La Comédie Fait Elle Forcément Rire Le Spectateur

Commentaire Composé Don Juan, Acte III scène 1 Le XVIIème siècle voit naître avec Jean-Baptiste Poquelin, plus connu sous le nom de Molière, un des plus grands acteur et auteur de comédies. Après des débuts agités, Molière et sa compagnie trouve leur place au Petit Bourbon sous la protection de Louis XIV. Apres plusieurs comédies qui font sa notoriété, Molière publie Le Tartuffe, qui, dès sa première représentation suscita le mécontentement de la Compagnie du Saint Sacrement qui parvint à l’interdire.

auteurs tels que : Jodelle ou Garnier. Au XVII ème siècle se développe un nouveau genre théâtral : la tragi-comédie où l’on pourra retenir des œuvres majeurs comme Le Cid de Corneille. Au même siècle apparaît le théâtre classique avec la règle de bienséance et la règle des trois unités : unité de temps, de lieu, d’action. Au même moment on distingue alors deux genres différents : la comédie comme par exemple Dom Juan de Molière et la tragédie comme Andromaque de Racine. Par la suite au XIX ème siècle

(1673), la pièce qu’on va étudier aujourd’hui. La pièce est sur Argan, un hypocondriaque, un avare qui veut faire tout pour réduire ses frais médicaux, c’est pour ça qu’il veut marier sa fille Angélique avec un docteur, malgré le fait que sa fille éprouve des sentiments envers un autre homme. La belle-mère d’Angélique, Béline veut la virer de la maison et la placer dans un couvent pour être la seule héritière de toute la fortune d’Argan. Toinette la servante de la famille a découvert

augmentant par là l’intérêt du spectateur ; il donne aussi sa coloration à la pièce – tragique ou comique – et confère au public un statut privilégié qui intensifie son plaisir. I. Qu’est-ce que le double jeu au théâtre ? La variété et la complication pour le plaisir du spectateur… Au théâtre, tout est jeu… Mais qu’est-ce que le double jeu, qui existe aussi bien dans la vie que sur scène ? 1. Un comportement multiple et une identité double Ce comportement, volontaire, fait qu’on l’on agit différemment

Peut-on rire de tout ? I- L’humour est universel et peut toucher à tout a) L’humour selon les goûts Certains diront que l’on peut rire de tout, d’autres diront que non. C’est par cette phrase que cet argumentaire va tourner. En effet, beaucoup de gens disent que l’humour est universel et qu’il faut savoir rire de tout. L’humour est, par définition, une forme d'esprit railleuse « qui s'attache à souligner le caractère comique, ridicule, absurde ou insolite de certains aspects de la réalité ». L'humour

histoire de la théorie. Le théâtre est-il un genre littéraire ? Le théâtre en tant que tel ne relève pas de la problématique générique. A l'intérieur certes des genres théâtraux, définis par des poétiques, mais le Théâtre en tant que tel n'est pas forcément un genre, il serait davantage un mode de représentation particulier que l'on pourrait qualifier de direct que l'on peut appeler aussi mimétique, ce qui l'opposerait avant tout au mode diégétique de représentation, le mode indirect, reposant sur le

les protagonistes. Les chorèges sont de riches citoyens qui recrutent les choreutes ( 15 à 24 jeunes garçons qui formeront le choeur) et qui financent le spectacle. Le chef du choeur est nommé coryphée : c’est lui qui souvent commente l’action et fait le lien entre le spectacle et le public.Le public est composé de toute la population , y compris les prisonniers, les métèques et les esclaves. Les riches paient pour les pauvres. Les Dionysies ont une fonction de cohésion sociale. -Le théâtre lui-même

il faut corriger les mœurs par le rire ! Injonction de Molière qui en fait la ligne directrice de son œuvre. A travers les péripéties drôles de ses personnages c’est une violente critique que fait le dramaturge de sa société à travers des thèmes récurrents. – Parmi les thèmes abordés dans la pièce, l’hypocrisie en est le plus important. On peut classer Le Tartuffe dans la lignée des autres pièces de Molière, destinées à dépeindre et ridiculiser un vice (comédie de caractère). Molière précise dans

(précédé de La Dernière bande). [Paris], Éditions de Minuit, 1959, 76 p., 5.34 €.   — Acte sans paroles II (en français, 1959), mime pour deux personnages, recueilli dans Dramatische Dichtungen, Tome I. [Francfort), Surkamp Verlag, 1963 et dans Comédies et Actes divers (1966 ; édition augmentée, 1972). (Act without words II, traduit en anglais par l’auteur, 1959)   — L’Image (en français, 1958 ; 1959). [Paris], Éditions de Minuit, 1988, 24 p., 3.05 €.   — Gedichte, édition trilingue, comprenant

littéraire de M. de Pourceaugnac M. de Pourceaugnac est une comédie ballet par Molière, artiste du 17ème siècle. Cette comédie est représentée au château de Chambord, pour le divertissement du roi, le 6 octobre 1669, et donné au public à paris, le 15 novembre 1669, par la troupe du roi. Molière aurait eu l’idée de l’écrire après son passage à Ambazac, où il aurait reçu un accueil médiocre de la part de la noblesse locale. Cette comédie traite d’un mariage entre Julie et M. de Pourceaugnac arrangé