La Cité de Dieu

certaines vérités à certains hommes mais pas à tous (ex. Platon) 3) Cas du double langage exotérique : les 2 langages s’adressent au même public, mais pour éviter de heurter l’auteur prend des chemins détournés (ex. auteurs philo des Lumières : Dieu est un mensonge, dit par chemins détournés). 4) Cas du langage simple mais détourné : l’auteur dit plus ou moins le contraire de ce qu’il pense = le sens intentionnel doit être déduit. Le discours est trompeur, il faut découvrir l’intention de

démesure et la fin de la cité. Et par la suite, nous verrons comment sa fille Antigone gardera ses propres valeurs et ces propres définitions des lois divines et du respect défini par les dieux auxquels on ne peut désobéir. Tandis que Créon lui défendra les lois établies par l’autorité et la force civile. Œdipe-Roi, le meurtre et l’inceste La tragédie Œdipe-Roi de Sophocle commence par un oracle, réponse des dieux : le coupable du meurtre de Laïos (ancien roi de la cité de Thèbes) doit être dénoncé

post mortem Les foudres du Vatican. Le Vatican condamne ses œuvres à cause de l'utilisation des thèmes bibliques. Au regard de la bibliographie traitant de l'œuvre d'André Gide, notre récit n'a pas fait l'objet de véritable analyse. Quoique souvent cite, le texte gêne et suscite toute une polémique. Cette gêne pourrait être lie au fait que Gide ose travailler une parabole évangélique intégrée à notre culture. Elle témoigne également d'une carence persistance d'interprétation de la parabole gidienne

les mondes Grecques ou les maîtres mots sont autonomies et indépendance, l'éclosion de multiples conflits ont été favorisé au cours du Véme siècle. Le monde grec apparaît alors à la fois uni et totalement divisé. Cependant malgré les conflits inter cité, les grecs ont su s'allier contre les menaces extérieures. Quels sont alors les critères d'unité et de divisions du monde grec autour du Ve siècle ? Pour répondre à cette question nous verrons dans une première partie que les différents états en

tous recherchent (cf. cours sur l'Etat, Aristote Ethique à Nicomaque, I, 5). Etat de complétude, de satisfaction complète, dans lequel rien ne nous manque. Politique : a) le politique, ce qui concerne la vie collective ou le gouvernement de la cité. b) la politique, science ou technique de gouvernement Affaire de : relever de, dépendre de Si je réponds que oui, ça donne les deux thèses suivantes : a)je ne peux être heureux qu'au sein du politique, ie, de la vie en commun,

nous apprend dans cette apologie que Socrate était accusé de deux fautes. Tout d’abord de « corrompre la jeunesse » (23-d « Socrate, la pire infection, qui corrompt les jeunes ») et enfin d’impiété, d’avoir « introduit d’autres dieux que ceux de la cité » (27a). Deux accusations que le sage va réfuter sans précédents au fil de son discours. L’apologie s’articule en trois parties. D’abord, Socrate expose un plaidoyer dans lequel il se défend face à ses accusateurs. Une fois reconnu coupable – par

plutôt pondéré Il cite Platon : il apparaît donc comme un roi humaniste et cultivé qui se base sur les paroles des philosophes antiques ( la république est utopie qui décrit une cité idéale) C/ un roi humble au service de ses sujets et de Dieu certes le roi est le chef de ses sujets mais c’est pour leur bien => lignes 39 à 41 il préfère mourir que voir ces sujets offenser Dieu (expression hyperbolique « m’arracher à la vie » témoigne la force de son engagement). « Dieu sera le juste estimateur

Mais il y avait 20 ordinations de prêtres pour 1000 habitants en 1954, pour 2 en 1982. C’est qu’il y aurait une présence du religieux en deçà de nous mêmes, une ignorance sans refus : une forme moderne de la mort de Dieu (pour Lacan, la véritable forme de l’athéisme n’est pas que Dieu est mort, mais qu’il est inconscient). 1. LE SACRE ET LE RELIGIEUX 1.1. Position et définition Le sacré : selon Otto, le sentiment du mystérieux nous fait frissonner (mysterium tremendum) et provoque chez nous

adaptés à l'analyse de ce qu'étaient pour les Grecs le divin[1]. Dans la religion grecque, l'essentiel des croyances et des rites se structurent au moment où naît, à l'époque archaïque (VIIIe-VIe), une forme d'organisation politique particulière : la cité (polis), avec pour corollaire la redécouverte et la diffusion de l'écriture (v.800-700)[1]. A partir de l'époque archaïque, les caractères dominants de la religion grecque apparaissent : un polythéisme de nouvelles divinités, des dieux anthropomorphes

du pouvoir: un pouvoir providentiel. Selon la pensée chrétienne, le pouvoir est aussi conçu comme une entité abstraite indépendante de son titulaire, mais la conception nouvelle chrétienne est que le pouvoir est une création de Dieu, il a été créée et voulu par Dieu. A- La révolution chrétienne. La distinction du spirituel et du temporel. La conception chrétienne effectue une distinction entre le pouvoir spirituel de l'Église et la religion, et le pouvoir temporel de l'État et donc