La Charrette Bleu

d'un seul homme à la fois. Les plus larges étaient la rue Saint-Martin et Grande-Rue Saint Honoré. Une charte de 1222 fixa la largeur d'une de ces rues à un peu moins de 6 mètres pour que deux charrettes puissent se croiser. Apparurent alors des bornes de pierre en bordure de chaussée, afin que les charrettes n'endommagent pas les immeubles. Celles-ci servaient également aux cavaliers pour monter sur leurs chevaux.Il y en avait moins de 300. Elles étaient boueuses, sales et malodorantes. Ne pouvant

beauté de la boue « après l’orage », est mise en valeur par l’adverbe d’intensité « si » et la phrase exclamative, à travers la métaphore de l'oiseau : « avec tes ailes bleues ». Métaphore presque surréaliste, dans le mélange des champs lexicaux du ciel (« ailes ») et de la terre (« boue »), du beau et du laid : les ailes bleues sont sans doute le reflet du ciel dans la boue. Cette métaphore mêle les 4 éléments : le ciel, l'eau et la terre et le feu (l'orage). La métaphore est valorisante car elle

l’extermination de masse des populations juives, tziganes et homosexuel. Les camps comme Auschwitz avaient été crées, sous le régime Nazi, dirigé par le Reich Allemand Hitler qui pensait que la seul race pur dans ce monde était la race aryennes (blonds aux yeux bleu). III. Analyse de l’œuvre . Description L’action se situe dans les camps d’extermination d’Auschwitz, en Pologne. Au premier plan se trouve une famille juives de six personnes : deux femmes (une âgée, une plus jeune), deux petits garçons, une

et au port (ex : blocs de pierre au premier plan). La tour occupe une place importante sur le tableau, elle est au centre. Son sommet touche les nuages, ce qui signifie qu'elle veut toucher Dieu. Les couleurs utilisés sont l'ocre et le jaune, le bleu du ciel et le vert du paysage dominent. La tour est ronde, chaque étage a un diamètre qui diminue en fonction de sa position. Les contrebutements encadrent des baies géminées. L'intérieur de la tour est en brique rouge, on aperçoit un réseau de

d’Octavius étaient riche donc ils avaient un cocher, une charrette et deux chevaux. Le père d’Octavius, un grand homme qui a bien voulu me prêter sa charrette, son cochet et ses chevaux. Je suis donc partie avec Marcus, le cocher pour me rendre au Panthéon. […] Lorsque j’arrive près du Panthéon, je suis émerveillée par le gigantesque dôme la grandeur et la beauté du dôme (coupole). J’ai hâte d’être à l’intérieur ! Des que Marcus stoppe la charrette, je descends pour observer le magnifique monument.

tradition qui veut qu'elle porte, quatre éléments aux choix ayant des caractéristiques précises : - Un de ces éléments doit être ancien (un bijou de famille le plus souvent),- Un autre doit être neuf,- Un autre doit être emprunté,- Un autre doit être bleu. Ensuite la robe, autrefois la mariée portait une robe gris perle ou bleue, c'est qu’après la première guerre mondiale qu'elles sont passées à la robe blanche symbolisant la virginité. La tenue être accompagnée d'un voile et de gants. D'autre part

de plantes chimériques, Je les vois se faner sous la nuit ou le vent. Escales des matins argentines et fraîches, Ô fruits salins mûris par les soleils des mers, Je veux mordre aux douceurs vivaces de vos chairs Vous qui de loin avez le duvet bleu des pêches. Je ne vois rien encore à l’horizon figé Dans le cercle marin que nul phare ne troue ; Mais mon cœur, devançant tout ce morne trajet, A déjà vu trembler Santa-Cruz à sa proue… Jules SUPERVIELLE, (1884- 1960). Poèmes, Gallimard.

Janvier Le duc de Berry, assis en bas à droite, dos au feu, est habillé en bleu et coiffé d'un bonnet de fourrure. Il invite ses gens et ses proches à se présenter à lui (on voit d'ailleurs derrière lui l'inscription « Approche »). Janvier est le mois des cadeaux et étrennes : la coutume voulait que les gens de cour offrent à leur suzerain, en début d'année, des présents pour le remercier de sa protection. Assis à la même table, face au duc, on voit un ecclésiastique habillé en rouge et blanc

Montréal. Parallèlement à cette carrière didactique, elle a travaillé comme scripteur et animatrice pour Radio – Canada, à Moncton et à Montréal. Grâce au succès de la pièce de théâtre “La Sagouine” (1971) et du roman “Pélagie – la – Charrette” (1979), Antonine Maillet domine la littérature acadienne contemporaine. Avec ce roman elle remporte le Prix Goncourt, qui lui donne la distinction d’être la première écrivaine canadienne à recevoir ce prix. Son roman évoque le Grand Dérangement

conduit les Juifs à la mort. Arrière plan : À l’arrière-plan, on distingue à gauche une colonne de déportés décharnés, sans doute conduits aux crématoires pour y être gazés. À droite, le camp de travail avec ses gardiens. Des déportés tirent une charrette avec sûrement des cadavres, un autre est battu, un troisième est étendu au sol comme mort. On peut imaginer que les détenus doivent creuser des fosses pour y enterrer les cadavres. On distingue les barbelés et les miradors qui entourent le camp et