La Chose De Bernard Friot

Titre de la séquence : Ecrire à la manière de Bernard Friot |Séance n°1 |Date : | | |Discipline : Littérature, lire, écrire |Niveau : CE2 |Durée : 60min | |Compétences : | |Lire silencieusement un texte littéraire et le comprendre (reformuler, répondre à

| |100 | | Extrait de Encore des histoires pressées (Bernard Friot). Dictée du lundi 16 janvier 2006. Dictée CE2 Petits mots ( 3 points. Adjectifs, noms et certains adverbes ( 2 points. Verbes ( 1 point. |Points |Texte

complémentaire (8 points) 1. À partir de l’analyse des documents A (texte de Bernard Friot) et B (transcription d’échanges dans une classe de CE1), vous préciserez les compétences que les élèves doivent mettre en œuvre dans cette séance de lecture. (3 pts) 2. À partir de l’analyse des documents A et B, vous dégagerez et commenterez le dispositif pédagogique élaboré par l’enseignant pour faire étudier aux élèves le texte de Bernard Friot. (3 points) 3. À partir du document B, vous analyserez et commenterez

successifs de droite et de gauche nous le disent depuis vingt ans, les experts nous le répètent de rapport en rapport, et le consensus est partagé. C’est précisément le caractère si consensuel de ce discours qui devrait nous alerter. Il y a quelque chose qui cloche dans cette affaire, comme dans une affaire criminelle dont la résolution, rondement menée, laisse perplexe. Des indices ? Pourquoi ne sauve-t-on pas les retraites de la même manière qu’on a sauvé les banques ? On vient de sauver les banques

père de famille qui soigne sa fille avec dévotion, ce fin connaisseur en crus de Bordeaux, cette dame d'âge respectable qui rêve de rendre visite à ses petits-enfants... chacun de ces personnages, si inoffensifs en apparence, n'a-t-il pas quelque chose d'inquiétant ? Roald Dahl, de récit en récit, distille, dans ce recueil, situations cocasses et frissons d'effroi avec l'humour mordant qui a fait son immense succès auprès des lecteurs de tous les âges. Les lecteurs de Charlie et la chocolaterie,

SOUPÇON     J'ai tout de suite compris qu'il s'était passé quelque chose de grave. Dès que je l'ai vu. Il avait sauté sur mon lit et il se léchait les babines d'une manière qui m'a semblé bizarre. Je ne saurais expliquer pourquoi, mais ça me semblait bizarre. Je l'ai regardé attentivement, et lui me fixait avec ses yeux de chat incapables de dire la vérité. Bêtement, je lui ai demandé : - Qu'est-ce-que tu as fait ? Mais lui, il s'est étiré et a sorti ses griffes, comme il fait toujours avant

c'est vrai, j'ai vu le souci, dans ses yeux. Et presque plus de colère. Alors, j'ai mis mes bras autour de son cou. Il m'a soulevé et m'a emporté jusque chez nous. Je l'aime bien, mon robot. Je lui ai donné un nom. Je l'appelle : papa.   Bernard Friot, Nouvelles Histoires pressées, Milan Zanzibar, 1995 De quoi nous parle cette nouvelle ? Qui parle ? (Comment le sait-on ?) ; De qui parle-t-il (Comment le sait-on ?) ; Qu'est-ce qu'on apprend sur le Narrateur (sur celui qui parle) ? A

toutes nos pesées. - - Problème 2 : Le manque de temps a effectivement été un obstacle pour certains groupes. Il me semble que cet atelier pourrait être refait sur un temps plus long durant lequel tous les groupes travailleraient sur la même chose. Ainsi, l’atelier qui et ici dirigé serait davantage semi-dirigé avec le maître qui tourne sur tous les groupes. Problème 3 : Le passage par l’addition a été proposé par certains mais, l’ayant anticipé, je demandé aux élèves un autre moyen de calculer

tard. Le catalogue compte trois ouvrages de poésie à destination des adolescents. Ceux-ci se distinguent par un graphisme moderne : mise en page éparpillée, utilisation de papier calque, couverture holographique… Pour toucher sa cible, l’auteur, Bernard Friot, choisit des thèmes qui ne laissent pas les adolescents insensibles : le mal-être, l’amour... L’un de ces ouvrages, Pour vivre, est le thème central d’une exposition qui voyage actuellement en France1. Des collections pour adolescents « Oxygène

gens n’auraient pas situé la France sur une carte… (…) je voudrais savoir ce que vous avez signifié pour eux. (…)je voudrais savoir ce que cela voulait dire : qui était le général De Gaulle, pour ces gens qui l’acclamaient. - Et c’eût été la même chose en Indonésie… En Amérique latine, c’est différent. Pourquoi les Espagnols ne m’aimeraient-ils pas ? Ils aiment bien Don Quichotte[2]. André Malraux, Les chênes qu’on abat, 1971 Exercice 4 a) Relevez les deux verbes conjugués au conditionnel. Justifiez