La Citadelle assiégée

répondre à une situation qu'ils comparent à celle des jacobins français en 1793 - 1794, les bolcheviks vont devoir instaurer un régime d'état de siège, d'autant plus qu'ils sont menacés par une guerre civile contre-révolutionnaire. 5. La «Citadelle assiégée » Les bolcheviks n'exercent, en réalité, leur autorité que sur un territoire restreint et subissent de 1918 à 1921 une crise très grave : ils doivent faire face au double péril de la contre-révolution et de la guerre d'intervention. Les partisans

L’émir d’Antioche, Yâghi Siyân, restait en mauvais termes avec son voisin et suzerain, le roi d’Alep Ridwân ; de plus, ce dernier était brouillé avec son propre frère, le roi de Damas Douqâq. Le résultat fut que les défenseurs naturels de la ville assiégée ne surent pas s’entendre pour la secourir. Les Damasquins se mirent les premiers en mouvement, mais ils tombèrent sur une forte patrouille chrétienne qui battait la campagne sous les ordres de Bohémond et du comte de Flandre, et furent repoussés

et la Révolution Française 3) Comment rythmer le temps de l’histoire ? p.10 a) b) c) d) e) Un point de vue politique et diplomatique Un point de vue économique et social Un point de vue culturel et religieux Le rapport à l’espace : la citadelle assiégée L’Europe et la découverte de la Terre f) Colonisation et décolonisation (1860/1870) g) Intégration continentale 4) Les évolutions démographiques p.20 a) b) c) d) Les facteurs de la démographie d’ancien régime Transition démographique

rempart de l'isthme de Corinthe (Hexamilion) en 530, mais la ville subit néanmoins les attaques des Avars, des Slaves puis des Normands. Au début de l'établissement de la principauté d'Achaïe, l'Acrocorinthe, défendue par le Byzantin Léon Sgouros, est assiégée pendant environ 5 ans entre 1205 et 1210. En 1358 elle est attribuée par le prince Robert de Tarente au sénéchal Niccolò Acciaiuoli, puis passe au duc d'Athènes Nerio Ier Acciaiuoli vers 1370, et revient aux byzantins du despotat de Morée en 1395

– et même de dépasser – le prestige politique qu’elle avait au temps de sa première dynastie. 3. Babylone sous domination étrangère : Kassites et Assyriens L’expansion de Babylone, sur le plan politique, subit des revers. Elle fut plusieurs fois assiégée, soumise aux dominations étrangères et à des ravages. Dans la première moitié du xvie siècle av. J.-C., le Grand Roi hittite Mursili Ier, venu d’Anatolie, pilla la ville, emportant en otage la statue de Marduk. Un souverain de la dynastie Kassite

– et même de dépasser – le prestige politique qu’elle avait au temps de sa première dynastie. 3. Babylone sous domination étrangère : Kassites et Assyriens L’expansion de Babylone, sur le plan politique, subit des revers. Elle fut plusieurs fois assiégée, soumise aux dominations étrangères et à des ravages. Dans la première moitié du xvie siècle av. J.-C., le Grand Roi hittite Mursili Ier, venu d’Anatolie, pilla la ville, emportant en otage la statue de Marduk. Un souverain de la dynastie Kassite

prise de Tarente ( ?) ; les Scipions envoient une ambassade a Syphax, roi des Numides ; alliance des Carthaginois avec Masinissa, fils de Gala.   -212 * execution des otages de Thurium et de Tarente ; defection de Tarente à l’exclusion de la citadelle ; defection de Thurium ; mort du proconsul Ti. Sempronius Gracchus dans une ambuscade ; les Romains mettent le siége devant Capoue (automne) ; capitulation de Syracuse ; mort de P. et de Cn. Scipion ; reprise des operations en Espagne sous le commandement

Lauraguais, bien que la récolte de cette année-là eût été des plus mauvaises. Non seulement le peuple, mais aussi les chevaliers leur étaient entièrement dévoués. Durant la croisade, des diacres albigeois se trouvèrent fréquemment bloqués dans des places assiégées par les croisés. Ce fut le cas, par exemple, de Guilhabert de Castres à Castelnaudary, en 1211, et de Pierre Polha à Montréal, en 1240. La capitulation était inévitable, mais il se trouva des chevaliers déterminés, qui forcèrent le blocus et sauvèrent

1482 un Concordat est fait avec l’Espagne ; en 1516 le Concordat de Bologne, avec la France, permet au roi de nommer aux évêchés et abbayes. III. Un christianisme en crise ? Le christianisme est sur la défensive et se voit comme une « citadelle assiégée », face aux Turcs, face aussi aux Juifs et Musulmans convertis et qu’on accuse de pratiquer clandestinement leur religion. Le clergé est aussi en crise. On distingue le clergé séculier, composé des archevêques, évêques entourés d’officiers

Lauraguais, bien que la récolte de cette année-là eût été des plus mauvaises. Non seulement le peuple, mais aussi les chevaliers leur étaient entièrement dévoués. Durant la croisade, des diacres albigeois se trouvèrent fréquemment bloqués dans des places assiégées par les croisés. Ce fut le cas, par exemple, de Guilhabert de Castres à Castelnaudary, en 1211, et de Pierre Polha à Montréal, en 1240. La capitulation était inévitable, mais il se trouva des chevaliers déterminés, qui forcèrent le blocus et sauvèrent