La Chrétienté Latine

L'appel du pape tombe à pic et obtient un écho inespéré. C'est que la «chrétienté» (ainsi appelle-t-on alors l'Europe occidentale), encore fragile et fruste, beaucoup moins avancée que les empires byzantin ou arabe, garde le souvenir des invasions hongroises et sarrasines du siècle précédent. Mais elle déborde d'énergie et commence à se sentir à l'étroit dans ses terres du bout du monde. Depuis l'An Mil, cette chrétienté vit une grande époque de renouveau religieux. Les guerriers codifient leurs

ses connaissance, il décide de changer l'Europe en un monde meilleur. Pour cela, il décide de combattre l'intolérance religieuse en prônant le retour aux textes anciens. Et en débarassant le christianisme de son latin incompréhensible à la majorité des chrétients, qui éloigne les chrétients de la vérité profonde des écritures. De plus, il reproche aux gens de l'Eglise de vivre dans la richesse et de ne s'intéressser qu'à leurs propre plaisirs, alors qu'ils recommandent à la population de vivre humblement

être une tautologie : pour être européen il faut être européen. L’UE n’arrive pas à définir ce que c’est d’être un pays européen. On a une confusion entre l’Europe et l’Union. Limites vient du mot latin Limes qui est un sentier, limite serait plutôt culturelle, qu’en au terme frontières, vient du latin, fros, la tête de l’armée fasse à l’ennemi, c’est un terme antagoniste. Définir ces mots est délicat, car nous n’avons pas une langue commune. Il y a trois grandes différences : * l’Europe des structures

Andrelin. Comme étudiant, Érasme choisit de mener une vie indépendante, sans se sentir lié par une nationalité, des liens académiques, des coteries religieuses ou ce qui aurait pu entraver sa liberté de pensée et d’expression littéraire. La langue latine, qui était alors d’un usage universel en Europe, lui permettait de se sentir partout chez lui. Il exerça surtout son activité à Paris, à Louvain, en Angleterre et à Bâle. Son séjour en Angleterre lui permit de nouer des amitiés durables avec les principaux

La chrétienté médiévale I - La christianisation de l'Europe 1. Une expansion progressive ← Le christianisme, né en Terre sainte, s'est d'abord étendu en Orient. Il commence à s'implanter vraiment en Occident à partir du IIIe s. Il touche d'abord les villes, les campagnes restant païennes*. ← De la fin de l'Antiquité au début du Moyen Âge, la christianisation* progresse dans toute l'Europe occidentale, dans les anciens territoires de l'Empire romain d'Occident mais aussi en Irlande

La Chrétienté médiévale du Xème au XIIIème siècle Au Moyen-âge la chrétienté concerne l’Europe occidentale qui reconnaît l’autorité religieuse du pape. C’est un moment où la chrétienté connait une très forte expansion. (D’abord contre les musulmans →les croisades et vers l’Europe du Nord contre les païens) Cette chrétienté est organisée autour de l’Eglise. C’est la base de la société de l’Europe occidentale. Cette population est nommée chrétienté pour ses raisons. →Pourquoi et comment

753 à 509 AVJC : Les noms comme les dates des règnes des quatre premiers de ces rois, tout comme l’alternance de noms sabins et latins, sont plus légendaires qu’historiques. Les trois derniers rois, d’origine étrusque, ont une existence qui paraît moins incertaine. Romulus -753 à -716 (Latin) Numa Pompilius -717 à -673 (Sabin) Tullus Hostilius -672 à -641 (Latin) Ancus Martius -641 à -616 (Sabin) Tarquin l’Ancien -616 à -575 (Étrusque) Servius Tullius -575 à -535 (Étrusque)

quasiment tous ses habitants ont le sentiment d'appartenir à une vaste communauté, la chrétienté. À cette époque, l'Église n'exerce pas seulement une influence sur les esprits, elle est aussi une puissance économique et politique. Quelle est la place des clercs (ceux qui forment le clergé) dans la société médiévale ? I. L'organisation de l'Église •  Le pape, évêque de Rome, est le chef de la chrétienté latine. Mais, vers l'an mil, son autorité est encore limitée. •  L'Occident chrétien est

6-Chrétienté et Europe L’Europe va dans cette période se confondre avec la chrétienté, autant sur le plan culturel que géographique, l’idée d’Europe se confond avec la chrétienté pour former, selon Novalis dans son traité La chrétienté et l’Europe , «  un âge d’or » . Comment cette confusion entre chrétienté et Europe se manifestera ? On observe deux périodes distinctes au Moyen-Âge pour expliquer cette confusion, d’abord avec la respublica Christiana (I) puis avec l’affirmation d’une

dernier grand abbé de Cluny, tiendra compte lui aussi des avis de son ami pour le gouvernement de son ordre. En prêchant, à Pâques 1146, la deuxième Croisade aux barons réunis à Vézelay, saint Bernard justifie surnaturellement les combats que la Chrétienté doit entreprendre. Au moment de la fondation de l'ordre des Templiers, il fixe les statuts de la chevalerie qui font des hommes de guerre les serviteurs du Christ. S'il ne prend pas parti dans la querelle des Universaux qui passionne les esprits