La Cité de Dieu

roi fait parti de l’organisation religieuse de la cité, il est même très souvent un dieu vivant et donc s’impose naturellement l’obéissance au roi car désobéir au roi c’est troublé l’ordre. La pensée politique rationnelle a encore du mal à émerger dans ce genre de sociétés. La réflexion n’est intéressante dès lors qu’elle se nourrit d’une certaine critique. C’est l’émergence de la cité en Grèce qui va faire émerger la politique. III- La cité grecque Elle présente trois traits nouveaux par

déjà la distinction droit privé/ droit public mais existait déjà dans la haute Antiquité Période gréco-romaine : grec véritable inventeur du vocabulaire du pouvoir Le mot politique vient du mot grec « polis » qui veut dire la cité. C’est eux qui ont conçu la notion de cité et de constitution au sens de régime politique (le mode d’organisation du pouvoir) L’héritage romain est fondamental en matière juridique. Ils sont les inventeurs de la science juridique. Ils n’ont pas conçu le droit en lui même

montre des signes de faiblesse plus il est menacé : au point qu’on parle de la ruine de l’unité politique. Cette ruine ne signifie pas la disparition de la civilisation romaine. B.La Gaulle du 4e La Gaule est divisée en province, qui tourne en cité. Le centre est la ville dirigée par des magistrats municipaux et qui sont des gaulois. La crise éco = Les cités ne parviennent plus a s’administrer elle-même = les cités tombent sur la gestion autoritaires des fonctionnaires impériaux. Ces fonctionnaires

et cette multiplicité de cultes structurent la cité. Ainsi l’ajout d’un territoire entraine une recomposition du programme sacrificiel (dates, dons…). L’animal sacrifié, médium traditionnel, est choisi en fonction du Dieu à atteindre. * Figure ascendante symbolisée par la montée de la fumée des sacrifices, figure descendante lorsque les dieux s’inclinent vers les hommes : exemple de l’oracle, ici la Pythie racontée par Hérodote. * Un dieu comme Dionysos permet une liaison plus intime entre

Hammurabi était un conquérant militaire, un des rois de la dynastie de Babylone avec objectif de consolider ses conquêtes milit. en les appuyant sur un socle juridique. Ces lois venant de la volonté des Dieux. Elles sont issue du plus grand de tous: Le dieu du soleil: Sammas, le grand juge des cieux et de la Terre. 2) Nature de la règle La grande majorité de ces codes, dès l’antiquité formule des règles de vie éco. soc-. et familial. L’objectif est de structurer les sociétés. Les codes organisent les

politique à l’antiquité grecque : la communauté des citoyens * La politique au 16ème siècle : l’état * La politique au 19ème siècle : le pouvoir dans le sens de l’autorité. 2/ Sparte : ses institutions politiques Ou la cité aristocratique au service d’une minorité. Cité aristocratique : gouverné par les « aristoi » = les meilleurs. Une poignée d’habitants dirige. A sparte, vivent : * Les citoyens (les soldats qui assurent la défense) * Tous les autres (la majorité de la population

mot désignent-ils les étrangers (non-grecs) ? (1 p.) 3)     Les Grecs forment-ils un seul Etat ? Justifie ta réponse. (1 p.) 4)     À partir du schéma, indique les principales parties qui composent la cité grecque. (2 p.)   Schéma d'une cité grecque (ex : Athènes)    5)     Une fondation de cité : «  Grinnos, qui régnait sur l’île de Théra se rendit à Delphes. La Pythie lui ordonna d’aller fonder une ville en Libye. Mais à son retour, il ne tint aucun compte de l’oracle. La Libye, personne ne

Cette problématique nous amène à nous pencher ainsi sur la notion de communauté au sein même d’une cité, et en parallèle la notion de communauté au sein de l’empire romain lui-même, la communauté de toutes ces cités réunies. Nous allons donc nous intéresser à la période du début du Haut Empire romain, principalement sous Auguste, à cette période de «

instant. On est enfermé dans un instant. Nicolas de Kues est un théologien né à Trèves en 1401 1464 Sur la question du temps il a écrit un livre qui s’intitule De visione Dei en 1453 (la vision de Dieu) Dans le livre il distingue : - la vision de l’homme sur le monde - et le regard de Dieu sur le monde. ( Il constate que le regard de l’homme sur le monde est toujours limité. C’est toujours un point de vue qui est limité à un lieu et à un instant. Il parle de la vue de l’intellect

la Loi : « Qu’est-il écrit dans la Loi ? Comment lis-tu ? » (Quelle interprétation donnes-tu toi-même de cette loi que tu reçois comme ton autorité ?). Et le spécialiste de la Loi répond en citant des paroles de la Loi : « Tu aimeras le Seigneur ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta force et de toute ton intelligence, et ton prochain comme toi-même » (Dt 6.5 ; Lv 19.18). Est-ce vraiment lui qui a rassemblé ces deux textes de la Loi ou avait-il entendu Jésus le faire ? Car, dans