantage de l'esthétique romantique du début du siècle, avec ses personnages difformes, ses monstres et sa Nature effrayante . Enfin

au XVIème siècle, avec La Franciade, en hommage à François 1er, l’épopée ne rencontra guère de succès en français. * Hymne : poème religieux en l'honneur des dieux ou des héros. Au XVIe siècle, poème à rime plate, en alexandrins, épique ou didactique (jamais lyrique) sur des sujets très divers. Ensuite, toute œuvre qui chante un grand sentiment sur le mode du lyrisme enthousiaste. * Idylle : (grec : « petit tableau ») dans la poésie grecque, petit poème, presque toujours érotique, évoquant

1852) et le dépaysement culturel ou géographique de l’inspiration (Poèmes barbares, 1862). A ses côtés, on retrouve d’anciens romantiques « convertis » à une pure virtuosité formelle (Banville, Odes funambulesques, 1857) ; des maitres en poésie didactique comme Sully Prudhomme (1839-1907) ou encore des artistes proches du symbolisme et de la décaddence comme François Coppée (1842-1908) ou Catulle Mendès (1841-1909). Le décadentisme ou la vitalité d’une esthétique « fin de siècle » Le courant dit

l’automneProblématique : comment Ronsard propose-t-il dans ce texte une image renouvelée et valorisée du poète, en s’inscrivant pour cela dans la lignée des auteurs de l’antiquité ? I. un texte qui montre que le talent poétique est un don des dieux 1) un texte didactique 2) un texte qui souligne que le talent poétique est un don des dieux a) les chants lexicaux du don et de la divinité b) la notion de fureur d’esprit v7 3) un texte qui met en avant les pouvoirs sacrés du poète II. Un texte qui souligne que le poète

aussi des textes poétiques. Les enfants adorent les séquences poésies en dehors de la récitation. Pour développer la lecture de la poésie on peut s’appuyer sur l’édition, la médiation, les listes de référence des programmes officiels la recherche en didactique (C. Boutevin, M. Favriaud…)Sites : Printemps des poètes, Poezibao, Terres de femmes1- Quelle poésie pour l’école aujourd’huiLes éditeurs :· Il y a des éditeurs qui possèdent un secteur jeunesse· Il y a aussi des édition jeunesse ayant un secteur

apprentissages, et de l’autre côté un pôle négatif par lequel l’erreur nuit à la progression des apprenants et altère leur sentiment de compétence. Nous expliquerons comment il est possible, pour l’enseignant, de régler ses interventions pédagogiques et didactiques, de façon à amener le curseur du côté positif. Problématique 3 Nous défendrons l’hypothèse selon laquelle l’erreur en éducation physique profite simultanément à l’activité de l’élève (qui apprend) et à l’activité de l’enseignant (qui l’aide

courtois est un long récit écrit au Moyen Âge (XIe et XIIe siècle) en vers octosyllabiques ou en prose. Il met en scène des chevaliers qui combattent pour leurs dames. Les romans courtois représentent la notion d'amour courtois. Contrairement aux chansons de geste qui s'inspiraient de la matière de France, le roman courtois prend pour inspiration la matière de Rome ou la matière de Bretagne. Le roman est un récit, en langue romane (d'où le nom de genre), écrit d'abord en vers octosyllabiques, puis

Puntila. * La tirade finale de Matti qui énonçant la "morale" de l'histoire semble davantage s'adresser au spectateur qu'à son maître d'ailleurs absent (double énonciation oblige). * Les chansons qui interrompent l'action et entretiennent un rapport plus ou moins directe avec elle (cf. tableau 3 p.24/26 ; p.81 la chanson de Surkkala-le-Rouge. Cf. le chant de Puntila dont les strophes illustrent après coup la plupart des tableaux mais justement pas tous). * La désignation allégorique de certains personnages