La Cité des ténèbres

généralisée au XXe siècle. Placée sur la couverture de l’œuvre ou sur la page du titre, elle indique « le statut générique intentionnel de l’œuvre » (Genette, 1987 : 98). 1.2.5. Approches titrologiques Titres métonymiques Les Jardins de Lumière Cité six fois uniquement tout au long du texte, ce titre thématique puisqu’il renvoie au sujet et non à la forme de l’œuvre est un titre métonymique qui se trouve par contre accompagné, sur la couverture, d’une indication générique précisant qu’il s’agit

Le Clézio, Désert Lalla, née dans le désert, a vécu une enfance heureuse dans le bidonville d’une grande cité marocaine. Adolescente, elle est obligée de fuir et se rend à Marseille. Elle y découvre la misère et la faim, « la vie chez les esclaves ». Lalla continue à marcher, en respirant avec peine. La sueur coule toujours sur son front, le long de son dos, mouille ses reins, pique ses aisselles. Il n’y a personne dans les rues à cette heure-là, seulement quelques chiens au poil hérissé, qui

comprends alors ce qu’il y a d’anormal chez eux. Le vers 4 est un alexandrin peu traditionnel, où l’on y voit l’alliance de deux mots qui ne sont généralement pas liés : « Dardant » qui se réfère au Soleil et « Globes » qui est une allusion aux ténèbres. Cette alliance crée alors un étonnement du lecteur qui se retrouve face à un tableau peu cohérent. Dans la première édition nous retrouvions « Fixant » a la place de « Dardant » mais cela crée une image beaucoup moins forte. Nous avons alors affaire

Au lecteur de Baudelaire I - l'incontrôlabilité à faire le pêché (occupation de l'esprit, travail du corps, pêchés têtus, chemin bourbeux, Satan trismégiste berce l'esprit, volonté vaporisée, les fils tenus par le Diable, les ténèbres puants) avec une notion de montée en puissance (la descente aux enfers, pressée comme une orange, la mort descend, pauvre débauché). II - La mauvaise conscience (remords aimables, repentirs lâches, aveux grassement payés, les pleurs lavant les tâches, sourdes

de Saint Jean que je venais de lire et plus particulièrement du verset 5 : «La lumière luit dans les ténèbres et les ténèbres ne l'ont pas saisie.» (Jn chap 1, v 5) Je reviens à l’instruction et je cite. « Le faible rayon de lumière que vous avez reçu est une des plus importantes leçons que l’Ordre puisse vous donner. Vous sortiez d’une profonde obscurité, qui vous retraçait les ténèbres dans lesquelles est plongé l’homme qui ne s’est pas encore étudié, et qui croit néanmoins tout connaître

Centres étrangers G.1 - Série L Objet d'étude : les réécritures. Texte A : Madame de Staël, Corinne ou l'Italie, Livre X, chapitre IV, 1807. Texte B : Chateaubriand, Lettre à Julie Récamier, texte cité par Jean d'Ormesson dans Mon dernier rêve sera pour vous, 1998. Texte C : Chateaubriand, Mémoires d'outre-tombe, III, 1848-1850. Annexe : Gérard Genette, « La littérature au second degré » , Palimpsestes, 1982. I Vous répondrez d'abord à la question suivante (4 points) Quels sont les éléments

Il désigne les étés courts, comme courte est la vie devant l'éternité et il oppose la "clarté " de la vie (vive), aux "ténèbres" de la mort. Ses sensations entrent en jeu dans ce premier strophe, ausdi bien la vue (clarté, ténèbres ), que l'ouïe (j' entends tomber). On assiste à l'envahissement total de la mort dans son corps et dans son âme dans le deuxièmestrophe. Il cite des sentiments de charge négative, tels que la colère, la haine, l'horreur.,qu'il associe à cette saison froide et glacée

se poser sur le plafond parsemé d’araignées. Le silence qui s’instaura dans cette salle froide envahissait son âme préoccupait désormais son esprit il savait cette fois que son destin était déterminé et qu’il devra rejoindre les autres dans les ténèbres, il resta figé sur sa place ses yeux commençaient à libérer des larmes chaudes qui coulaient sur son visage fatigué ou sillonnent des raides ;il ne s’est jamais imaginé que le monde finira aujourd’hui et qu’il percevra pour la dernière fois le crépuscule

galopa sur toile, Fondation Collection E. G. Bührle Zurich, Suisse dégingandé, éperdu, le long du quai de la Grève. Mais, au pont Louis-Philippe, une colère de son essoufflement l'arrêta ; il trouvait imbécile cette peur de l'eau ; et, dans les ténèbres épaisses, sous le cinglement de l'averse qui noyait les becs de 10 gaz, il traversa lentement le pont, les mains ballantes. Du reste, Claude n'avait plus que quelques pas à faire. Comme il tournait sur le quai de Bourbon, dans l’île Saint-Louis

autre monde, avec ses détails, sa géographie, son histoire, son système politique etc. Je veux que le joueur parte à la découverte de cet univers que j'ai créé. Voici le pitch de l'univers et du scénario : « 10 ans ont passés depuis l'arrivée des ténèbres sur la continent d'Atherion et l'avènement des Saërans, cette race de démons sanguinaires. L'humanité est en péril, reclue dans une poignées de cités fortifiées, livrée à elle même. Une dictature a été instaurée sur ces dernières par une assemblée