La Cité de Dieu

ancienne que le mot. On trouve ses racines dans la mythologie antique, la philosophie grecque ou la doctrine chrétienne. Thomas More (1478-1535 ) Les sources de l'utopie ● Qu’il s’agisse de l’Age d’Or, du Pays de Cocagne, du Paradis terrestre, de la “Cité idéale” élaborée par Platon dans La République, ou des ébauches de plans de « cités parfaites » réalisées dès l'Antiquité, la démarche utopique renoue avec des traditions très anciennes... Jérôme Bosch, Le jardin des délices, 1503 Le paradis perdu

donc une morale. Mais l’idée principale du texte est que l’homme est fait pour vivre en société, que la cité est antérieur à l’homme. Aristote explique cela en 3 parties : Tout d’abord, tous les hommes sont des êtres sociables, « l’homme est par nature un animal politique » que s’il ne vit pas en société c’est un être inférieur ou bien supérieur à l’humanité, « Et celui qui est sans cité[…]est ou un être dégradé ou au dessus de l’humanité. » Ensuite il argumente sa thèse en citant l’exemple

Étude de l'oeuvre complète de l'Apologie de Socrate par Platon Premier discours, partie 7, question du chef d’accusation de l’introduction des nouveaux dieux dans la Cité par Socrate (26b-28a) Topos : Topo de l'oeuvre : Socrate est un philosophe de la Grèce antique (-470 à -399), considéré comme l’un des précurseurs de la philosophie morale et politique. Il n’a cependant laissé aucune œuvre écrite parce que sa méthode elle-même laissait l’auditeur sur sa fin. Il cherchait en effet à pousser

chez les grecs, de Dieu comme dans la tradition mo-narchique ou de la raison, il est transcendant et universel. Un droit naturel est donc un droit inné qui tient à la quali-té même d’être humain du seul fait de sa naissance. L'existence d'une loi naturelle universelle semble être une constante dans la pensée philosophique. Pour Saint Au-gustin (La Cité de Dieu, 413), c'est la Loi de Dieu qui est éternelle, parfaite et invariable. C’est elle qui régit la Cité de Dieu, dont la cité des hommes -la «

1.      Relève dix noms d’animaux cités dans le roman ( j’en ai relevé 27 !) 2. 2.      Cite trois noms d’arbres et cinq noms de plantes.     Les Egyptiens   3. 3.      Menî et son amie Thouyi traversent trois villages ( p.45, p.86 et page 111 ). Qui y habite ? Pour chaque village, donne quelques renseignements sur la façon de vivre des villageois.   La cour du roi Antaref   4. 4.      Cite cinq métiers exercés à la cour du roi Antaref. 5. 5.      Comment le roi et son fils se distraient-ils 

grandes fêtes religieuses : Dionysies. La cité a institué une indemnité (théôrikon) pour dédommager les citoyens qui viennent au théâtre. Le théâtre est un lieu de parole : un lieu de critique du système athénien. Il y a donc à Athènes une grande liberté d’expression. LE RÔLE DU THÉATRE DANS LA DÉMOCRATIE ATHÉNIENNE. Les représentations théâtrales occupent une place centrale dans la vie de la cité. Elles s’intègrent aux fêtes religieuses en l’honneur du dieu DIONYSOS : les Grandes Dionysies.Chaque

est donc une vision naturaliste. Cette physis est ordonnée (cosmos). Les grecs pensaient qu'au tout début était présent le chaos, un désordre monumental. Ce chaos s'est progressivement ordonné, notre monde vient de cet ordre. Pensée monothéique = un dieu organisateur. Hesios : chaos qui se sépare en 2, le dessus (ouranos) et le dessous (gaia) desquels naissent des enfants, notamment Kronos qui va castrer ouranos stoppant ainsi l'engendrement perpétuel. Kronos va à son tour engendrer mais il mange ses

le nom aztèque du dieu le plus important du centre du Mexique. Habituellement représenté comme un serpent à grandes plumes de quetzal. C'est pour cela qu'il est aussi appelé le "Serpent à plumes". En nahua (langue aztèque) "Coatl" signifie "serpent" et "Quetzal" est le nom d'un oiseau, mais ce mot a également le sens de "précieux". Donc "Quetzalcoatl" peut se traduire par "Oiseau-serpent", "Serpent aux plumes de quetzal" ou "Serpent précieux". En maya Yukatèque ce même dieu porte le nom de Kukulkan

Vénéraient le dieu du soleil. L'empereur Inca était considéré comme fils du Dieu du Soleil. Ils vénéraient non seulement les dieux du soleil, de la création, de la lune, de la foudre et des dieux ancestraux, mais aussi beaucoup d'objets naturels et de phénomènes sous le nom huaca. | En plus du Dieu du Soleil et du Dieu de la Pluie (Chaac), les Mayas adoraient beaucoup de dieux associés à la nature, au ciel et aux enfers . | Adoraient le dieu tribal aztèque Huitzilopochtli, un dieu du soleil et un dieu de la

modifier la société originelle. Il préconise une cité idéale composée de trois groupes : les gardiens parfaits (gouvernants), les guerriers et les travailleurs. Ces castes sont fonction de la naissance, mais des évolutions sont possibles selon les compétences personnelles. L’éducation tant physique qu’intellectuelle est essentielle pour les gouvernants et les guerriers. Le philosophe a un rôle social primordial à jouer. Afin d’éviter toute dérive de cette cité idéale vers l’oligarchie, et favoriser l’eugénisme