La Compétitivité Hors Prix

France dégage un excédent commercial pour les produits agricoles, les produits des IAA, et l’équipement professionnel. Elle enregistre un déficit pour les produits énergétiques. Les excédents et déficits commerciaux s’expliquent par la compétitivité prix et hors prix de l’économie française (équipement professionnel), par les dotations en ressources naturelles (produits agricoles et produits énergétiques) et par un savoir-faire traditionnel (produits des IAA). La France importe des biens qu’elle

instauration d’un salaire minimum, législation du travail et conventions collectives relativement protectrices. Le ralentissement des années 70 et le contexte de mondialisation ont exacerbé les conditions de la concurrence et renforcé l’impératif de compétitivité. Dès lors, la capacité à s’adapter aux modifications de l’environnement devient un enjeu crucial pour les entreprises et pour l’économie d’un pays. Cette capacité à s’adapter repose en grande partie sur la flexibilité du marché du travail. Cette

1 Compétitivité des entreprises et des territoires Partie I: Innovation de procédés, structures de marché et compétitivité-prix Benjamin Montmartin benjamin.montmartin@unice.fr 2 Contents 1 La notion de compétitivité, le rôle des pouvoirs publics et des effets externes 1.1 Définitions du concept de compétitivité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.2 Le rôle des pouvoirs publics sur la compétitivité . . . . . . . . . . . . . . . 1.3 Les sources externes de compétitivité . .

entreprises de 50 à 299 salariés auront alors des allègements fiscaux. Le senior doit alors formes le jeune recruté. Mais cela va coûter 25 Milliards à l'état. Mais il crée un effet d'aubaine pour les entreprises. C ) Le CICE – Crédit d'impôt compétitivité emploi -. C'est un crédit d'impôt, l'état rembourse des impôts si ces entreprises font des donc à des organismes d'utilité publique ( exemple = restos du cœur ). C'est le fait de rembourser ce don en diminuant l'impôt sur le revenu l'année

Constat De 1980 à 2007, l’industrie française a perdu 1 913 500 emplois (passant de 5 327 400 emplois à 3 414 000), ce qui représente une baisse de 36 % de ses effectifs. Sur la même période, le recul de l’industrie dans la valeur ajoutée évaluée aux prix courants apparaît significatif puisque sa contribution au PIB est passée de 24 % à 14 %. On peut noter que les périodes de reprise économique (au milieu des années 1980 et au milieu des années 1990) correspondent à des phases de ralentissement dans

fluctuation des monnaies, prix stable... change fixe) étape du processus politique d'intégration européenne fournir un environnement stable, favorable à l'investissement. Permet des anticipations positives sur l'évolution des conditions monétaires (étant donné la politique restrictive menée par la BCE), ce qui induit à un niveau général des taux d'intérêts inférieur à celui de la zone dollar et donc à un envronnement favorable à l'investissement transparence des prix favorable aux consommateurs

services nécessaires à son fonctionnement et son activité commerciale dans les meilleures conditions de compétitivité. PARTIE I : La fonction achats dans l’entreprise aujourd’hui Une économie de 5% sur le montant des achats = une augmentation de 24% du CA. 2004 : mutation profonde avec une stratégie de professionnalisation de la fonction 2005 : rôle moteur dans la recherche de compétitivité Importance de la gestion des effectifs achats 2006/2007 : implication significative des

économique. En effet celui-ci se compose de deux phases : une ascendante qui débute par divers innovations qui permettent une augmentation des profits, des prix, de l’emploi, de l’investissement et une baisse du chômage… cette première période est suivie de la phase de rationalisation de la production et du ralentissement de celle-ci, les prix baissent et le chômage augmente. Ces cycles se répètent tous les cinquante ans environ. C’est durant la phase ascendante du cycle qu’après l’innovation permise

la capacité de production de l’entreprise.  L’investissement de modernisation est un vecteur de progrès technique il introduit des innovations (de produits et de procédés) qui améliorent la productivité des facteurs et favorisent la compétitivité (prix et hors prix) ce qui élargi la part de marché et accroit l’offre.  Grâce à ses effets d’entrainement l’investissement dans certaines activités suscite des investissements dans d’autres activités qui lui sont complémentaire et accroit par conséquent

d’excellence scientifiques et techniques). Synthèse I/Le travail est un facteur déterminant des stratégies internationales des entreprises A/La baisse des coûts du travail permet d’abaisser les coûts de la production Importance de la compétitivité-prix notamment pour les produits en fin de cycle (doc. 3) d’où la recherche d’un coût du travail faible ; coût du travail qui est différent selon les pays (cf. doc.1 + quest. 2) + l’analyse de G. LAFAY (cf. cours) sur les causes du coût du travail