La Comédie De Boileau

doivent être respectées pour faire passer un message à ses lecteurs et spectateurs afin de montrer sa grande classe. Deux auteurs français ont participé à son développement en France : Gille Ménage (1613-1692), un écrivain et grammairien, et Nicolas Boileau (1636-1711), un poète et critique. Tous deux ont contribué à la fixation de la langue classique et à l’établissement des règles. Le Théâtre : Pendant longtemps le théâtre n’était pas considéré comme un art. C’est grâce aux grands dramaturges tels

domaine bancaire * Le roi donnait des pensions * Contrôle des arts, il détenait le monopole du mécénat * Des académies ont été fondées pour contrôler ce qui se faisait dans certains domaines * Il nommait des artistes officiels (Nicolas Boileau : artiste officiel en littérature L’Art poétique) qui dictent les règles à suivre dans leur domaine respectif 3.2 La règle * Afin de contrôler dans touts les domaines, Louis XIV faisait appel à des règles très strictes * Une étiquette

réel ou de diverses données objectives et subjectives ; genre littéraire regroupant les œuvres qui présentent ces caractéristiques. D'Aristote (la Poétique) à Nicolas Boileau (l'Art poétique, 1674), nulle place n'est faite au romanesque dans les arts poétiques, aux côtés de l'éloquence, de la poésie, de la tragédie et de la comédie : le roman semble croître au hasard, dans les espaces laissés libres. Ce développement marginal et « intercalaire » fait justement l'originalité de l'écriture romanesque

il s’occupera jusqu'en 1651. Trop timide pour plaider, il préférera très vite s'orienter vers une carrière poétique et dramatique. Il écrit sa première comédie en 1629, inventant la comédie de caractère, remplaçant la farce rudimentaire en vogue par des textes inspirés de la vie des honnêtes gens. De 1630 à 1636, il écrit cinq nouvelles comédies et contribue ainsi à réhabiliter un genre jugé secondaire. Alors qu'on reproche au genre comique ses outrances et sa vulgarité, Corneille réussit à emprunter

fait de la bile (cf. L’Atrabilaire amoureux…). Le regard qu’il porte sur son siècle est un peu plus dur que celui de la Bruyère, Boileau…, mais il lui reproche, comme eux, son hypocrisie.  Le Misanthrope (= celui qui hait les hommes, différent du philanthrope) est l’expression de cette période. C’est une comédie spéciale, qui ne respecte pas les règles de la comédie habituelle mais qui se rapproche plutôt de la tragédie. Axes : L’exposition, l’hypocrisie, les caractères d’Alceste et de

Dans Les caprices de Marianne de Musset (1833), La cantatrice chauve de Ionesco (1950) et Art poétique de Boileau (1674), qui ont été écrient au fil des siècles, quel genre littéraire est dominant et qu'est ce qui rapprochent ces textes ?. Nous étudierons tout d'abord les règles bien précise puis nous observeront si ces règles sont bien respecté ou non. Dans le texte théorique de Boileau de nombreuse règle du théâtre sont énoncé principalement sur la scène d'exposition. Tout d'abord pour bien

Voici les titres de tragédie de Racine (1667-1674) 1667 : Andromaque 1669 : Britannicus 1670 : Bérénice 1672 : Bajazet 1673 : Mithridate 1674 : Iphigénie Racine lutta toute sa vie et lia une grande amitié avec Boileau. Racine composa une seul comédie : Les plaideurs (1669). En 1672 Racine rentra à l’Académie Française, il succède à Mothe le Vayer sa pension royale est augmenté jusqu’à 1200 livres. 2) L’échec Phèdre est une tragédie qui rencontre un

polémique née à l’Académie française et qui agite le monde littéraire et artistique de la fin du XVIIe siècle. Définition La querelle des Classiques et des Modernes oppose deux courants distincts : les Classiques ou Anciens menés par Boileau, soutiennent une conception de la création littéraire comme imitation des auteurs de l’Antiquité. Cette thèse est fondée sur l’idée que l’Antiquité grecque et romaine représente la perfection artistique aboutie et indépassable. Racine mettant en scène

française un époque merveilleuse, qui commence à avec Malherbe, Regnier et Guez de Balzac, et, passant par les deux périodes les plus brillantes, celle de la jeunesse ou de Descartes, de Corneille, de Pascal, et de Molière, et celle de la maturité ou de Boileau, de Racine, de La Fontaine, de Sévigné, de Bossuet, et de Bourdaloue, achève sa verte et vigoureuse vieillesse avec La Bruyère, Fénelon, et Massillon. Première période (1610-1660) Le XVIIe siècle n'offre d'abord qu'une confusion extrême : l'âge

culture le principe d’imitation des Anciens. C’est le culte de la raison. Nous verrons lors de cette réflexion quand est-ce qu’une pièce de théâtre peut-elle être qualifiée de classique à travers les deux registres du classicisme, la tragédie et la comédie. Nous étudierons leurs formatins, leurs règles et leurs buts. Conclusion : Une pièce de théâtre peut alors être qualifiée de classique si elle met en valeur le naturel, qui doit être maitrisé et régulier, le vraisemblable, le culte de la raison,