La Chose

C’est avec un certain goût pour la provocation que Théophile Gautier affirmait : « il n’y a de vraiment beau que ce qui ne peut servir à rien » dans la Préface de Mademoiselle de Maupin écrit en 1835. la poésie peut-elle servir tout de même à quelque chose ? Théophile Gautier ne le pensait pas. La seule fonction du poète selon lui est de poursuivre un idéal esthétique. Mais existerait-il une nette dichotomie entre des poèmes utiles et laids et les autres, qui seraient inutiles et beaux ? A une conception

Théophile Gautier affirme : « Il n’y a de vraiment beau que ce qui ne peut servir à rien ». La poésie peut-elle cependant prétendre être utile à quelque chose ? Théophile Gautier est l’un des chefs de file du Parnasse, un courant littéraire du XIXe siècle succédant au romantisme, et qui prônait les théories de « l’Art pour l’Art ». ce mouvement faisait de l’esthétisme la seule finalité de la poésie. C’est avec un certain goût pour la provocation que Théophile Gautier affirmait : « il n’y

DISSERTATION Sujet : Théophile Gauthier affirme : « Il n’y a de vraiment beau que ce qui ne peut servir à rien. ». Selon vous la poésie peut-elle cependant prétendre être utile à quelque chose ? Le mot poésie vient du verbe grec « poïéin » qui signifie créer. Le poète est un créateur d’univers. Dans l’Antiquité, l’inspiration poétique passait pour être d’origine divine. Mais au dix-neuvième siècle, les poètes avaient une toute autre conception de la poésie. Théophile Gautier, considéré comme

« La censure, quelle qu'elle soit, me parait une monstruosité, une chose pire que l'homicide ; l'attentat contre la pensée est un crime de lèse-âme. La mort de Socrate pèse encore sur le genre humain » Gustave Flaubert Depuis toujours, la censure est intimement liée au pouvoir.aux dirigeants des états. De plus, les modes d’expressions de la pensée, qu’ilselles soient oraux, théâtreaux, écrits ou même encore cinématographiques, orales, théâtrales, écrites ou encore cinématographiques ont toujours

“ Je crois que la bonne galanterie n’est autre chose que la parfaite honnêteté, accompagnée des vrais agréments en tout ce qu’elle fait ou qu’elle dit, et d’une manière noble et délicate ”** Chevalier de Méré, Des Agréments** (Œuvres complètes**, Paris : Ch. Boudhors, II, 44). En 1607, Monsieur le Chevalier de Méré, était né un “ homme de Qualité ” dans une famille “distinguée par l’antiquité de sa Noblesse ”. (Boudhors 1930 : 65). Bien qu’il soit le plus bien connu pour ses calculs qui aident

Seule l’expérience du bonheur sert à quelque chose. ------ Bernard-Marie Koltès, Roberto Zucco « 232 morts en Afghanistan » ; « Toujours pas de trace de la petite Alice » ; « Crise économique en Amérique ». Voilà ce qui occupe les premières pages de nos journaux aujourd’hui. Il y a tant de mal, tant de désespoir dans le monde que l’on se demande si l’on devrait encore y prêter encore attention. L’expérience du mal sert-elle au fond à quelque chose ? OU devons-nous simplement nous en débarrasser

responsabilité du fait des choses et ensuite nous expliquerons les effets de cette responsabilité. Les conditions de la responsabilité du fait des choses La présence d’une chose, le fait de la chose et la garde de la chose sont les conditions nécessaires pour engager la responsabilité du fait des choses. La chose La chose est un terme vague (bien solides, liquides, gazeux, ondes sonores etc.) mais ce sont surtout des biens corporels. Certaines choses sont exclues dans l’art 1384 al 1 tels

LE FAIT DES CHOSES: PPE RESP. DU FAIT DES CHOSES: tout fait d'une chose peut engager la responsabilité et permettre à la victime réparation. CCIV 1804: Pas de PPE Gal du fait des choses. 2 cas: DMG causés animaux + bâtiments. Industrialisation de la société (moitié XIXème siècle): développement machinisme + choses dangereuses => victimes nouvelles de DMG: Nécessité de développer un PPE GAL DU FAIT DES CHOSES INANIMÉES: interprétation JP art 1384 al 1 Cciv. S1: PPE GAL DE

dans le mouvement inconsidéré de la victime qui s’était levée, avait pivoté à 90 degrés, et s’était dirigée vers la terrasse sans s’apercevoir que la porte vitrée était pratiquement fermée avant de la percuter. De plus, la Cour d’appel a jugé que la chose, à savoir la baie vitrée, n’avait eu aucun rôle actif dans la production du dommage dans la mesure où elle n’était pas en mauvais état. De son côté, la victime a indiqué qu’elle avait pu croire que la baie vitrée était ouverte compte tenu de sa

de Philosophie, Lycée J. D’Albret, S. Germain Art et réalité : http://lyc-sevres.ac-versailles.fr/eee.intertice09.php « Le poète ne fait rien. Il se laisse dire la chose, il laisse même la chose se dire ellemême à lui, redoutant dès lors du langage qu’il en dise trop ou trop peu, jusqu’au moment, qui arrive ou non, où la chose elle–même devient parole. »1 Introduction On se souvient que Aristote, dans la Physique, explique que l’art imite la nature. Mais il veut plutôt dire que l’art imite